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Jours tranquilles à Paris
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3 février 2020

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9 janvier 2020

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1 janvier 2020

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1 janvier 2020

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13 décembre 2019

Un conte de Noël version Banksy à Birmingham

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Petit papa Banksy est descendu cette année à Birmingham, non pas avec des jouets par milliers, mais pour réaliser une nouvelle fresque tout en poésie. Celle-ci représente les rennes du Père Noël tirant un sans-abri assoupi sur un banc public.

I’ll Be Home by Christmas (« Je serai à la maison pour Noël », en français). C’est avec cette chanson en guise de bande-son que Banksy a dévoilé sur Instagram sa toute dernière peinture murale. Le Street Artiste a en effet publié, mardi 10 décembre, une vidéo (qui compte actuellement plus de 3 millions de vues) tournée dans le Jewellery Quarter, un quartier industriel de la ville de Birmingham, et présentant un sans-abri qui s’endort, entouré de toutes ses affaires, sur un banc public installé devant un mur de briques rouges. Lorsque le champ de la caméra s’élargit, on découvre que Banksy y a réalisé un trompe-l’œil au pochoir figurant deux rennes qui s’envolent dans le ciel étoilé et semblent tirer derrière eux, tel le traîneau du Père Noël, ce lit de fortune.

Une œuvre poétique et pleine d’espoir d’un Street Artiste engagé

« Banksy est-il le nouveau Charles Dickens ? », demande le magazine « The Guardian » en réaction à cette nouvelle œuvre. La question est légitime. Outre sa dimension esthétique, cette fresque est avant tout porteuse d’un message politique et social. Révélé deux jours avant les élections législatives en Grande-Bretagne, le pochoir met en lumière la situation des sans-abri qui passent l’hiver dehors. Mais Banksy ne fait pas dans le misérabilisme. Au lieu de chercher à inspirer la pitié, il propose un message humaniste, poétique et chargé d’espoir. Le Street Artiste ne représente par les sans-abri comme des parias mais montre ici « Ryan », tel que l’identifie Banksy, comme un individu serein et le transporte dans une mise en scène féerique grâce à son trompe-l’œil de saison.

Dans le texte qui accompagne la vidéo sur Instagram, Banksy précise : « Dieu bénisse Birmingham. Lors des vingt minutes au cours desquelles nous avons filmé Ryan sur ce banc, des passants lui ont donné une boisson chaude, deux barres de chocolat et un briquet – sans qu’il n’ait demandé quoi que ce soit », soulignant par la même occasion l’humanité des habitants de la ville anglaise. D’autre part, le choix de la musique qui accompagne les images accentue la poésie de la fresque, en sous-entendant que Ryan passera Noël à la maison. Cette œuvre reflète également la triste réalité britannique des sans-abri dans les villes. D’après « France Inter », la Grande-Bretagne en compte plus de 300 000.

Quelques heures après que Banksy a graffé les deux rennes, un inconnu leur a ajouté chacun un nez rouge. Depuis, le pochoir a été couvert d’une plaque de plexiglas afin d’éviter toute dégradation supplémentaire et de le protéger.

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28 novembre 2019

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11 novembre 2019

Miss Tic

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5 novembre 2019

L'ex-agent de Banksy dévoile des photos inédites de l'artiste « en plein travail »

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© Brook Mitchell/Getty Images

Dans Banksy captured, qui paraîtra en décembre, Steve Lazarides, ancien agent et photographe de l'artiste, propose une série de clichés inédits de ce dernier à l’œuvre durant leurs onze années de collaboration. Le 30 juillet dernier, Lazarides avait donné un avant-goût de son livre en publiant des photos exclusives de Banksy sur Instagram. Une publication passée relativement inaperçue du fait de la faible popularité de Lazarides sur le réseau social. Comme il fallait s'y attendre, aucune des photos ne montre le visage du graffeur.

Figure de proue du street art depuis maintenant deux décennies, Banksy n’en reste pas moins l’un des personnages les énigmatiques du paysage artistique international. Résolument anticapitaliste, le Britannique originaire de Bristol génère pourtant plusieurs millions d'euros de revenu grâce aux ventes aux enchères de ses réalisations. Sa plus récente, Le parlement des singes, est partie pour 9,9 millions de livres (11.46M€) le 4 octobre dernier à Londres.

2 novembre 2019

Bernard Moncet – Ephémères de rues

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De Londres à New-York, de Moscou à Tokyo ou de Paris à Beyrouth, les grandes métropoles se métamorphosent en véritables galeries à ciel ouvert proposant des expositions éphémères où le passant s’y montre souvent sensible.

Ces œuvres banales ou géniales, aussi petites qu’un timbre-poste ou de centaines de mètres carrés sont réalisées dans la nuit par un artiste le cœur battant et la peur au ventre ou parfois grassement payées par des institutions publiques ou privées.

Sensible à cet art et impressionné par ces œuvres dont il ne restera plus rien dans quelques temps, pas même pour beaucoup le nom de l’artiste qui les aura créé, j’ai souhaité par ces quelques photographies leur rendre hommage afin que reste au fond d’une boîte à photos l’image imprimée de leur talent et de leur génie artistique.

www.bernardmoncet.com

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28 octobre 2019

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