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Jours tranquilles à Paris
30 mars 2015

Palais de Tokyo

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30 mars 2015

Publicité Yves Saint Laurent

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30 mars 2015

Xavier Veilhan expose à la Galerie Perrotin jusqu'au 11 avril - vu avant hier

https://www.facebook.com/veilhan

Site de Xavier Veilhan

Diplômé de l’École nationale supérieure des arts décoratifs de Paris, il a poursuivi sa formation à Berlin à la Hochschule der Künste, dans l’atelier du célèbre Georg Baselitz, avant de terminer son cursus en 1989 à l’Institut des hautes études en arts plastiques à Paris1.

En 2009, Xavier Veilhan succède à Jeff Koons pour exposer dans le château de Versailles et ses jardins. Il y présente notamment Le Carrosse, 2009 dans la cour d'honneur, œuvre réalisée pour l'occasion sur commande publique du centre national des arts plastiques. On y retrouve aussi la série des Architectes, constituée d'une série de statues représentant le panthéon des grands architectes selon Veilhan : Norman Foster, Claude Parent, Richard Rogers, Renzo Piano, Tadao Ando, Jean Nouvel, le duo Anne Lacaton-Jean-Philippe Vassal, Kazuyo Sejima, Élisabeth Lemercier et Philippe Bona.  Source Wikipedia

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Photos ci-dessus prises avec mon IPhone

Galerie Perrotin

76 rue de Turenne - 75003

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Photos courtesy Galerie Perrotin

29 mars 2015

Extrait d'un shooting - en extérieur à Cannes

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29 mars 2015

L’esprit du 11 janvier souffle à Tunis

Des dizaines de mosaïques d’époque romaine. Des collections d’art islamique. Plus de deux mille ans d’histoire. Païenne. Chrétienne. Musulmane. Le Musée du Bardo, c’est un peu tout cela à la fois. Fierté touristique de Tunis. Fierté culturelle. Lieu incontournable de visites scolaires pour des millions de Tunisiens depuis des décennies, depuis que Bourguiba a fait de l’éducation et de la culture une priorité républicaine. Manifester aujourd’hui devant ce musée, contre le terrorisme, est ainsi tout un symbole. En appelant les Tunisiens et les leaders politiques qui le souhaitaient à le rejoindre, le président tunisien, Béji Caïd Essebsi a non seulement voulu raviver l’esprit du 11 janvier. Il rappelle que son pays« continue sa lutte contre le terrorisme ». Des dizaines de milliers de Tunisiens sont attendus. Des participants au Forum social qui vient de s’achever aussi. Et puis quelques responsables politiques ont répondu présent. François Hollande, Matteo Renzi, Mahmoud Abbas, le chef de l’autorité palestinienne. Ou encore quelques ministres algériens, le Président polonais, la représentante de la diplomatie européenne, Federica Mogherini. Qu’importe le nombre. A l’heure où les fanatiques de l’État islamique brisent le patrimoine culturel mondial en Irak et en Syrie, la marche du Bardo est précieuse. Elle sera sans doute moins imposante par le nombre que celle de Paris, mais son message est sans doute encore plus lourd de sens. Elle dit aux Tunisiens que leur pays n’a pas changé de cap depuis l’indépendance. Et que sa fierté n’est pas uniquement liée à l’héritage musulman, mais qu’il puise bien au-delà dans le temps. La marche de Tunis dit aussi au monde que la Méditerranée n’est pas un obstacle absolu. Que les valeurs, qui ont mobilisé en France quatre millions de personnes le 11 janvier, sont partagées sur l’autre rive. Que la folie meurtrière des groupes djihadistes laisse les Tunisiens aussi désemparés que nous. Qu’un peuple majoritairement musulman est lui aussi choqué par tant de violence. Et qu’il entend s’y opposer. Certains pourront juger la rhétorique d’une telle manifestation un peu convenue, alors que la porosité de la société tunisienne aux filières djihadistes n’a jamais été si grande. C’est oublier que la rhétorique est aussi un rempart, nécessaire face à la propagande djihadiste. Article de Laurent MARCHAND.

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29 mars 2015

Journées européennes des métiers d'art

29 mars 2015

Iggy Pop photographié par Mario Sorrenti

29 mars 2015

Le Grand Palais accueille une exceptionnelle exposition Vélasquez

Le roi Felipe VI d’Espagne devait inaugurer l’exposition Vélasquez et le triomphe de la peinture espagnole au Grand Palais aux côtés de François Hollande. Le crash d’un airbus dans les Alpes en a décidé autrement. En signe de deuil, le monarque et sa femme ont écourté leur visite officielle sans passer par le Grand Palais.

L’exposition, qui se tient jusqu’au 13 juillet 2015, n’en est pas moins un événement rarissime. La dernière grande rétrospective du peintre espagnol emblématique du siècle d’or date de 1989, à New York. Si l’exposition ne compte pas le chef-d’œuvre absolu du musée du Prado à Madrid, Les Ménines, ni la Reddition de Breda ou Les Fileuses, on peut y voir 51 toiles de Vélasquez, dont des tableaux qui ne quittent quasiment jamais leurs cimaises: le Portrait du pape Innocent X, d’habitude montré à la Galleria Doria Pamphili de Rome, la Vénus au miroir prêté par la National Gallery de Londres, et La Tunique de Joseph, pièce maîtresse des collections du monastère de l’Escurial à Madrid.

Le musée du Prado, qui rassemble naturellement la plus belle collection de Vélasquez au monde, a consenti le prêt de portraits royaux et de La Forge de Vulcain.

Troc de chefs-d’œuvre

Réunir de telles œuvres est un authentique exploit rendu possible par l’acharnement du commissaire français de l’exposition, Guillaume Kientz, conservateur au département des peintures du musée du Louvre. Outre son pouvoir de persuasion, il a pu compter sur la très bonne réputation du Grand Palais, qui organise régulièrement des monographies d’artistes de très hautes tenues qui génèrent de nombreux articles et la publication de catalogues sérieux.

Par ailleurs, Guillaume Kientz a pu négocier des prêts auprès d’institutions qui, en retour, pourront «piocher» dans les collections françaises, notamment du Louvre, pour leurs propres expositions à venir. Mis à part les frais d’assurances des œuvres, il n’y a que rarement des échanges d’argent entre musées quand il y a des prêts. Et quand on fait du troc, mieux vaut avoir de belles choses à troquer.

La France pauvre

Vélasquez a peu peint, moins de 120 toiles dans toute sa vie. Et son œuvre, si elle est très majoritairement en Espagne, est assez éclatée. La France est complètement passée à côté de ce peintre, inconnu dans notre pays à sa mort, et ne possède, dans ses collections publiques aucune œuvre notable de Vélasquez, mis à part Philippe IV en tenue de chasse conservé au musée de Castres et dont l’attribution n’est même pas certaine.

Il a donc fallu tout emprunter, à part quelques-unes des peintures d’autres artistes que l’exposition montre en vis-à-vis des toiles de Vélasquez. Le récit épique des prêts obtenus par le commissaire d’exposition est au moins aussi passionnant que celui de la vie de Vélasquez. L’exposition retrace de manière chronologique l’ascension d’un peintre discret, de sa formation à son ennoblissement en 1659.

Une vie dédiée à la peinture

Le catalogue de l’exposition (coédité par la RMN-Grand Palais et les éditions du Louvre, 50 euros), mais aussi l’indispensable ouvrage de référence Vélasquez d’Yves Bottineau (réédité en version augmentée par Citadelles & Mazenod, 189 euros) complète admirablement une exposition savante qui ne repose pas uniquement sur le rassemblement rarissime de chefs-d’œuvre.

Comme l’écrivait Yves Bottineau en regard des splendides reproductions de son ouvrage, l’histoire de Vélasquez est le récit d’une vie dédiée à la peinture et d’une peinture dédiée à la vie. Son immense talent, qui le place au niveau des autres géants tels que Rubens et Le Caravage, n’écrase jamais le spectateur de ses tableaux, même les plus monumentaux. Voir Vélasquez est un spectacle d’autant plus précieux qu’il est rare.

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29 mars 2015

Aujourd'hui deuxième tour des élections départementales...

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29 mars 2015

Virginie Ledoyen photographiée par Terry Richardson pour LUI

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En couverture du magazine Lui, la sexy Virginie Ledoyen fait le point sur sa carrière. Ses amis, ses amours, ses emmerdes, elle se met à nu.

Terry Richardson a encore frappé fort ! Connu pour ses photographies à l’esthétique porno chic, le célèbre photographe, qui expose d’ailleurs en ce moment, à la galerie Perrotin, sa nouvelle série de photos intitulée "The Sacred and the Profaned" a jeté, cette fois-ci, son dévolu sur Virginie Ledoyen. A travers son objectif, Terry Richardson exprime "la relation complexe entre les désirs et les peurs, la beauté et la vulgarité, la splendeur et l’horreur de la nature, l’espoir que la religion peut engendrer et la honte". Résolument adepte de l’art de la provocation, son travail ne laisse une fois encore pas indifférent. Virginie Ledoyen a d’ailleurs passé un excellent moment en sa compagnie. "Les photos sont drôles, Terry a un décalage, c’est ludique, il raconte une histoire pleine de fantaisie. L’avantage avec lui, c’est qu’il fait tout le temps poser des filles nues, du coup il n’y a aucun malaise, on sent qu’il a l’habitude ! C’est un vrai artiste" raconte-elle à Lui.

EROTIQUE SOUS L’ŒIL DE TERRY RICHARDSON

Décidemment, la mode est au topless chez le microcosme que forment les actrices françaises. Après Léa Seydoux, Leatitia Casta et Marie Gillain, c’est donc au tour de Virginie Ledoyen de dévoiler ses courbes parfaites. Au milieu d’un décor à l’esprit baroque du XVIème siècle, l’actrice trône sur un fauteuil d’inspiration Louis XV, les jambes écartées, un chat abyssin placé au bon endroit. Rouge à lèvres carmin, smoky eyes et chevelure sauvageonne, l’actrice révélée par Olivier Assayas dans "L’Eau froide" est diablement sexy. Titrée "Virginie Ledoyen sur un toit brûlant", en référence à la pièce de théâtre de Tennessee Williams écrite en 1995, "La chatte sur le toit", la connotation sexuelle de la photographie est bel et bien assumée. Il semblerait donc que la collaboration entre les deux artistes se soit donc passée sans accroc, et la maman de trois enfants a tenu à le dire. En effet, le photographe est au cœur de vives polémiques, accusé d’attouchements et abus sexuels sur ses models : "Il s’est extrêmement bien tenu, un parfait gentleman" s’est-elle empressée de préciser.

VIRGINIE LEDOYEN SE LÂCHE

Cet entretien accordé à Frédéric Beigbeder, le patron du magazine Lui a donc été l’occasion pour l’actrice de mettre les points sur les i. Toujours pas eu d’oscar ? Elle s’en "contrefiche", car "plus rien ne [la] vexe". Elle lâche même une phrase assez étonnante : "Etre actrice, c’est chiant", avant de vite se rattraper "quand on ne travaille pas ! Mais quand on travaille c’est exaltant. Devenir le vecteur d’un monde, entrer dans l’univers de quelqu’un, franchement, c’est super dépaysant".

Au casting du film d’Eric Hannezo, "Rabid Dogs", dont la sortie est prévue pour mai, Virginie Ledoyen fera son retour sur le grand écran. Ses secrets de longévité dans ce milieu ? "Avoir une vie en dehors du cinéma, ça aide à ne pas angoisser quand le téléphone ne sonne pas".

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