Nabilla devient l'égérie de Jean-Paul Gaultier
Il y a quelques années, en 2002, Jean Paul Gaultier avait fait défiler Loana quelques mois après sa sortie de l’émission Loft Story. C’était osé, la télé-réalité venait à peine de voir le jour, le phénomène Loana commençait tout juste. Onze ans après cette première tout en pied-de-nez au snobisme ambiant, Jean Paul Gaultier refait appel à l’une des dignes représentantes du genre, Nabilla Benattia. La jeune femme défilera aujourd'hui pour le créateur et sa collection couture automne-hiver 2013-2014.
« Je stresse à mort », s'emporte Nabilla sur Twitter en s'adressant à ... Jean-Paul Gaultier ! Et oui .. . après le dépot de sa marque « Allo quoi », un livre et une téléréalité sur son quotidien diffusée à la rentrée. Pour son baptême du feu dans le monde de la haute couture, la bimbo quasi-inconnue il y a quelques mois va même être la guest-star de son défilé ce mercredi. Un événement alors que la fashion week bat son plein à Paris.
Les plus observateurs n'ont pas été très étonnés de cette annonce, puisque déjà, la bimbo portait une robe du couturier lorsqu'elle a été invitée au Grand Journal, l'émission-phare de Canal +. Une petite robe noire aux fines bretelles très décolletée qui mettait en exergue son 95 D. «En apprenant ça, j'ai pleuré de joie... Je te jure... Je stresse trop, j'ai une boule au ventre là», confie-t-elle sur le blog de son ami Jeremstar.
Roy Lichtenstein au Centre Pompidou
Le Centre Pompidou consacre à Roy Lichtenstein une rétrospective, à travers une sélection de 124 tableaux, sculptures et estampes qui éclairent son parcours de façon inédite.
Aujourd’hui Roy Lichtenstein est considéré comme l’une des « stars » du mouvement pop autant que comme un grand maître de la peinture américaine. Or, après s’être posté pendant quelques années à l’avant-garde du pop art, Lichtenstein va bien au-delà. Il fut très vite perçu comme un artiste postmoderne dès lors qu’il citait dans ses œuvres les artistes et les styles de l’histoire de l’art… Puis, au cours des dernières années de sa vie, revenant aux genres du nu et du paysage, il devint presque un peintre de tradition. Si bien que Roy Lichtenstein est aujourd’hui un « classique ».
Mais ce qui fait la force de son art, c’est aussi une distance amusée, critique sans jamais devenir cynique, qu’il a exercée à la fois sur lui-même et sur l’art, de ses débuts jusqu’à la fin de sa vie, et dont il faut reconnaître l’importance. Dans l’un de ses derniers entretiens, Lichtenstein ne dément pas ce qui est la première question de son interlocuteur « Êtes-vous sûr de n’avoir jamais créé une œuvre absolument dépourvue de la moindre trace de malice, d’humour ou d’ironie ? »
Le Centre Pompidou lui consacre aujourd’hui une rétrospective, à travers une sélection de cent-vingt-quatre tableaux, sculptures et estampes qui éclairent son parcours de façon inédite. Quatrième étape de cette exposition-événement organisée par le Centre Pompidou, en collaboration avec l’Art Institute de Chicago et la Tate à Londres, et également présentée à Washington, la rétrospective parisienne montre l’incroyable inventivité technique de Roy Lichtenstein à travers un corpus inédit de sculptures, de gravures, d’émaux, de céramiques… Ces expérimentations plastiques, aspect méconnu de son travail, témoignent d’une recherche qu’il mena tout au long de sa carrière. Cette présentation bénéficie d’un soutien exceptionnel de l’Estate de Roy Lichtenstein à New York.
Roy Lichtenstein, Hot Dog, 1964
VOGUE Italie
Raquel Zimmermann & Dorian Reeves sexy in Versace
for the 25 Years of Vogue Italia
Photographe : Steven Meisel
Une belle journée ensoleillée, aujourd'hui encore...
Sports Illustrated's 50 Greatest Swimsuit Models: Irina Shayk