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Jours tranquilles à Paris
26 octobre 2014

FIAC 2014 - Jardin des Plantes (vu aujourd'hui)

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Vincent Mauger

Sans titre, 2012

Bacs plastique découpés

330 x 330 x 330 cm

Présentée par la Galerie Bertrand Grimont, Paris | (OFF)ICIELLE

Vincent Mauger est né en 1976 à Rennes. Il vit et travaille près de Nantes. Réalisées à partir de matériaux de construction, briques, parpaings, bacs plastique, dont elles transcendent le caractère ordinaire, les sculptures de Vincent Mauger concrétisent un espace mental rendu praticable pour le public. L’assemblage de ces matériaux permet à l’artiste d’adapter ses œuvres à l’espace et de jouer sur des questions d’échelles. Créant dans son travail un parallèle évident entre sculpture et architecture, Vincent Mauger conçoit une nouvelle installation grise, impénétrable, opaque et irrégulière On tourne autour, elle résiste au regard, nous toisant d’une tête.

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26 octobre 2014

Mario Testino (photographe)

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26 octobre 2014

David Lachapelle (photographe) à la Galerie Daniel Templon - à partir du 30 octobre

Le photographe américain David LaChapelle revient à la Galerie Daniel Templon avec une exposition saisissante consacrée aux paysages industriels.

La série LAND SCAPE met en scène des maquettes d’infrastructures de production et de distribution du pétrole, illustrant leur impact sur la société contemporaine.

Photographiées dans les déserts et sur le littoral de Californie, les éblouissantes Refineries se dressent comme des sanctuaires du pétrole et du style de vie qu’elles rendent possible. L’envers de ce décor magique – constitué de produits de consommation courante – baigné d’une lumière éthérée, est la vision apocalyptique d’un système aux besoins insatiables.

Dans la série Gas Stations, des stations-services sont dissimulées au coeur de la végétation luxuriante de Maui (Hawaï). La forêt tropicale agit comme une force ambiguë, productrice et destructrice, source des énergies fossiles mais capable d’engloutir ces créations humaines. Le scintillement surnaturel et la composition des photographies évoquent des influences artistiques d’Edward Hopper à Ed Ruscha.

David LaChapelle entremêle avec virtuosité histoire de l’art et références populaires, street culture et questionnements métaphysiques, pour dresser une allégorie saisissante de la culture du XXIème siècle.

LAND SCAPE par David LaChapelle du 30 octobre au 23 décembre 2014

Galerie Daniel Templon

30 rue Beaubourg et Impasse Beaubourg

75003 Paris

du lundi au samedi de 10h à 19h

 

26 octobre 2014

Extrait d'un shooting - recherche personnelle (la salopette)

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Photos prises dans mon studio - Paris 15

26 octobre 2014

Palais de Tokyo - INSIDE -

 

Another amazing piece @palaisdetokyo Le Refuge where rain is inside and not outside by Stéphane Tidet

Voir mon billet du 21 octobre (vidéo sur le vernissage)

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26 octobre 2014

In memorem : Christophe de Margerie

François #Hollande se rendra lundi matin aux obsèques à Paris de Christophe de Margerie (AFP)

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Christophe de Margerie

26 octobre 2014

Syrie : Bachar al Assad

26 octobre 2014

Vu sur VINE.... j'aime bien

26 octobre 2014

Terry Richardson (photographe)

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26 octobre 2014

Sonia DELAUNAY au MAM de Paris jusqu'au 22 février 2015...

Première grande rétrospective parisienne consacrée à Sonia Delaunay depuis 1967, l’exposition organisée par le Musée d’Art moderne de la Ville de Paris rassemble, aux côtés de trois reconstitutions exceptionnelles d’environnements, plus de 400 œuvres : peintures, décorations murales, gouaches, estampes, mode et textiles. Cette monographie qui suit l’évolution de l’artiste de l’aube du XXème siècle à la fin des années 1970, met en lumière l’importance de son activité dans les arts appliqués, sa place spécifique au sein des avant-gardes européennes, ainsi que son rôle majeur dans l’abstraction dont elle figure parmi les pionniers.

Le parcours chronologique, largement documenté, illustre la richesse et la singularité de l’œuvre de Sonia Delaunay marquée par un dialogue soutenu entre les arts. L’ensemble des œuvres choisies révèle une approche personnelle de la couleur, réminiscence de son enfance russe et de son apprentissage de la peinture en Allemagne.

SONIA DELAUNAY

Tandis que Robert Delaunay conceptualise l’abstraction comme un langage universel, Sonia Delaunay l’expérimente sur les supports les plus variés (tableaux, projets d’affiches, vêtements, reliures, objets domestiques) et crée à quatre mains avec le poète Blaise Cendrars La Prose du Transsibérien et de la Petite Jehanne de France. Durant la Grande Guerre, son passage en Espagne et au Portugal coïncide avec un premier développement de ses activités dans les domaines du théâtre et de la mode qu’elle commercialise à Madrid dès 1918, puis à son retour à Paris dans les années 1920. La décennie suivante marque l’épanouissement d’une abstraction épurée, caractéristique du style international, et en harmonie avec l’architecture comme en témoignent les grandes décorations murales du Pavillon de l’Air de l’Exposition internationale des arts et techniques, présentées à Paris pour la première fois depuis 1937. Le rôle de « passeur » de l’artiste entre la génération des pionniers de l’abstraction et celle de l’après-guerre se manifeste à travers sa participation aux Salons des Réalités Nouvelles, son implication dans les projets d’architecture et sa présence au sein de la galerie Denise René. Dès l’après-guerre, la peinture de Sonia Delaunay connaît un profond renouvellement qui culmine, à la fin des années 1960, dans un art abstrait intensément poétique. Sa créativité formelle et technique s’exprime alors dans des œuvres monumentales (peinture, mosaïque, tapis, tapisserie) et son œuvre tardive connaît un ultime essor dans les albums d’eaux-fortes et les éditions Artcurial.

Servie par la reconstitution d’ensembles et de dispositifs inédits, et la présence de photographies et de films d’époque, l’exposition souligne le paradoxe d’une œuvre profondément inscrite dans son temps – de la belle époque aux années 1970 – et la constance des recherches formelles et la quête de synthèse des arts rendent également atemporelle.

COMMISSARIAT

Directeur : Fabrice Hergott

Commissaires de l'exposition : Anne Montfort et Cécile Godefroy 

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