Extrait du shooting de cet aprés-midi
Photo JS
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Voir le site : http://www.linternaute.com/television/dossier/miss-france-2007/1.shtml
Si je vous dis "Blow up" ? Ma jeunesse !
Le 02 décembre 2003, David Hemmings nous quittait.
Extrait du "Monde" :
L'acteur britannique David Hemmings est mort, mardi 2
décembre, des suites d'une crise cardiaque, alors qu'il participait au tournage
d'un film en Roumanie. Devenu célèbre du jour au lendemain grâce à son rôle de
photographe dans Blow up (1967) de Michelangelo Antonioni, il est vraisemblable
que l'acteur, qui aura pourtant tourné dans une multitude de films depuis lors,
ne demeurât l'homme de ce rôle pour la postérité.
Biographie :
Né le 18 novembre 1941 à Guilford, dans le Surrey, en
Angleterre, le jeune David s'essaie, très jeune, à l'opéra comme soprano, avant
de se consacrer à la
peinture. A l'âge de 20 ans, il chante dans des clubs, en
même temps qu'il se consacre régulièrement à une carrière d'acteur entamée dès
l'adolescence. Mais c'est Blow up qui le propulse en haut de l'affiche, dans un
rôle inspiré du photographe David Bailey, alors figure en vue du swinging
London.
La mise en scène magistrale d'Antonioni, les scènes, d'une inoubliable tension érotique, qu'il partage avec Vanessa Redgrave, contribueront à inscrire le nom de David Hemmings en lettres de feu dans l'histoire du cinéma moderne. Ce rôle lui vaudra de nombreuses opportunités de tournage, parmi lesquelles, en 1968, Barbarella de Roger Vadim et La Charge de la brigade légère de Tony Richardson, qui n'ajouteront rien, cependant, à sa gloire.
A partir des années 1970, il se lance dans la réalisation,
avec notament le drame Running Scared (1972), un premier long-métrage qui ne
rencontre pas le public. Cet insuccès le conduit à privilégier une carrière
télévisuelle (il réalise des épisodes de Magnum, de L'Agence tous risques et de
Code Quantum) sans renoncer pour autant à sa vocation d'acteur de cinéma,
puisqu'on le retrouve notamment dans Les Frissons de l'angoisse (1975), du
maître du fantastique italien, Dario Argento.
Raréfiant ses prestations dans les années 1980, David Hemmings était récemment revenu sur le devant de la scène, apparaissant notamment dans Gangs of New York (2002) de Martin Scorsese et dans La Ligue des gentlemen extraordinaires (2003) de Stephen Harrington.
Le 4 décembre le passage du célèbre américain sera célébré comme il se doit avec le concours des écoles.
Le 4 décembre 1776, Le Reprisal, un voilier corsaire des treize colonies - les futurs États-Unis en lutte depuis un an contre la Couronne britannique - est en escale à Saint-Goustan. Le voilier en route vers Nantes a rejoint le havre alréen contraint par la tempête qui sévit sur l'Atlantique Nord. À son bord, un homme déjà illustre, Benjamin Franklin. Cet Américain diplomate veut rencontrer le roi de France afin qu'il aide le Congrès américain dans sa lutte pour l'indépendance.
À 70 ans, fondateur de la République américaine avec Georges Washington et Thomas Jefferson, Franklin arrive en France avec la réputation d'un grand savant. Il a inventé le paratonnerre, le poêle à combustion, les lunettes à double foyer. Homme des Lumières, Franklin est l'ami de Voltaire, de Rousseau. Un self-made-man. Après avoir quitté l'école à 10 ans, il se formera à travers les livres. Apprenti imprimeur, éditeur, cet écrivain s'enrichit avant de s'engager dans la vie publique. Il signe la déclaration d'indépendance des États-Unis et la Constitution américaine.
«
La ville a tenu à fêter dignement l'homme Benjamin Franklin dès le 4
décembre, ensuite pendant la Semaine du Golfe », explique Chantal
Simon, adjointe à la culture. Le
Ce projet d'associer les scolaires au programme des célébrations est une initiative de Marie-Françoise Brilhault, proviseure du lycée Benjamin-Franklin. Un lycée bien nommé qui se devait d'être à la pointe de l'événement. En avril, en partenariat avec le lycée, une soirée slam, poésie orale et urbaine sera proposée avec des textes du grand homme.
Deuxième volet, le 4 décembre, à partir de 18 h, les regards se tourneront vers la salle des fêtes pour une soirée, en présence d'un représentant de l'ambassade US. Jean Le Scouarnec, du théâtre de l'Échange, lira les lettres écrites le jour de son passage à Auray par Franklin. Les intermèdes musicaux seront de l'orchestre de chambre de l'École de musique. La population est invitée. Places à retirer au service des archives et du patrimoine.
Il aura suffi d'un séjour de quelques heures pour que cet homme marque de son empreinte la cité alréenne lui donnant un certain cachet. Un exotisme discret. Quelques décennies plus tôt c'est une ambassade du Royaume de Siam (l'actuelle Thaïlande), en route vers Versailles, qui foulait le sol alréen. À quand une rue de Siam dans notre bonne cité ?
Article extrait du journal local
« Elle fait du porno », dit Gudrun Scyman, parlementaire suédoise, à Aftonbladet, le plus grand quotidien suédois. Dans la ligne de mire de la présidente du parti féministe suédois, et ex-présidente du parti socialiste, Emmanuelle Béart dans le rôle du mannequin coquin pour la nouvelle ligne de lingerie de H&M.
Le vendeur suédois est un habitué des controverses en faisant poser de façon «suggestive» des stars comme Anna Nicole Smith ou Cindy Crawford, H&M avait attiré les foudres d’une partie du public nordique. En 2006, après une pose de deux ans, l’habilleur «low cost» avait espéré échapper à la tradition en choisissant une mannequin plus mûre qu’à l’habitude, en l’occurrence l’actrice française, âgée de 41 ans.
Schyman estime que « H&M aurait dû avoir plus
de respect [pour la femme] en se tenant à l’écart de ce genre de publicité».
«Les cochons n’ont pas de place dans le monde des affaires », dit-elle. «Elle»
n’avait pas eu ces scrupules quand il avait fait poser Emmanuelle Béart
extrêmement dévêtue en «une» du magazine en mai 2003. Les ventes du magazine
avaient alors explosé.