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Jours tranquilles à Paris
tunisie
2 juin 2013

Une Femen Canadienne s'en prend à Hamadi Jebali à Montréal

Lors d’une conférence donnée par Hamadi Jebali, le 1er Juin 2013, intitulée “Tunisiens Solidaires de Montréal”, la militante canadienne Femen s’est introduite par surprise sur la scène, provoquant la colère de la foule et surtout celle de la garde qui l’a fait sortir de l’amphithéâtre par la force.

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2 juin 2013

FEMEN : Amina, toujours détenue + trois autres Femen

Le ministre des Affaires Étrangères, Laurent Fabius, s'est exprimé au sujet des FEMEN prisonnières en Tunisie

"La justice (tunisienne) est indépendante mais enfin je souhaite qu'elle fasse preuve de clémence», a déclaré Laurent Fabius au "Grand Rendez-Vous" Europe 1/i-télé/Le Parisien, estimant que ce qu'avaient fait les trois femmes n'était «pas quelque chose qui mérite une peine dure».

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1 juin 2013

FEMEN : LE MAGAZINE CAUSETTE SOUTIENT LES FEMEN PRISONNIÈRES EN TUNISIE

Des Femen emprisonnées en Tunisie, et tout le monde s’en fout 

On peut ne pas être d'accord avec leurs méthodes, voire même avec ce qu'elles défendent. On peut penser que se servir de ses seins comme d'une arme ça va cinq minutes, on peut ne pas avoir apprécié qu'elles s'attaquent aux cloches de Notre-Dame de Paris qui, c'est vrai, n'avaient fait de mal à personne. On peut penser que leur manière d'entremêler anti-capitalisme, anti-industrie du sexe et anti-religion est plus que brouillon.

Mais depuis qu'elles ont manifesté, mercredi et téton au vent, devant le palais de justice de Tunis, en soutien à Amina (la première Femen tunisienne qui attend maintenant d'être jugée pour profanation de cimetière, délit passible de deux années d'emprisonnement), tout le monde - dont beaucoup de féministes - semblent penser "Oh ben qu'elles soient en taule, c'est normal. À quoi elles s'attendaient ?" Et personne ne semble s’indigner qu'on embastille trois femmes pour avoir osé montrer leurs seins. En France, pas de réactions officielles du côté du gouvernement, si ce n’est cette première déclaration que m’a faite la ministre des Droits des femmes et porte-parole du gouvernement Najat Vallaud-Belkacem, qui se dit “très préoccupée” par leur sort (voir ci-après). Peu de réactions, aussi, de la part des associations féministes. Les Femen, personne ne les aime. Sauf que, voilà : pour " attentat à la pudeur ", elles risquent six mois de placard. Plus encore si le chef d' "atteinte aux bonnes moeurs" était retenu. Et ça, ça ne dépend en rien du sort qui sera fait à Amina. Imaginons un peu ce que ça donne, d'être une "salope" de Femen (c'est l'insulte qui a volé devant le palais de justice où Amina était jugée) dans une prison islamiste...

Personne n'a envie de prendre parti pour elles parce qu'effectivement, leur façon de s'engager a de quoi être débattue. Mais va-t-on pour autant détourner le regard et garder le silence ?

Selon les Femen, “Nous n'avons reçu aucun soutien des autorités françaises jusqu'à aujourd'hui”.

J’ai donc posé la question à Najat Vallaud-Belkacem. Voici sa première réaction officielle :

"Je suis en effet très préoccupée par le sort d'Amina, ainsi que par celui des trois militantes des Femen, dont deux ressortissantes françaises, interpellées à Tunis lors de la manifestation de soutien de mercredi. La protection consulaire a immédiatement été mise en œuvre pour ces dernières. Avec le Quai d'Orsay, nous suivons avec attention l'évolution de leur situation en liaison avec les autorités tunisiennes. "

Je soutiens les Femen. Je suis inquiète. Et j’attends la libération de Marguerite, Pauline & Joséphine, et bien sûr d’Amina, avec impatience.

Causette.

1 juin 2013

FEMEN : Amina, toujours détenue

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31 mai 2013

FEMEN : NAJAT VALLAUD-BELKACEM S'INQUIÈTE POUR LES FEMEN INCARCÉRÉES

"Je suis préoccupée par le sort de la jeune militante féministe tunisienne, Amina, ainsi que des trois militantes des FEMEN, dont deux ressortissantes françaises, interpellées à Tunis il y a quelques jours pour troubles à l'ordre public lors d'une manifestation de soutien et pour lesquelles la protection consulaire a immédiatement été mise en oeuvre", a déclaré la ministre.

"La France suit avec attention l'évolution de leur situation en liaison avec les autorités tunisiennes", a ajouté la porte-parole du gouvernement, également ministre en charge du droit des femmes.

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Femen France

Jusqu’au procès du 5 juin, nos activistes FEMEN sont en prison. D’après le Consulat de France et le Consulat d’Allemagne, nos prisonnières sont dans une cellule surpeuplée. Les conditions d’hygyènes sont déplorables. Marguerite Pauline et Joséphine n’ont pas le droit de prendre de douche, la police a refusé de les laisser porter les vêtements apportés par le consulat. Ce sont leurs co-détenues qui ont fini par leur prêter quelque chose à se mettre sur le dos.

Les activistes sont isolées du monde et subissent des pressions psychologiques et des intimidations.

La police refuse de leur parler en français et s’amuse à les transporter autour de la ville dans des véhicules de police sans raison. Aucune information ne leur est donnée quant à leur situation et à leur procès à venir et ça n’est que via le Consulat de la France et de l’Allemagne il y a une heure qu’elles ont été mises au courant de leur procès le 5 juin.

On notera également que nos activistes seront jugées le même jour que l’activiste FEMEN Tunisie Amina.

FEMEN appelle toutes les femmes à se lever et à combattre à coups de seins la charria, la violence à l’encontre de la démocratie et à se battre pour le liberté des femmes!

Liberté pour nos prisonnières politique de Tunis!

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CHARLIE HEBDO SUPPORTS FEMEN PRISONERS

"Charlie Hebdo demande la libération des Femen incarcérées en Tunisie

Suite à l’incarcération en Tunisie de trois membres de l’organisation Femen, une allemande et deux françaises, venues manifester seins nues devant le Palais de Justice de Tunis mercredi afin de demander la libération de leur consœur tunisienne Amina, coupable d’avoir inscrit le mot « Femen » en face de la grande mosquée de Kairouan, la rédaction de Charlie Hebdo exprime son total soutien aux militantes féministes.

Par ailleurs, l’équipe de Charlie Hebdo s’inquiète des conditions de détentions des trois prisonnières politiques féministes, ainsi que de la tournure de leur procès à venir, et interpelle les autorités françaises et tunisiennes afin que, au nom de la liberté d’expression et de manifestation, nos deux compatriotes ainsi que la citoyenne allemande soient relâchées dans les plus brefs délais.

Free Amina, Pauline, Marguerite, Joséphine !

La Rédaction de "Charlie Hebdo"

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30 mai 2013

FEMEN : Tunisie

Le juge d'instruction chargé du dossier de la militante féministe tunisienne Amina Sboui a indiqué avoir ordonné son maintien en détention, jeudi 30 mai, dans le cadre de nouvelles poursuites pour profanation de cimetière et atteinte aux bonnes moeurs.

Un de ses avocats, Souheib Bahri, a indiqué que les accusations contre elle se fondent sur un décret beylical de 1894 qui prévoit des peines de six mois à cinq ans de prison pour détention d'engins incendiaires ou explosifs.

Rappelons qu'au moment où ce procès d'une jeune fille pacifiste se déroule, un verdict est tombé hier dans le procès des salafistes et djihadistes qui ont attaqué l'ambassade américaine à Tunis le 14 septembre 2012 : deux ans de prison avec sursis.

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30 mai 2013

Les FEMEN interviennent en Tunisie

Trois militantes Femen européennes ont été arrêtées à Tunis mercredi, lors de leur première action seins nus dans le monde arabe pour réclamer la libération d’une militante tunisienne et dénoncer la condition de la femme dans le pays. Face à une foule de journalistes réunis devant le palais de Justice, les trois jeunes femmes, deux Françaises et une Allemande, hurlaient notamment «Free Amina», la militante Femen emprisonnée dans l’attente de son procès jeudi à Kairouan pour port illégal d’un spray lacrymogène.

Elles ont été interpellées sans ménagement par les policiers.

Certains avocats, associés à des passants, ont violemment agressé des journalistes, leur reprochant de se faire l’écho de l’action des Femen. Les Femen «seront placées en état d’arrestation et traduites en justice», a déclaré à l’AFP le porte-parole du ministère de la Justice, Adel Riahi, sans préciser les accusations qui pourraient être retenues, alors que l’attentat à la pudeur est passible de six mois de prison. En début de soirée, les jeunes filles n’avaient pas été libérées et les autorités n’ont donné aucune information sur leur lieu de détention ni sur les procédures en cours. La Consul de France, Martine Gambard-Trébucien, a pu les rencontrer en début d’après-midi : «Elles vont bien», a-t-elle déclaré. «C’est la première action que nous menons dans le monde arabe», a dit à l’AFP par téléphone Inna Shevchenko, dirigeante de Femen à Paris. «Ces pays (arabo-musulmans) et ces régimes totalitaires s’en prennent aux femmes. On ne fait pas attention à ce genre de choses (le risque d’emprisonnement)», a-t-elle encore dit, réitérant aussi son soutien à Amina. La jeune Femen tunisienne, connue sous le pseudonyme d’Amina Tyler, a été arrêtée le 19 mai à Kairouan après qu’elle eut peint sur un muret proche d’un cimetière le mot Femen. Elle pourrait aussi être poursuivie pour profanation de cimetière, délit passible de deux ans de détention. Son avocat a indiqué à l’AFP rester confiant pour le procès de jeudi, estimant que l’action des Femen ne compliquerait pas le dossier de sa cliente. «Je ne pense pas que cela fera du mal à Amina parce qu’elle est poursuivie dans une affaire de droit commun et elle ne s’est pas déshabillée», a indiqué maître Souheib Bahri. Il a expliqué que les accusations contre elle se fondent sur un décret beylical de 1894 qui prévoit des peines de six mois à cinq ans de prison pour détention d’engins incendiaires ou explosifs. Selon lui, Amina ne risque que la condamnation minimale étant donné qu’elle n’était qu’en possession d’un spray d’auto-défense. Amina avait fait scandale en mars en publiant des photos d’elle seins nus à la manière des Femen, recevant notamment des menaces d’islamistes radicaux, selon son témoignage. Ses proches la présentent comme une dépressive chronique suicidaire et ses parents l’ont longtemps empêchée de sortir de chez elle, arguant de sa sécurité. Amina, qui accusait sa famille de la séquestrer, a fugué fin avril et apparaissait depuis régulièrement en public, sans pour autant se dénuder. Le mouvement Femen, fondé en Ukraine et désormais basé à Paris, mène depuis plusieurs années des actions seins nu à travers le monde pour dénoncer notamment la discrimination de la femme. La Tunisie, dirigée depuis la fin 2011 par un gouvernement dominé par les islamistes d’Ennahda, dispose de la législation la plus libérale du monde arabe concernant les droits des femmes mais l’égalité n’y est pas consacrée. L’opposition et les associations féministes militent pour l’inscription de l’égalité des sexes dans la Constitution en cours d’élaboration et accusent régulièrement Ennahda de remettre en cause les acquis des Tunisiennes. Ennahda avait fait scandale durant l’été 2012 en proposant que la future loi fondamentale évoque la «complémentarité» des sexes, un projet abandonné depuis. Dans le dernier brouillon du projet de Constitution, daté d’avril, l’article 6 stipule que «tous les citoyens et citoyennes ont les mêmes droits et devoirs». L’article 42 souligne que l’État protège «les droits de la femme et soutient ses acquis (...) garantit l’égalité des chances entre la femme et l’homme (...) et garantit l’élimination de toutes les formes de violence à l’égard de la femme». Source : Libération et AFP

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Trois militantes Femen européennes ont été interpellées mercredi 29 mai au matin à Tunis après une action seins nus, une première dans le monde arabe, en soutien à une militante tunisienne détenue depuis le 19 mai.

Face à une foule de journalistes réunies devant le palais de justice de Tunis, les trois jeunes femmes, deux Françaises et une Allemande, hurlaient "Free Amina", du nom de la militante Femen emprisonnée dans l'attente de son procès, jeudi à Kairouan, pour le port illégal d'un spray lacrymogène.

Elles ont été interpellées sans ménagement par les policiers, qui les ont traînées à l'intérieur du tribunal.

25 mai 2013

FEMEN : Amina risque deux ans de prison...

La Femen tunisienne Amina sera jugée le 30 mai à Kairouan. Elle avait été arrêtée, en possession de spray d’autodéfense, dimanche 19 mai, après avoir peint "FEMEN" sur un muret du cimetière mitoyen de la grande mosquée de Kairouan. Elle risque jusqu’à deux ans de détention pour possession de gaz lacrymogène et profanation.

Six mois de prison ferme pour possession de spray lacrymogène, et deux ans d’emprisonnement pour profanation de cimetière. C’est la peine qu’encourt la Femen tunisienne de 18 ans, Amina, selon son avocat, Me Mokhtar Janène. La jeune fille avait été interpellée, dimanche 19 mai, à Kairouan, où le groupe salafiste Ansar al-Charia comptait tenir un congrès, finalement annulé sur décision du gouvernement dirigé par les islamistes d'Ennahdha.

20 mai 2013

Amina : FEMEN tunisienne

Une jeune Tunisienne qui avait fait scandale en mars en publiant des photos d'elle seins nus, à la manière du groupe féministe Femen, a été arrêtée dimanche pour avoir commis des "gestes immoraux", a indiqué le ministère de l'intérieur tunisien.

"La jeune fille a été placée en état d'arrestation [dimanche] à Kairouan, sur instruction du ministère public, a indiqué en conférence de presse le porte-parole du ministère, Mohamed Ali Aroui. Notre société est musulmane, et nous n'acceptons pas ces comportements marginaux." Interrogé sur la nature des "gestes immoraux", le porte-parole a refusé d'apporter des précisions.

LE MOT "FEMEN" PEINT SUR UN MUR

Selon des vidéos circulant sur Internet, cette jeune fille, connue sous son pseudonyme Amina Tyler, s'est rendue à Kairouan, où le groupe salafiste Ansar Al-Charia voulait tenir un congrès, annulé finalement face au déploiement des forces de l'ordre. Sur ces images, on peut voir la jeune fille conduite par des policiers ou prise à partie par des civils après avoir peint "Femen" sur un mur, près de la mosquée où devait se tenir le congrès.

Cette lycéenne de 19 ans avait fait scandale en Tunisie et déclenché une campagne de solidarité en ligne après avoir été menacée par des salafistes pour avoir publié sur Facebook des clichés d'elle seins nus. Décrite comme dépressive chronique par ses proches, ses parents l'ont longtemps empêchée de sortir de leur domicile, arguant de sa sécurité. En avril, Amina avait fugué, avant de réapparaître dans un reportage où elle critiquait ses consœurs qui avaient brûlé un drapeau salafiste à Paris.

Voir mon précédent billet

19 mai 2013

FEMEN : Amina du mouvement FEMEN arrêtée à Kairouan (Tunisie)

La militante du mouvement FEMEN en Tunisie, Amina, a été arrêtée, le 19 mai à Kairouan. Amina a tagué le nom de son groupe « FEMEN » sur le mur de la mosquée Oqba-Ibn-Nafaâ. Cet acte lui a valu la rancœur et la colère des habitants des lieux ce qui a obligé les forces de police à procéder à son interpellation

MAJ: Selon un communiqué paru sur la page FB du ministère de l’Intérieur, celui-ci annonce l’arrestation d’une femme qui « allait exécuter un geste contraire à la pudeur » et ce après consultation du procureur de la république. Cette arrestation a donc pour raison non pas une infraction, mais l'intention d'en commettre une, selon les propres dires du ministère de l’Intérieur.

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Sous une pluie d'insultes et de "dégage", la militante tunisienne des Femen, Amina Tyler, a été arrêtée par la police ce dimanche dans la ville sainte de Kairouan. La jeune femme de 19 ans venait de taguer le nom du mouvement féministe ukrainien sur un muret de pierre, tout près de la mosquée Oqba-Ibn-Nafaâ.

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