Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Jours tranquilles à Paris
29 avril 2014

VANNES : La 10e édition du Festival Photo de Mer se tient à Vannes jusqu'au 4 mai. (derniers jours)

DSC_7308

DSC_7307

DSC_7309

DSC_7310

DSC_7311

Publicité
29 avril 2014

Un photographe de l'AFP primé...

29 avril 2014

Marcel GOTLIB

Voir mes précédents billets sur GOTLIB : 24/03/2014, 18/03/2014, 13/03/2014, 17/11/2013, 21/10/2013, 10/09/2013, 06/09/2013, 19/08/2013, 31/12/2010, 30/12/2010, 19/09/2010.

Pour y accéder voir l'histotique en cliquant sur le lien suivant : http://jourstranquilles.canalblog.com/archives/index.html

29 avril 2014

Richard Hamilton, pionnier du Pop Art, à la Tate Modern

De l'artiste britannique Richard Hamilton (1922-2011), une œuvre, une seule, toujours la même, est citée dans les livres d'histoire. Ce collage de 1956 a pour titre Just What Is It That Makes Today's Homes So Different, So Appealing ? (« Au fait, qu'est-ce qui rend les foyers d'aujourd'hui si différents, si attirants ? »)

Quoique de petit format, il accumule les signes de ce qui est alors moderne, télévision et magnétophone, cinéma et salon de beauté. Un athlète bodybuildé en slip blanc fait le beau devant une dame nue qui admire ses seins pendant qu'une autre passe l'aspirateur. L'éphèbe a sous le bras une sucette dont l'emballage porte le mot « pop » en capitales.

UNE DES PLUS COMPLÈTES IMAGES DU POP ART

Aussi tient-on ce collage pour l'une des plus précoces et l'une des plus complètes images du pop art. Hamilton a été l'un de ses promoteurs à Londres, en même temps que Peter Blake et avant David Hockney, en dépit de leur actuelle différence de notoriété.

La rétrospective qui se tient à la Tate Modern un peu plus de deux ans après sa mort devrait rétablir quelque peu l'équilibre. Elle montre combien Hamilton est ironique, irrespectueux, sacrilège – des qualités qu'Hockney a perdues au fil du temps. Elle rappelle aussi que cet artiste n'a pas hésité à se faire historien d'art et à mettre ses moyens au service d'un autre.

C'est à Hamilton que la Tate, qui s'appelait alors Tate Gallery, dut d'être le premier musée européen à consacrer une rétrospective à Marcel Duchamp, en 1966. A Paris, ce ne fut que onze ans plus tard, après la mort de Duchamp.

Pour l'occasion, Hamilton, d'abord son correspondant et son traducteur, réalise une copie grandeur nature du Grand Verre, qui ne peut être déplacé depuis le musée de Philadelphie en raison de sa fragilité. Jusque dans les années 1990, bien des œuvres d'Hamilton rendent implicitement ou explicitement hommage à celui dont il a découvert l'existence en 1948, en un temps où Duchamp n'est guère connu que de sa famille et de ses amis.

« UNE MAIN SENSIBLE », UN « GOÛT INTENSÉMENT PERSONNEL »

Pourquoi en est-il si fortement frappé ? Parce qu'il voit aussitôt en lui « une main sensible », un « goût intensément personnel », « un esprit qui comprend à fond notre temps et l'exprime en formes plastiques subtiles ». On croirait un autoportrait, si ce n'est qu'Hamilton était trop adepte du doute et de l'autodérision pour se flatter de la sorte.

Il n'empêche, les ressemblances sont nettes. Il a lui aussi la passion du dessin d'ingénieur impeccable et des machines impossibles. Il comprend lui aussi profondément son temps et la société occidentale contemporaine. En 1956, le célèbre collage figure dans une exposition nommée « This Is Tomorrow ». Hamilton et deux architectes y élèvent la « Fun House » : lignes courbes, confort caressant, films hollywoodiens, un juxe-box, un parfum de fraise et un micro. On se croirait dans le milk-bar où Stanley Kubrick fait commencer Orange mécanique, quinze ans après.

Hamilton pressent le monde à venir. Il procède à l'inventaire de ses produits et stéréotypes dans la décennie qui suit « This Is Tomorrow » : automobiles, sous-vêtements, électroménager. Il procède par collages, dessins elliptiques rehaussés de peu de couleur, sérigraphies d'après photos, matériaux plastiques pris dans la réalité.

Ce ne sont pas tout à fait des ready-made selon Duchamp, plutôt des prélèvements d'emblèmes, mais les deux artistes ont en commun le sens de l'ellipse, l'art de ne garder que le strict nécessaire comme si le temps avait déjà érodé les formes, évidé les objets, épuisé les signes.

SÉRIES SUR MARILYN MONROE ET MICK JAGGER

Sans doute n'a-t-on pas vu qu'Hamilton était alors aussi intéressant que Jasper Johns, que le marché américain a placé au plus haut quand Hamilton ne bénéficiait pas du même phénomène d'entraînement. Ses variations sur les intérieurs, sa série sur Marilyn Monroe, celle qu'il consacre à Mick Jagger – Swingeing London – en 1967, son irrésistible multiple The Critic Laughs et la publicité télévisée qui l'accompagne appartiennent au meilleur du pop.

Il ne s'adoucit pas ensuite. Dans ce qu'il appelle sa « période scatologique », il rend à Turner des hommages inattendus, peu conformes aux usages de la Royal Academy. Ce qu'il fait de l'image de Margaret Thatcher en 1984, comme ses toiles consacrées à l'IRA, aux orangistes et à la présence militaire britannique en Irlande du Nord, n'est guère plus de nature à lui attirer les bonnes grâces des autorités.

Un peu comme celle de Sigmar Polke en Allemagne au même moment, son œuvre tient désormais de plus en plus de la chronique politique et satirique avec le Moyen-Orient, les guerres du Golfe et le terrorisme pour sujets. Et c'est fait, jusqu'à la fin, avec la même complexité visuelle, la même distance railleuse, la même élégance très calculée qu'à ses débuts – toutes qualités d'un artiste véritablement duchampien, l'un des rares réellement dignes de ce titre. Article de Philippe Dagen

Richard Hamilton. Tate Modern, Southbank, Londres. Tous les jours de 10 heures à 18 heures, vendredi et samedi jusqu'à 22 heures. Entrée : de 12,50 £ à 14,50 £ (de 15,20 € à 17,60 €). Jusqu'au 26 mai. Tate.org.uk

4407530_6_8531_ill-4407530-6f85-unnamed_612149c78930e33e3a6b849798382033

4407534_6_07ac_ill-4407534-6bf8-unnamed-1_66c4a6d043b5e2c3027243889b247439

4407536_6_5891_ill-4407536-b66c-unnamed-2_3d48c3f461e3d9fd6c80bc79690fe5b8

4407539_6_10ab_ill-4407539-5712-unnamed-3_5dcf98f1b7318b3b2c88a27133f120b4

4407542_6_fdbf_ill-4407542-9dc1-unnamed_83c1ea1f86f403574add35770882507f

4407544_6_f9b9_ill-4407544-4458-unnamed-4_04db015436a8bcc1f6c9f7bf12bd111d

4407546_6_39c2_ill-4407546-ff24-unnamed_bab4d719848d794744edf32785cc73bf

4407549_6_2ce7_ill-4407549-34d8-unnamed-5_9ef49a7fa25402e5b6c9070691d204b9

29 avril 2014

Extrait d'un shooting - recherche personnelle (la religieuse avec percing est une coquine)

Publicité
28 avril 2014

Découvrez l'affiche du concert Hallyday, Dutronc et Mitchell

1164553

Trois « Vieilles canailles » enfin réunies

C’est dans les vieux pots qu’on fait les meilleures soupes… On ne sait pas encore quel genre de potage ces trois-là vont nous servir, mais enfin, il aura du monde à vouloir le goûter, les 5, 6 et 7 novembre, à Paris-Bercy. C’est désormais officiel, Johnny Hallyday, Eddy Mitchell et Jacques Dutronc y donneront trois concerts communs. À 70 ans passés, ils formeront le trio que les fans des yéyés attendent depuis leurs débuts, voilà un demi-siècle. Copains de jeunesse, co-vedettes des pages people et vieux potes de bringue, les voilà enfin complices sur les planches. Leur groupe s’appellera « Les vieilles canailles ».

« Le tout, c’est de se marrer ! »

Les places, mises en vente vendredi, devraient s’envoler en quelques heures. Mais elles vont coûter une fortune, comme en témoignent les prix de réservations qui circulent déjà sur Internet (entre 89 et 243 € sur le site officiel de Bercy). Nos trois stars ont de gros besoins, même si elles gardent des goûts simples, qui les rendent si populaires. Et une expression toujours carrée :« Le tout, c ’est de se marrer, pas de faire le grandiloquent habituel, a expliqué Jacques Dutronc, lundi, sur RTL.Il y aura des duos, des trios mais on ne va pas chercher à faire la promotion d ’un nouvel album. Peut-être que (Johnny et Eddy)vont chanter Les cactus , mais tous les deux sans moi. Tennessee ,Couleur menthe à l’eau ,Noir c ’est noir , ce sont des trucs d ’une époque, il faut faire tout ça, je crois » . Entre les chansons, ils raconteront des histoires. Eddy Mitchell avait juré qu’il ne ferait pas de « come-back » sur scène, après ses adieux de 2011. Mais c’est pourtant lui qui a téléphoné à Jacques Dutronc et réussi à le convaincre. Pas facile, pourtant, de le faire sortir de sa quiétude corse…« Je suis ravi mais bon, c ’est un long travail quand même, ricane Dutronc.Johnny, n ’en parlons pas, c’est quand même une bestiole sur scène ! Je veux dire : il faut le ceinturer ! Il faudra que je prenne un fouet et un tabouret pour dresser tout ça ! » Ça promet.

28 avril 2014

Au cours d'un shooting - Backstage

q1

q4

Voir mes extraits de shootings en cliquant ICI

28 avril 2014

SDF sur le quai du métro Pasteur

m2

28 avril 2014

Canonisation de Jean-Paul II

vatican

À Sainte-Anne-d’Auray, on a fêté Jean-Paul II

Le pape Jean-Paul II s’est rendu en pèlerinage au sanctuaire de Sainte-Anne en 1996. Hier, les fidèles ont fêté sa canonisation. Une relique du saint est également arrivée de Rome.

Reportage

« C’est une grande joie d’être en lien avec tous ceux qui fêtent la canonisation de Jean-Paul II à Rome. » 13 h, hier, dans la basilique de Sainte-Anne-d’Auray. La messe de 11 h vient à peine de s’achever. Le père André Guillevic, le recteur du sanctuaire, souffle quelques instants. Ce dimanche est un jour particulier à Sainte-Anne-d’Auray. Les fidèles fêtent la canonisation de Jean-Paul II, le seul pape à s’être rendu à SainteAnne-d’Auray, le plus important lieu de pèlerinage en Bretagne. C’était le 20 septembre 1996. Ce jour-là, près de 150 000 fidèles avaient assisté à cet événement. Le visage de Josiane s’illumine lorsqu’elle se remémore cette journée :« C’est un souvenir extraordinaire. C’était très fort. Je ne sais pas si je revivrai une journée aussi intense. » À l’accueil du sanctuaire, sœur Marie-Paule se rappelle du message délivré par Jean-Paul II :« Il avait insisté sur l’importance de la famille. Sainte-Anne est la mère de Marie et la grand-mère de Jésus. C’était donc très fort car le sanctuaire de Sainte-Anne est aussi dédié à la famille. »

« Un très grand pape »

À l’époque, le père Guillevic avait été chargé de préparer la partie musicale du pèlerinage de Jean-Paul II. Il s’en souvient comme si c’était hier :« C’était un immense rassemblement et une grande fête de l’église autour de notre pape et de notre évêque. » Mgr François-Mathurin Gourvès était alors l’évêque de Vannes. Clin d’œil à l’histoire, c’est lui qui a célébré la messe hier. Un office qui a été suivi par des centaines de fidèles. Philippe en était. Ce quinquagénaire est un fan de Jean-Paul II :« C’était un très grand pape, qui a marqué l’histoire. Il était proche des gens. » Les fidèles auront l’occasion de vénérer à foison Jean-Paul II. Cette semaine, une relique - quelques cheveux - du nouveau saint est arrivée au sanctuaire. Elle vient de Rome.« Elle restera de façon définitive à SainteAnne-d’Auray », glisse le père Guillevic. Une statue et un portrait de JeanPaul II ont aussi été installés dans la basilique. Le tout sera mis en sécurité dans une vitrine« pour éviter les vols. » Un autre ancien pape a été canonisé dimanche, Jean XXIII. Lui aussi connaissait le sanctuaire de SainteAnne-d’Auray.« Il est venu lorsqu’il était nonce apostolique à Paris », indique sœur Marie-Paule. C’était en 1949. Mgr Roncalli (futur Jean XXIII) présidait les fêtes de Sainte-Anne. Cette année, le grand pardon de Sainte-Anne, qui se déroulera les 25 et 26 juillet, sera une nouvelle fois présidé par l’ambassadeur du Vatican en France, Mgr Luigi Ventura. Et une nouvelle belle surprise pourrait attendre les fidèles. Dans les rangs du clergé de la basilique, il se murmure que le pape François pourrait intervenir en visioconférence pendant le pèlerinage… Article de David DUPRÉ.

==================================

A Ploërmel, les fidèles au pied de la statue du pape

Huit ans après une installation marquée par les contestations, la statue de Jean-Paul II veille sur l’entrée de la ville de Ploërmel dans une quasi-indifférence générale, troublée seulement par quelques visites de curieux et fidèles. Mais hier matin, 230 catholiques s’y sont rassemblés. Ils venaient assister à la célébration d’action de grâce, qu’organisait la paroisse de Ploërmel en l’honneur des deux papes canonisés.« Jean-Paul II a ouvert les portes et les fenêtres. Cela crée des courants d’air. Mais les courants d’air, c’est bien pour chasser les microbes » a déclaré le Père Joubaud dans son hommage au pape. Dans l’assistance, de nombreux Polonais l’écoutent religieusement. Pour eux, le moment est« fort » .« Jean-Paul II a joué un rôle très important en Pologne pour l’Église et au niveau politique, dans la chute du régime communiste » , explique Agnès, qui vit à Ploërmel depuis dix ans. Dans le public, Patrick Le Diffon, le nouveau maire, et Paul Anselin, maire de 1977 à 2008. C’est sous le mandat de ce dernier que la statue de bronze, haute de 8,75 m, avait été installée à Ploërmel, offerte par l’artiste russe Zurab Tsereteli.

28 avril 2014

Rihanna photographiée par Mariano Vivanco pour VOGUE

10270726_10152427039969835_5158314567734452314_n

Rihanna topless for Vogue Brazil May 2014 issue by Mariano Vivanco

Publicité
<< < 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 20 30 > >>
Publicité