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Jours tranquilles à Paris
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11 juin 2019

Laetitia Casta

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31 mai 2019

Laetitia Casta

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17 mai 2019

Publicité : silhouettes plus naturelles...

4 mai 2019

Iris Apfel pour les glaces MAGNUM

iris la vieille

3 mai 2019

La nouvelle égérie Magnum est incroyable

magnum

Chaque année au mois de mai, Magnum créé l’hystérie sur la Croisette en s’offrant, le temps d’une journée, l’évènement le plus attendu du Festival de Cannes. L’occasion pour la marque de glaces d’inaugurer sa « plage Magnum », tout en révélant son égérie annuelle. Après Kendall Jenner, Cara Delevingne et Bella Hadid, c’est une autre figure de la mode qui devient cette année le visage de Magnum. Ni tout à fait influenceuse, ni vraiment mannequin, elle est pourtant la plus flamboyante des icônes mode, véritable muse ayant traversé les époques. Bienvenue à Iris Apfel, 97 printemps, qui a donc décidé de croquer la vie – et les glaces – à pleines dents le temps d’une campagne publicitaire haute en couleur, shootée par l’inimitable duo de photographes Mert & Marcus.

https://www.instagram.com/magnum/?utm_source=ig_embed

magnum apfel

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18 avril 2019

ETAM - Laetitia Casta

casta

13 avril 2019

ETAM Summer 19 Swimwear collection - ETAM 2019 summer campaign - Constance Jablonski et Laetitia Casta

10 avril 2019

Publicité - Laetitia Casta pour IKKS

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9 avril 2019

Supreme x Jean Paul Gaultier

C’est une nouvelle qui a fait l’effet d’une bombe : Jean Paul Gaultier insuffle son ADN couture dans une collection au quotient indéniablement street réalisée en tandem avec Supreme. A shopper le 11 avril en boutique à New York, Londres, Paris et Los Angeles, et sur l'e-shop de Supreme. Toutes les images sont ici.

North Face, Comme des Garçons, Lacoste, Undercover, Aquascutum, Vans, Nike, ou encore Katsuhiro Otomo, le concepteur du manga Akira… Supreme est un as des collaborations. Son coup de maître ? La collection qu’il avait imaginée en duo avec Louis Vuitton pour l’automne-hiver 2017-2018. Dévoilée dans l’enceinte du Palais Royal lors de la Fashion Week de Paris, la collection atomise la scène mode : c'est la première fois qu’une maison de luxe prête le savoir-faire de ses ateliers à une marque street pour réaliser un vestiaire de prêt-à porter et d’accessoires. Aujourd’hui, le titan du street invite Jean Paul Gaultier à infuser son ADN pur luxe dans une collection griffée Supreme. "J’intègre des touches sportswear dans mes collections depuis les débuts de ma marque", indique Jean Paul Gaultier dans une interview accordée à Vogue. "C’était l’une de mes inspirations et de mes obsessions, j’ai même créé la ligne "Junior Gaultier" à la fin des années 80. Avec Supreme, cette inspiration va toucher une nouvelle génération."

Tout au long de sa carrière, Jean Paul Gaultier a fusionné les mondes de la mode et de la performance. Il a notamment créé les costumes du ballet Blanche Neige d’Angelin Preljocaj en 2009 et ceux du film Le Cinquième Elément de Luc Besson. Il a habillé une liste colossale d’actrices, de Nicole Kidman à Cate Blanchett et Marion Cotillard, qui a remporté l’Oscar de la meilleure actrice pour La Môme en 2008 dans une robe sirène blanche signée du créateur. Ses pièces les plus emblématiques restent tout de même les costumes qu’il a imaginés pour Madonna lors de sa tournée Blond Ambition de 1990, tel que le corset à la poitrine conique inspirée de sa peluche Nana. C’est d’ailleurs cette époque que Jean Paul Gautlier a choisi comme point de départ pour sa collection réalisée avec Supreme. Clin d'œil à cette période, celui que l'on surnomme "l’enfant terrible de la mode" depuis les eighties a décidé d’immortaliser Lourdes Leon, la fille de Madonna, pour la campagne réalisée par le photographe Collier Schorr, qui a lui-même travaillé aux côtés de l’artiste Sancheeto.

Un manteau en fausse fourrure à carreaux, un pantalon tatoué d’un mantra "Fuck racist", une ceinture logotypée, une veste blazer à rayures… Le duo joue la carte de l’unisexe en juxtaposant des codes esthétiques masculins et féminins. Ils ont également collaboré avec Vans sur deux paires de baskets et Schott. On découvre aussi l'emblématique parfum "Le Male" de Jean Paul Gaultier, revisité ici à la sauce Supreme. On a déjà hâte de mettre la main sur ces modèles Supreme x Jean Paul Gaultier, prévue pour le 11 avril 2019 en boutique à New York, Los Angeles, Londres et Paris, et sur l’e-shop du géant du streetwear.

C’est une nouvelle qui a fait l’effet d’une bombe : Jean Paul Gaultier insuffle son ADN couture dans une collection au quotient indéniablement street réalisée en tandem avec Supreme. A shopper le 11 avril en boutique à New York, Londres, Paris et Los Angeles, et sur l'e-shop de Supreme. Toutes les images sont ici.

https://www.vogue.fr/vogue-hommes/galerie/supreme-x-jean-paul-gaultier-toutes-les-images-sont-ici-collaboration-streetwear

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8 avril 2019

Bataille au sommet pour la publicité dans le métro parisien

Par Denis Cosnard - Le Monde

La RATP attend cette semaine les candidatures pour exploiter l’affichage dans son réseau. Plusieurs rivaux veulent évincer Metrobus, qui tient le marché depuis 70 ans.

Des mois que les professionnels de la publicité s’y préparent. Cette semaine s’ouvre enfin la mère de toutes les batailles en matière d’affichage : la compétition pour exploiter les dizaines de milliers de panneaux publicitaires du métro et des bus parisiens. Une activité estimée aujourd’hui entre 130 et 150 millions d’euros par an, et en forte croissance.

Sur les dix ans du contrat, le chiffre d’affaires devrait dépasser 1,5 milliard d’euros. Cela en fait de très loin le plus important marché français du genre, mais transforme aussi cette affaire en enjeu politique. Au-delà du choix de tel ou tel prestataire, la question posée est celle, très controversée, de la place de la publicité dans la ville. Faut-il vraiment des écrans numériques partout ?

La lutte s’annonce féroce. Publicis, Clear Channel, ExterionMedia, les trois poids lourds du métier, se préparent à l’affrontement. Tous comptent déposer un dossier de candidature avant mercredi 10 avril, la date limite fixée par la RATP. « Un marché de cette taille, on ne peut pas passer à côté, on doit postuler », résume Philippe Baudillon, le président de Clear Channel France.

D’autres sociétés pourraient se joindre à la mêlée, notamment JC Decaux, qui ne peut que vouloir rebondir après avoir perdu en février un autre marché important à Paris, celui des « sucettes », ces panneaux publicitaires plantés sur les trottoirs. JC Decaux avait déjà montré son appétit pour le dossier de la RATP en 2015, en essayant d’acheter à Publicis sa filiale dévolue à ce client, une opération bloquée par l’Autorité de la concurrence.

La RATP a prévu d’effectuer un premier tri parmi les candidatures courant mai, et de sélectionner au maximum quatre opérateurs autorisés à remettre des offres.

Règles du jeu modifiées

Publicis, qui gère aujourd’hui l’affichage dans le métro et les bus via sa filiale Mediatransports, entend se battre bec et ongles pour rester en place. « Pour moi, il n’est même pas envisageable de perdre », s’exclame Valérie Decamp, la directrice générale de Mediatransports. Soixante-dix ans que l’entreprise tient ce marché ! Dès la création de la RATP, en 1949, la publicité a été confiée à Publicis, alors allié à Havas. Depuis, le contrat a été plusieurs fois renouvelé de gré à gré. Puis il a fait l’objet en 2010 d’un premier appel d’offres, gagné par l’opérateur sortant face, déjà, à Clear Channel et CBS Outdoor, devenu ExterionMedia.

Cette fois-ci, la compétition prend un tour différent. Les règles de mises en concurrence sont plus strictes. Et la RATP a décidé de modifier les règles du jeu. Le gagnant ne devra plus reverser une partie de ses recettes à la régie, comme aujourd’hui. Le nouveau schéma prévoit la création d’une société commune entre la RATP et le prestataire retenu, qui détiendra 50 % ou 51 % des parts. Privé et public partageront ainsi le pouvoir, les futurs bénéfices, et cofinanceront les investissements à effectuer.

Des investissements massifs. De « 50 à 60 millions d’euros sur la durée de la convention », selon l’appel d’offres. Il s’agit en particulier de moderniser le réseau publicitaire, en multipliant les très rentables écrans numériques. Ils ne représentent encore que 2 % des panneaux exploités par Mediatransports à Paris ainsi que dans des centaines de gares SNCF, dans les TGV, etc., mais assurent déjà 25 % de son chiffre d’affaires !

« La publicité numérique se vend plus cher, car elle permet d’envoyer le bon message au bon endroit et au bon moment », explique Valérie Decamp. Un même panneau peut présenter le matin, à l’heure de pointe, une série de publicités pour des banques, des assurances, etc., visant les cadres, et le soir des vidéos pour Netflix en ciblant un public plus jeune.

Plus rien à voir avec les affiches en papier, intangibles pour une semaine après avoir été collées ! « Cette révolution numérique rend notre média beaucoup plus souple, efficace, et elle a redynamisé l’activité », affirme la directrice. En 2018, le chiffre d’affaires de Mediatransports a ainsi bondi de 10 %, à 255 millions d’euros. Un mouvement en principe durable, d’autant que la politique anti-voitures de Paris entraîne une hausse du trafic dans les transports en commun.

Un choix attendu cet été

La révolution vantée par Valérie Decamp n’est cependant pas du goût de tous. Elle fait hurler les écologistes, hostiles par principe à la publicité. Ils l’accusent de polluer le paysage et de pousser à consommer toujours plus. Lors du dernier conseil de Paris, début avril, ils ont failli bloquer la remise en place des « sucettes » sur les trottoirs, un projet finalement passé grâce à l’abstention du groupe Les Républicains. Les socialistes aux commandes de la ville, eux, voyaient mal comment se priver des recettes budgétaires en cause.

« Nous sommes encore plus remontés contre la RATP, prévient David Belliard, président du groupe écologiste au conseil. L’entreprise déploie en effet déjà des publicités numériques, énergivores, et des capteurs d’audience. Elle essaie de tirer le profit maximum de la population captive qui fréquente son réseau. »

Jean-François Curtil, le PDG d’ExterionMedia France, est bien conscient du problème. « Rien n’est plus triste qu’une ville sans pub, estime-t-il. Mais il faut que cette pub soit intégrée dans son univers, et acceptée. Bref, une publicité ni intrusive, ni agressive, qui fasse vibrer ceux qui y sont prêts sans gêner les autres. » A ses yeux, le numérique permet justement de mettre en place moins de panneaux, tout en garantissant aux annonceurs l’impact qu’ils souhaitent. Son groupe gère déjà toutes les publicités dans le métro du Grand Londres, le premier marché d’affichage urbain au monde.

Le choix final de la RATP entre les différents candidats est attendu cet été. Le nouveau contrat doit entrer en vigueur au 1er janvier 2020.

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