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Jours tranquilles à Paris
14 octobre 2012

Des ours au Champ de Mars

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14 octobre 2012

Aujourd'hui "20 Km de Paris"

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13 octobre 2012

Global Gâchis (cet après-midi à Paris)

Le scandale mondial du gaspillage alimentaire

En Europe et Amérique du Nord, les pertes et gaspillages alimentaires représentent selon la FAO, entre 95 et 115 kg par individu et par an, alors qu'en Afrique et en Asie, ils se situent entre six et onze kg. Selon le rapport d’Urban Food Lab pour le ministère de l'agriculture, 2 317 057 tonnes par an de nourriture sont gaspillés dans la distribution en France. Toujours selon ce rapport, 1 562 400 tonnes sont gâchées tous les ans dans la restauration. Dans les foyers français, selon l’ADEME, on jette 79 kg par personne et par an de déchets alimentaires. Soit prêt de 5 300 000 tonnes jetés en France chaque année. Si sur ces 79 kg, 59 kg peuvent difficilement être évités (hausse, épluchures, etc.), un changement de comportement est nécessaire pour les 20 kg restants (dont 7 kg d'aliments non déballés, non consommés). Au total, en France, le gaspillage alimentaire dans la distribution, la restauration et dans les foyers s'élève à plus de 9 millions de tonnes par an (soit 137 kg par personne) ; cela, sans compter les pertes de la production agricole et des industries agroalimentaires.

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Drôle de banquet que celui qui va régaler, aux frais de la princesse, 5 000 Parisiens, aujourd'hui à 13 h, sur le parvis de l'Hôtel de ville. Un curry pantagruélique, mijoté dans les casseroles géantes du chef anglais « Para », héros des soupes populaires londoniennes. Ingrédients principaux : une tonne de légumes difformes - carottes, concombres, choux, tomates, pommes de terre - fraîchement cueillis et offerts par une maraîchère de Touraine, Angélique Delahaye.

Des légumes, pas assez beaux au regard des canons du commerce, qui étaient destinés à pourrir sur un tas. « Ils sont pourtant parfaitement comestibles et nutritifs », s'indigne l'instigateur de l'opération, le Britannique Tristram Stuart.

L'homme n'en est pas à son coup d'essai. Militant écologiste, il s'est mis en tête d'enclencher une révolution mondiale : mettre un terme à la monstrueuse gabegie du gaspillage alimentaire. « J'ai organisé le premier banquet en décembre 2009, sur Trafalgar Square, à Londres, raconte-t-il. On était dans la neige, c'était magnifique ! »

« Le message est dans la bouche »

D'autres agapes ont suivi à base d'aliments non conformes : quatre au Royaume-Uni, un à Oslo, un à Turin. Jamais de la taille du banquet de Paris. Chaque fois, le même succès. « Il n'y a pas besoin d'expliquer. Les gens goûtent des plats délicieux. Le message est dans la bouche. »

Tous ces légumes, il a fallu des mains pour les rendre présentables. Canal + a fourni les forces vives : quatre-vingts salariés, du patron à la secrétaire, tous volontaires, ont consacré la journée de vendredi à la corvée de pluches. La chaîne, qui porte toute l'organisation, diffusera mercredi un documentaire co-écrit par Tristram Stuart : Global gâchis, le scandale du gaspillage alimentaire.

Les enjeux de cette croisade donnent le vertige. « Dans le monde, on estime qu'un tiers des aliments produits sont gaspillés. Dans les pays riches, c'est peut-être la moitié. » Outre les produits que refuse le commerce, il y a les poissons pêchés et aussitôt rejetés parce que trop petits ou hors quotas. Tous ces abats passés de mode et qu'on ne sait plus cuisiner. Ces montagnes de yaourts, oeufs ou jambon qui ont franchi l'intransigeante « date limite de consommation ». Et dans nos frigos, la salade oubliée, le reste de pâtes abandonnées où le pain durci qu'on finit par jeter. « En Grande Bretagne, dit Tristram Stuart, 25 % de la nourriture que les gens achètent finit à la poubelle. »

Ce scandaleux gaspillage, voudrait-il convaincre, n'a rien d'innocent. « On détruit des forêts, on extermine des espèces pour produire toujours plus de nourriture. » Surtout : la planète compte toujours un milliard d'affamés. « On est dans un système mondialisé. Jeter, c'est privé quelqu'un de nourriture de l'autre côté du monde. » Source : Serge POIROTsite Ouest France

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13 octobre 2012

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13 octobre 2012

Mesdames, vu le temps voici des chaussures de circonstance....

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13 octobre 2012

A lire...

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13 octobre 2012

A propos de Terry Richardson...

A 47 ans, Terry Richardson provoque par son attitude, dérange par ses clichés, mais n’a jamais autant suscité l’intérêt. Quand d’autres décident de photographier des paysages, lui, expose le corps de la femme au monde entier. Seins, fesses, pubis à l’air, jambes écartées, il n’existe pas une photo où le corps féminin n’est pas mis en scène à la façon d’un objet sexuel. Cet instigateur de la tendance Porno Chic * passe pour un obsédé  aux yeux du monde. Mais Terry Richardson est-il vraiment un pervers ? Né en 1962, le photographe grandit entouré d’une mère styliste (sa muse) et d’un père photographe de mode. Le monde des strass et des paillettes, il le connaît depuis l’enfance. Très tôt, Terry est diagnostiqué comme angoissé chronique, aux tendances schizophrènes, entendant des « voix » d’origines inconnues. La maladie s’accentue au divorce de ses parents, mais au lieu de se gaver de pilules, le jeune homme va se soigner à sa façon : avec la photographie. Après avoir vu l’expo Teenage Lust de Larry Clark,  Terry Richardson tombe amoureux de l’art et de ses travers. Sexe, drogue et rock’n roll : son rythme de vie contribuera à accentuer ce côté dérangé, névrosé et à côté de la plaque qu’il cultive depuis ses débuts. Il n’empêche que Terry Richardson plaît. Très vite, des maisons de haute couture font appel à son talent pour shooter les campagnes de pub : Gucci, Miu Miu, Jimmy Choo, Yves-Saint Laurent…Sans oublier les stars et starlettes, de Lady Gaga à Lindsay Lohan en passant par Megan Fox. Alors que le corps humain est devenu presque tabou à notre époque, Terry s’amuse à afficher des corps poilus, nus, dans des positions souvent obscènes et sans photoshop. Critiqué par les uns, pape de la « branchitude » pour les autres, le photographe se défend : « J’aime les imperfections. Tout le monde en a, même les beaux. Nous sommes tellement nombreux sur cette terre : chaque peau, chaque poitrine, chaque sexe a une forme et une taille différente ». En Mars 2010, Terry Richardson est accusée par le mannequin Rie Rasmussen d’exercer une pression sexuelle sur ses modèles. L’artiste se défendra, mais son image de photographe pervers perdure. Source : extrait du site http://www.menly.fr/

* rectificatif : le pape du "porno chic" est Helmut Newton !

 

13 octobre 2012

Extrait d'un shooting - nu menotté

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Photos prises chez le modèle (avec mon studio portatif)

Extraits de mes shootings

13 octobre 2012

L'Adresse, Musée de la Poste à Paris consacre une nouvelle exposition au Palais idéal du Facteur Cheval, 1912-2012.

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Voir mes précédents billets concernant l'exposition Facteur Cheval en 2007

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13 octobre 2012

Nouvelle galerie : Galerie Edition Photo

Pour marquer l’ouverture de sa première galerie parisienne, Georg Leutner frappe fort. L’exposition qui se clôt ce week-end regroupe à la fois des photos de presse des Rolling Stones et une série de stars signée par Helmut Newton. La galerie, dédiée exclusivement à la photographie, a pour ambition d’ouvrir l’accès à de jeunes collectionneurs. Grâce à un système de partenariats, elle propose une œuvre de chaque artiste exposé à un prix particulièrement bas, à partir de 180 euros.

Galerie Edition Photo
21, rue Notre Dame de Nazareth, Paris IIIe

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