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Jours tranquilles à Paris
12 décembre 2011

Exposition : "Exhibitions" au Musée du Quai Branly

affiche_exhibitions_01EXHIBITIONS met en lumière l’histoire de femmes, d’hommes et d’enfants, venus d’Afrique, d’Asie, d’Océanie ou d’Amérique, exhibés en Occident à l’occasion de numéros de cirque, de représentations de théâtre, de revues de cabaret, dans des foires, des zoos, des défilés, des villages reconstitués ou dans le cadre des expositions universelles et coloniales. Un processus qui commence au 16e siècle dans les cours royales et va croître jusqu’au milieu du 20e siècle en Europe, en Amérique et au Japon.

Peintures, sculptures, affiches, cartes postales, films, photographies, moulages, dioramas, maquettes et costumes donnent un aperçu de l’étendue de ce phénomène et du succès de cette industrie du spectacle exotique qui a fasciné plus d’un milliard de visiteurs de 1800 à 1958 et a concerné près de 35 000 figurants dans le monde. À travers un vaste panorama composé de près de 600 oeuvres et de nombreuses projections de films d’archives, l’exposition montre comment ces spectacles, à la fois outil de propagande, objet scientifique et source de divertissement, ont formé le regard de l’Occident et profondément influencé la manière dont est appréhendé l’Autre depuis près de cinq siècles.exhib

L’exposition explore les frontières parfois ténues entre exotiques et monstres, science et voyeurisme, exhibition et spectacle, et questionne le visiteur sur ses propres préjugés dans le monde d’aujourd’hui. Si ces exhibitions disparaissent progressivement dans les années 30, elles auront alors accompli leur oeuvre : créer une frontière entre les exhibés et les visiteurs. Une frontière dont on peut se demander si elle existe toujours ?

Musée du Quai Branly

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12 décembre 2011

Elections Présidentielles 2012

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12 décembre 2011

de Villepin : la surprise !

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12 décembre 2011

Mon rêve....

Le premier train direct Moscou-Berlin- Paris arrivera en gare de l’Est à 20h31 demain mardi 13 décembre, après avoir parcouru 3 117 km en 38 heures et 40 minutes. Ce train fera trois trajets par semaine en hiver et cinq en été.

12 décembre 2011

Extrait d'un shooting - topless au filet

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Photos prises dans mon studio - Paris 15

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12 décembre 2011

Le making of du Calendrier 2012 de Clara Morgane

11 décembre 2011

Dominique de Villepin : candidat aux Présidentielles 2012

51407760_pSelon le site Express.fr : Sur le plateau du 20h de TF1, Dominique de Villepin a annoncé qu'il serait candidat à l'élection présidentielle 2012. "Je veux rassembler tous les Français, ceux de gauche, ceux de droite, ceux du centre", a-t-il assuré.

Fin du suspens: il y va. Ce dimanche après-midi pourtant, le doute planait encore sur la candidature de Dominique de Villepin, alors qu'un proche expliquait que l'ex-Premier ministre annoncerait sa candidature ou non à l'élection présidentielle le soir même.

A 20h, derrière Claire Chazal, une grande photo de l'ex-premier ministre, et une question en caractères blancs sur fond noir: "Villepin, candidat ou pas?" Ouverture du journal de TF1 ce dimanche soir, et le fondateur de République solidaire est en plateau. Depuis ce dimanche après-midi, il était devenu évident que ce JT serait l'occasion pour Dominique de Villepin d'annoncer si oui ou non il se lancerait dans la course à la présidence de la République. Rapidement, la présentatrice lui pose LA question: entrera-t-il dans la compétition pour l'Elysée? "J'ai décidé d'être candidat à l'élection présidentielle de 2012", répond-il. Il défend "une certaine vision de la France" et assure ne "pas s'être déterminé pour des raisons personnelles. [...] Le rendez-vous de 2012 sera le rendez-vous de la vérité, du courage et de la volonté."

"Les Français souffrent et je ressens comme beaucoup de Français que la France est humiliée quand elle subit la loi de la République des partis", a-t-il expliqué. "Je veux rassembler tous les Français, ceux de gauche, ceux de droite, ceux du centre", a ajouté le fondateur de République solidaire. Mais les obstacles seront multiples: d'abord, il n'a jamais brigué jusqu'à présent le suffrage universel. De plus, les sondages ne créditent que de quelques points dans les intentions de votes. Autre caillou dans la chaussure pour le nouveau candidat: il a dû se justifier dans les pages du JDD dans une affaire d'écoutes liées à la chaîne Relais & Châteaux.

Ce dimanche encore, l'UMP tentait un appel du pied. Xavier Bertrand suggérait ainsi; "Que Dominique de Villepin nous rejoigne le plus tôt possible parce que nous sommes dans un moment difficile. Dans ce moment précis, on a besoin de tous les talents, de toutes les énergies." 

Lire (ou relire) mes précédents billets concernant Dominique de Villepin en cliquant ICI

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11 décembre 2011

Théâtre : "Le destin non incroyable d'une fille presque ordinaire" (coup de pouce)

11 décembre 2011

A propos de "Golgota picnic"

Sacrilège ! Michel-Ange, Pasolini... Une histoire de l'art blasphématoire

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Le site de CIVITAS

Extrait de l'article de METRO

Chacun des comédiens entame de longs monologues. Les textes sont acérés, cyniques et désillusionnés sur le monde contemporain. Tout le monde en prend pour son grade : la religion "Jésus multiplia la nourriture pour le peuple au lieu de travailler coude à coude avec lui. Autant qu'on sache : il n'a jamais travaillé", mais aussi les journalistes : "ils se sentent comme des protagonistes alors qu'ils n'ont rien fait pour qu'il y ait du changement, à peine un clic sur leur Nikon". La société de consommation est disséquée et critiquée sans pincettes : "le travail est tellement funeste qu'il a conduit les hommes à inventer cette phrase - 'j'ai de la chance car j'ai un travail qui me plait' - juste pour pourvoir le supporter".

Autour des comédiens, la mise en scène est foutraque et dépasse souvent les limites du "présentable". Les acteurs se recouvrent de peinture, se déshabillent, se montent dessus. Ils fabriquent une tour de Babel en hamburgers et vers de terre, filment leur bouche en gros plan en train de se gaver ou sont cloués en croix sur le tapis de hamburgers pour réciter leurs textes.

En face, le public réagit bruyamment : éclats de rire, applaudissements ou cris de dégoût, la pièce est cathartique et Rodrigo Garcia vise juste. Au bout d'une heure et quart, le pianiste Marino Formenti monte sur scène. Il se déshabille intégralement et entame les 9 mouvements de la version pour piano des Sept dernières paroles du Christ sur la croix de Joseph Haydn, en tenue d'Adam. Le public 'blasphémateur' en est donc réduit à écouter de la musique sacrée. Quarante cinq minutes de musique plus tard, les applaudissements sont nourris et plusieurs personnes sont debout. A la sortie de la salle, si le public est partagé, c'est entre les inconditionnels du metteur en scène et les autres. Certains ont adoré, d'autres trouvent la pièce trop "gratuite" mais tous sont unanimes : ils ne voient pas le blasphème.

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Je suis allé voir samedi soir la pièce de théâtre « Golgotha picnic » qui défraie tant la presse. Conformément au mail que j'avais reçu suite à ma réservation, je suis arrivé sur les Champs-Élysées vers 19:00 alors que la représentation ne commençait qu’ à 20:30.

Dès ma sortie du métro je suis intrigué par le nombre impressionnant de CRS qui interdisent l'accès à l'entrée du métro et à une partie du trottoir le plus fréquenté des Champs-Élysées. Une petite manifestation, dont je n’ai pas su l’objet, a déclenché l'intervention d'une compagnie entière de CRS. Je me suis donc rendu sur le trottoir habituellement le moins animé, pour descendre jusqu'au rond-point des Champs-Élysées. Le théâtre du rond-point était complètement cerné par les CRS. Pour accéder au théâtre, il fallait montrer son billet, son invitation ou sa contremarque puis subir un contrôle des sacs et une fouille par palpation. Enfin un portail électronique détectait tout objet suspect. Un deuxième portail électronique était installé à l'entrée de la salle Jean-Louis Barrault où devait se dérouler la représentation.

Je dois dire que cette salle est particulièrement bien conçue et quelque soit la place que vous occupez la vue est dégagée. De loin, je ne pouvais pas distinguer les centaines de hamburgers qui recouvrait la scène et formait ainsi une espèce de moquette. Quelques vigiles de sécurité se promenaient à l'intérieur de la salle tandis que d'autres surveillaient le public, cachés dans la pénombre côté cour et côté jardin.

L'œuvre de Rodrigo Garcia déclamé par des acteurs espagnols, et donc en espagnol, était sous-titré sur un écran géant en fond de scène. Images en direct ou séquences filmées de l'ange déchu ponctuaient le jeu des comédiens.

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Extrait de "Golgota picnic"

Extrait :

« Le baiser que ta mère te donnait dans ton lit, chaque soir avant de dormir, quand tu étais petit, était une prémonition de la mort. C'était un baiser d'adieu, la nuit tombait et on ne pouvait pas savoir ce qui adviendrait pendant la nuit. Tout bien regardé, nous étions plus en sécurité que dans la rue, nous étions au lit, de nuit, quand il n'y a pas de danger car les gens dorment, la porte de la maison était fermée à clef, nous ne courions pas le moindre risque. Mais la tombée de la nuit, le fait de s'endormir nous laissait entendre que le sommeil nous mènerait tout droit à la disparition, qu'entre dormir et mourir la distance était insignifiante et qu'en dormant, n'importe qui pouvait mourir. Voilà pourquoi je me souviens du verre d'eau et du baiser du soir dans mon lit d'enfant comme de l'antichambre quotidienne de la mort, comme de la meilleure des préparations pour mourir, un verre d'eau sur la table de nuit pour ne pas aller en enfer les lèvres sèches, la langue pâteuse. Toute mère ressent la proximité de la mort de son enfant quand elle lui lit une histoire ou qu'elle remonte la couverture roulée en boule à ses pieds. Ce n'est pas que le sommeil nous arrache la vie, le sommeil sème la confusion dans notre vie, et ce que l'on nomme repos ou sommeil réparateur n'est rien d'autre qu'un entraînement à disparaître. Nous nous endormons car la réalité nous offense. »

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Source AFP. Catholiques traditionalistes mobilisés contre la pièce de théâtre Golgota Picnic et défenseurs de la "liberté de création" opposés à ce qu'ils appellent "l'ordre moral" ont manifesté ce dimanche à Paris dans deux marches distinctes. Quelque 2 000 catholiques traditionalistes selon la police, 3 000 à 4 000 selon les organisateurs, ont marché de la place de l'Alma (8e arrondissement) au théâtre du Rond-Point où se joue la pièce de l'Argentin Rodrigo Garcia. Dans le même temps, environ 250 personnes, selon un journaliste de l'AFP, protestaient contre "l'ordre moral" défendu par l'Institut Civitas mobilisé contre cette pièce de théâtre. Elles ont défilé de la place Saint-Michel (5e arrondissement) à Jussieu, à l'appel d'une vingtaine d'organisations dont le Parti de gauche, le Parti communiste, le NPA et le syndicat Sud.

Les catholiques traditionalistes, venus de partout en France et des pays voisins, ont dénoncé la "christianophobie" et affirmé leur foi en Jésus-Christ, blasphémé à leurs yeux par la pièce. Une banderole placée en tête de cortège proclamait : "La France est chrétienne et doit le rester". "Christianophobie, ça suffit" ou "Christ blasphémé, chrétiens indignés", ont-ils aussi scandé. "Ce spectacle est une injure au Christ. Les scènes et les dialogues sont viscéralement antichrétiens, sordides, pervers et humiliants, les Évangiles y sont présentés de façon ordurière", a lancé Alain Escada, secrétaire général de l'Institut Civitas, organisateur depuis plusieurs mois de manifestations "contre les spectacles blasphématoires". "On ne peut supporter de le voir insulté, humilié, souillé, recrucifié", s'est-il indigné.

De leur côté, les opposants à "l'ordre moral" se sont dispersés dans le calme vers 16 h 30 après avoir marché derrière une banderole rouge où l'on pouvait lire : "Nos libertés contre leur ordre moral". Ils ont aussi scandé : "Pas de quartier pour les fachos, pas de fachos dans nos quartiers", "Non à la censure, tous pour la culture", ou encore "Ni Dieu, ni maître, ni ordre moral". "Il est hors de question que la liberté de création soit restreinte ou censurée au nom d'une vérité révélée", a déclaré Alexis Corbière, secrétaire national du Parti de gauche et conseiller de Paris, en s'élevant contre le fait que "Civitas veuille réhabiliter le délit de blasphème".

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Manifestation le soir de la Première de la pièce "Golgota picnic" (10 décembre)

11 décembre 2011

Temple Bouddhiste à Paris

Le temple bouddhiste de l’association des Teochew de France.

Cette amicale a été fondée en 1986 et représente en France la communauté chinoise issue du sud de la province du Guangong. Le Taoïsme est une religion originaire de Chine et est sûrement la plus ancienne du monde, elle existe depuis plus de 4 700 ans. Vous pouvez entrer dans le temple à condition de quitter vos chaussures et de vous faire très discret, c’est un lieu de prière.

Pour trouver le temple, il faut se rendre 44 avenue d’Ivry dans le 13eme arrondissement puis passer sous le porche de l’immeuble pour atteindre une place. Le temple se trouve non loin de la place.

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Avec l'aimable collaboration de Noémie (reportage photographique)

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