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Jours tranquilles à Paris
22 mai 2016

To be or not to be, that is the question ?

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22 mai 2016

Ile-de-France: Valérie Pécresse annonce la disparition du ticket de métro «à l'horizon 2021»

Les jours du ticket de métro parisien sont comptés. Valérie Pécresse, présidente (Les Républicains) de la région Ile-de-France, annonce dans le Journal du Dimanche la disparition du titre de transport rectangulaire «à l'horizon 2021».

D'ici à cette date, «tous les valideurs franciliens accepteront la carte bancaire sans contact» et sera également développé un «porte-monnaie transport». «Les voyageurs occasionnels pourront charger une somme d'argent sur un passe Navigo anonyme et seront débités du montant du trajet à chaque validation de leur passe, comme avec un billet magnétique», explique Valérie Pécresse.

Le passe Navigo «dématérialisé»

Le passe Navigo, titre de transport des abonnés aux transports franciliens, va devenir «dématérialisé» et sera rebaptisé «smart Navigo». «Entre 2018 et 2020, nous lancerons la première mise en oeuvre du passe Navigo sur smartphone», ce qui permettra de télécharger le forfait de transport directement sur le téléphone, précise la présidente de région, qui est à la tête également du Syndicat des transports d'Ile-de-France (Stif).

Elle envisage également la mise en place d'un paiement différé ou «post-paiement»: «L'idée est de facturer aux usagers la tarification la plus avantageuse pour eux, en fonction de leur consommation de transports dans le mois. Par exemple, un carnet de dix tickets plutôt qu'un Navigo par semaine».

22 mai 2016

Vu sur internet - j'aime beaucoup

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22 mai 2016

Extrait d'un shooting - ronde et belle

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22 mai 2016

Autoportrait

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22 mai 2016

Festival Photo de La Gacilly - bientôt....

PAYS INVITÉ : LE JAPON

LUCILLE REYBOZ

Les sources chaudes naturelles, lieux privilégiés de la religion shintoïste, s’étendent du nord au sud de l’archipel. Pour les Japonais, ces bains, pratiqués comme des rituels, expriment, d’une manière intime, leur rapport au monde et à sa propre vulnérabilité.

À Tokyo, cette quête de la nature pousse même les citadins à recréer des sources artificielles qui deviennent des refuges dans le chaos urbain.

Fascinée par le Japon, qu’elle découvre à l’occasion d’un voyage, tout comme par la relation entre l’homme et la nature, Lucille Reyboz découvre là-bas les « Onsen », ces sources chaudes, baignées d’une atmosphère étrange et féerique, lieux sacrés du Japon, fréquentés même pour les dieux, où l’on se baigne nu en pleine nature.

« Quand on va se baigner dans les Onsen, on dit qu’on retourne dans le ventre de la mère », explique Lucille Reyboz. S’impliquant dans son sujet, la photographe s’est rendue de nombreuses fois dans ces bains du Japon traditionnel, au cœur de la nature vénérée. Elle a composé sa série « Source ». Pour mieux saisir ces moments privilégiés où les corps s’abandonnent, se fondent avec la nature, tel un retour à la matrice originelle, elle a partagé ces bains avec les baigneuses. Les photographies qu’elle nous présente sont empreintes de ce sentiment de grand calme, de douce sérénité autant qu’elles restituent un univers intime, féminin, personnel, délicat et troublant. Avec grâce et sensibilité, Lucille Reyboz nous convie à un voyage hors du temps, dans un Japon secret et pudique, baigné d’une atmosphère étrange et féerique. Au-delà, elle chante une ode à la nature et au corps féminin.

Fascinée par le Japon qu’elle découvre lors d’un voyage qu’elle fait avec Salif Keita en 1999, Lucille Reyboz décide d’y retourner régulièrement, jusqu’à s’y installer en fin 2007. Aujourd’hui, Lucille Reyboz est sans doute la plus japonaise des photographes françaises.

Née en 1973, Lucille Reyboz a grandi à Bamako au Mali. D’abord portraitiste, elle a réalisé plusieurs pochettes de disque pour les labels Blue Note et Verve. Elle a publié ses premiers reportages dans Air France Magazine, Elle, Le Monde... Lauréate de la Fondation Hachette en 2001, avec un travail sur le Japon, le peuple japonais et son rapport à la nature, elle a exposé la même année à « Visa Pour l'Image-Perpignan ».

Son premier voyage au Japon, en 1999, lui avait révélé la religion shintoïste, qu’elle a ressentie comme très proche de l’animisme africain.

Elle partage son temps entre l’Afrique et le Japon, poursuivant son travail sur la relation entre l’homme et la nature. Elle a réalisé avec Boris Van Gils un documentaire, Tata (2002), consacré au pays tamberma (Togo). En 2004, elle publie « Batammaba, bâtisseurs d’univers », chez Gallimard, puis « Source » aux Éditions de La Martinière en 2007.

Installée au Japon, elle crée en 2013 avec Yusuke Nakanishi, le Festival Kyotographie, qui se tient depuis, chaque année, en avril-mai.

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22 mai 2016

Cimetière de bateaux - en face du port d'Etel (morbihan)

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22 mai 2016

Alyssa Arce

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22 mai 2016

Rochefort en Terre - Votez !

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22 mai 2016

In memorem - Victor Hugo

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