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Jours tranquilles à Paris
le voyage a nantes
6 juillet 2016

Le voyage à Nantes - #lvan

lvan

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5 juillet 2016

Le Voyage à Nantes

Les petits sont fascinés par cette étrange cabine téléphonique pleine de poissons

Une photo publiée par le Voyage à Nantes (@levoyageanantes) le 3 Juil. 2016 à 11h38 PDT

Gros plan sur les squatters de la cabine téléphonique du Passage Sainte Croix #lvan #Nantes

Une vidéo publiée par le Voyage à Nantes (@levoyageanantes) le 3 Juil. 2016 à 11h13 PDT

12 juin 2016

Le Voyage à Nantes...

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23 août 2015

Le Voyage à Nantes

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IMG_9665Photos prises avec mon IPhone

 

21 août 2015

NANTES : Une montagne russe insolite installée en pleine ville

Les chaises volantes ne sont plus ce qu'elles étaient. Grâce à Baptiste Debombourg, ces 1200 chaises de café prennent la forme de montagnes russes. Bluffant.

"Stellar", c'est le nom de cette œuvre gigantesque créée par l'artiste français Baptiste Debombourg. Elle se trouve sur la Place du Bouffay à Nantes et a été imaginée dans le cadre du Voyage à Nantes. Composée de 1200 chaises de café, elle semble faire un pied de nez aux terrasses des bars environnants.

Des chaises de café en forme de "grand 8"

Il aura fallu onze mois à Baptiste Debombourg pour réaliser cette grande sculpture. Deux ellipses formées par des chaises colorées, se rencontrent puis se séparent tout en montant et en descendant. Il existe pas moins de six couleurs et quatre boucles formées de chaises de cafés pour la totalité de la sculpture. En la créant, l'artiste s'est inspiré d'une œuvre de Robert Delaunay présente au Palais de l'Air pendant l'Exposition universelle de Paris en 1937.

Une inspiration sortie des bistrots

L'artiste a longuement observé les terrasses de bars et restaurant présentes sur les places de nos villes. Il a constaté que les chaises étaient toujours ancrées au sol et qu'elles étaient synonymes de rencontres, palabres, sociabilités, etc. En créant cette œuvre magistrale, il met en avant l'importance que joue la chaise dans la rencontre et la discussion. Il place ainsi le dialogue le plus haut possible en faisant s'élever ces chaises dans les airs.

Cette œuvre insolite et moderne, créée à un endroit où elle trouve tout son sens, montre essentiellement l'importance des rapports humains dans une société contemporaine où la solitude prédominerait s'il n'y avait pas ces chaises que l'on peut transporter où l'on veut pour discuter avec une autre personne.

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19 août 2015

"Spectacula" au Théâtre Graslin - Nantes


Spectacula (Voyage à Nantes 2015) par TELENANTES

Fasciné par la manière dont le noir de la salle de théâtre agit comme un révélateur de lumière, Aurélien Bory est un artiste de l’illusion et de la magie.

Dans ses mises en scène – que les Nantais ont pu découvrir au Grand T où il est artiste associé depuis 5 ans –, acteurs, danseurs ou acrobates évoluent dans des décors et des lumières qui convient le spectateur à un véritable voyage émotionnel.

Pour cette création, Aurélien Bory s’est intéressé au sens latin du mot spectacula : “les places au théâtre”. L’installation suit littéralement cette définition et s’empare, comme seuls éléments qui la composent, des sièges du théâtre éclairés individuellement. Le visiteur est convié à arpenter la scène, car c’est dans la salle que le “spectacle” se déroule. L’installation lumineuse, sans début ni fin, suit un processus d’extinction : régulièrement, la totalité des sièges sont éclairés puis s’éteignent un par un selon des scénarios différents.

Dans Spectacula, les sièges sont chacun comme des individualités isolées et solitaires. En s’éteignant les uns après les autres, inéluctablement jusqu’au dernier, ils accomplissent tout destin individuel et collectif… Et tout recommence, telles les générations qui se succèdent.

À « l’intérieur jour » de la salle de l’Opéra répond un « extérieur nuit » que l’artiste installe dans le vestibule du théâtre. Visibles depuis la place Graslin dès la tombée de la nuit, de grandes lettres en néon blanc forment le titre de l’œuvre : SPECTACULA. Référence aux grandes salles de spectacle ou de cinéma qui affichent en façade leur programme en lettres lumineuses, elles font preuve ici d’une grande instabilité : les lettres vibrent, s’allument et s’éteignent en alternance, forment d’autres mots tout en créant dans le noir du vestibule une tempête visuelle digne des orages d’été.

16 août 2015

Le Voyage à Nantes (jusqu'au 31 août)

COURS CAMBRONNE

"TERRE EN CHANTIER" (vu le 6 août)

AYMERIC CAULAY

Aymeric Caulay s’intéresse à l’idée qu’une œuvre  d’art doit s’emparer de l’espace et du lieu, des activités et systèmes qui lui sont liés. L’activité productrice,  le monde de l’entreprise, ce qu’on appelle “l’économie réelle”, est ainsi son champ d’investigation : il s’immerge et explore les processus de production, de l’extraction de la matière jusqu’à sa transformation finale.

Dans le cadre du post-diplôme Les Réalisateurs porté par l’artiste Fabrice Hyber, l’école supérieure des beaux-arts de Nantes Métropole et l’école de management Audencia, Aymeric Caulay s’est introduit à la manière d’un archéologue-anthropologue dans des entreprises qui extraient et transforment l’argile. En rencontrant les personnels, en observant les modes de fonctionnement et les savoir-faire, il a conçu une œuvre qui s’appuie sur l’usage de cette seule matière.

Malgré la taille imposante de l’engin de chantier,  c’est bien à un jouet d’enfant qu’on pense face à la sculpture. L’œuvre laisse apparaître les différentes phases que l’artiste a observées : de l’extraction de la terre par tractopelle – la sculpture principale – à la transformation en pâte manufacturée qui constitue le socle. En affirmant le processus comme principe de réalité pour l’artiste comme pour l’entreprise, Aymeric Caulay place l’art non pas à la marge, mais au cœur de l’activité productrice. 

http://aymeric-caulay.beauxartsnantes.fr/


Terre en chantier par TELENANTES

16 août 2015

Asie Riderz - Le Voyage à Nantes

Installée pour Le Voyage à Nantes dans le canal Saint-Félix, une péniche a été pendant quinze jours le terrain de jeu insolite d'artistes illustrateurs, peintres et graffeurs. Originaires d'Asie ou fortement influencés par son esthétique, ils ont été invités à s'approprier chaque recoin de l'embarcation et à réaliser in situ une exposition forcément atypique. Régulièrement présentes dans leurs œuvres, les techniques traditionnelles et l'imagerie populaire sont confrontées aux influences plus contemporaines du manga, du pop art, du graffiti ou plus largement des cultures urbaines. Après l'Amérique latine en 2014 (Villa Ocupada), Pick Up Production et l'artiste nantais Kazy Usclef proposent avec Asie Riderz une excursion dans la création graphique contemporaine d'Asie.

SUIVEZ L'ACTUALITÉ DU PROJET SUR http://asieriderz.com/?lang=fr

Voir mon précédent billet

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Photo : Faustine

http://www.levoyageanantes.fr/etapes/asie-riderz/

14 août 2015

Long Ma, le Cheval Dragon Cie La Machine - Voyage à Nantes

12 août 2015

Le Voyage à Nantes

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Au théâtre Graslin

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Fasciné par la manière dont le noir de la salle de théâtre agit comme un révélateur de lumière, Aurélien Bory est un artiste de l'illusion et de la magie. Dans ses mises en scène - que les Nantais ont pu découvrir au Grand T où il est artiste associé depuis 5 ans -, acteurs, danseurs ou acrobates évoluent dans des décors et des lumières qui convient le spectateur à un véritable voyage émotionnel.

Pour cette création, Aurélien Bory s'est intéressé au sens latin du mot spectacula : "les places au théâtre". L'installation suit littéralement cette définition et s'empare, comme seuls éléments qui la composent, des sièges du théâtre éclairés individuellement. Le visiteur est convié à arpenter la scène, car c'est dans la salle que le "spectacle" se déroule. L'installation lumineuse, sans début ni fin, suit un processus d'extinction : régulièrement, la totalité des sièges sont éclairés puis s'éteignent un par un selon des scenarios différents. Dans Spectacula, les sièges sont chacun comme des individualités isolées et solitaires. En s'éteignant les uns après les autres, inéluctablement jusqu'au dernier, ils accomplissent tout destin individuel et collectif... Et tout recommence, telles les générations qui se succèdent.

À « l'intérieur jour » de la salle de l'Opéra répond un « extérieur nuit » que l'artiste installe dans le vestibule du théâtre. Visibles depuis la place Graslin dès la tombée de la nuit, de grandes lettres en néon blanc forment le titre de l'œuvre : SPECTACULA. Référence aux grandes salles de spectacle ou de cinéma qui affichent en façade leur programme en lettres lumineuses, elles font preuve ici d'une grande instabilité : les lettres vibrent, s'allument et s'éteignent en alternance, forment d'autres mots tout en créant dans le noir du vestibule une tempête visuelle digne des orages d'été. 

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