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Jours tranquilles à Paris
25 juin 2016

Patrick Demarchelier (photographe)

#Vogue

Une photo publiée par Patrick Demarchelier (@patrickdemarchelier) le 25 Juin 2016 à 1h08 PDT

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25 juin 2016

"Le Corsaire" - Opéra Garnier hier soir

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Photos : Jacques Snap

https://www.operadeparis.fr/saison-15-16/ballet/english-national-ballet/galerie

http://www.ballet.org.uk/

 

Le Corsaire

Prestigieuse compagnie londonienne fondée en 1950, par d'anciens danseurs des Ballets Russes, l'English National Ballet est pour la première fois invité à danser à l'Opéra de Paris. Dirigée depuis deux ans par la talentueuse ballerine d'origine espagnole Tamara Rojo, la compagnie présente l'un des plus célèbres ballets de son répertoire : Le Corsaire, dans la version de Marius Petipa et Constantin Sergeyev remontée par Anna-Marie Holmes. Cette fantaisie créée en 1856 à Paris dans la chorégraphie de Joseph Mazilier fut introduite en Russie par Jules Perrot, avant d'être reprise en 1899 par Marius Petipa pour en faire un grand ballet spectaculaire et haut en couleur. L'argument, inspiré d'un poème de Lord Byron, situe l'action dans l'ancienne ville turque d'Andrinople.

Le fougueux corsaire Conrad y tombe amoureux de la belle Médora, pupille du marchand d'esclaves Lankedem et convoitée par le très puissant Pacha. Isaac, un compagnon de Conrad, et Gulnare, la belle esclave amoureuse du Pacha, s'invitent dans l'intrigue. Enlèvements, scènes de naufrage et de révolte, empoisonnements et réconciliations emportent les interprètes dans un récit épique et romanesque, relatant les amours contrariées des deux héros. La chorégraphie, d'une grande exigence technique, permet de mettre en valeur tous les artistes de la compagnie.

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Photos ci-dessus prises par Noémie à l'Opéra Garnier

25 juin 2016

Brexit

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25 juin 2016

Notre-Dame-des-Landes. Près d'un million d'électeurs appelés aux urnes

Demain, 967.500 habitants de Loire-Atlantique sont appelés aux urnes à l'occasion du référendum organisé afin de trancher sur l'avenir du projet controversé d'aéroport de Notre-Dame-des-Landes. Cette consultation locale, annoncée le 11 février par François Hollande et première du genre en France, n'a que valeur d'avis, mais le chef de l'État et son Premier ministre ont promis qu'elle serait suivie d'effet, quel que soit le taux de participation et quel que soit son résultat. Les électeurs sont invités à répondre à la question : « Êtes-vous favorable au projet de transfert de l'aéroport de Nantes-Atlantique sur la commune de Notre-Dame-des-Landes ? ». Le vote se déroulera, comme pour n'importe quel scrutin, dans 1.051 bureaux de vote, répartis dans les 212 communes du département, de 8 h à 18 h, et jusqu'à 20 h à Nantes. « Si le non l'emporte, le projet sera abandonné. Si le oui l'emporte dimanche, le projet sera engagé », a déclaré Manuel Valls. Mais dans le camp du « non », les associations opposées de longue date à un nouvel aéroport nantais, ainsi qu'Europe Écologie Les Verts et le Parti de gauche, ont annoncé qu'ils ne respecteraient qu'un seul résultat, la victoire du « non ». Source Le Télégramme

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Photos : Faustine

25 juin 2016

David Bellemere (photographe)

The freedom issue @playboy @rebeccablackcreative #davidbellemere #teambellemere #bangbamg! @tarawilliams

Une photo publiée par David Bellemere (@davidbellemere) le 25 Juin 2016 à 0h24 PDT

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25 juin 2016

Paris. Mobilisation pour sauver les kiosques !

Avec leur dôme et leur frise, ils sont emblématiques de la capitale. Le modèle a été conçu par l'architecte du Paris haussmannien, Gabriel Davioud. Une pétition en ligne lancée pour sauver les célèbres kiosques à journaux haussmanniens de Paris, dont la mairie a annoncé le remplacement, a fait réagir associations et défenseurs du patrimoine. Elle a obtenu plus de 10.000 signatures en quelques jours. Ils veulent sauver leurs fameux kiosques à journaux et, pour cela, ont lancé une pétition en ligne. « Ça prend de l'ampleur car nous sommes loin d'être les seuls à aimer le charme de Paris et à vouloir le conserver ! », explique Juliette, une Parisienne de 37 ans à l'origine de l'initiative (Change.org/KiosquesJournauxParis). « Ça touche l'intégrité de la ville, à l'image de Paris et c'est un budget de plus de 50 millions d'euros : ce serait bien de laisser les Parisiens s'exprimer ! », ajoute-t-elle. La Ville de Paris veut remplacer les quelque 360 kiosques parisiens, dont le modèle a été conçu par l'architecte emblématique du Paris haussmannien, Gabriel Davioud (1823-1881), par un modèle « innovant », sans frise ni petit dôme sur le toit. Une décision qui fait réagir vivement les spécialistes de l'histoire de Paris et les défenseurs du patrimoine. « Il y a un paysage typique parisien, qui doit beaucoup à Haussmann et qui est l'un des fonds de commerce de Paris : c'est dommage de le démanteler », souligne ainsi Michel Carmona, spécialiste reconnu du Paris haussmannien. « Paris a refait à l'identique ces kiosques, il y a près de quarante ans, parce qu'il fallait préserver le paysage urbain, explique-t-il. Dire que c'est du plagiat est absurde. C'est comme si on disait la même chose de Notre-Dame de Paris parce que 80 % de ses pierres ne sont plus d'origine. Les fontaines Wallace ou les colonnes Morris sont aussi des répliques. » Un projet « puéril » La maire de Paris, Anne Hidalgo, a répliqué : « Si certains préfèrent les kiosques plagiat d'Haussman, moi, non ». Bref, le débat s'enflamme. Le projet est « puéril et contribue encore et toujours à banaliser Paris sans réelle justification fonctionnelle », estime, de son côté, le vice-président de la Société pour la protection des paysages et de l'esthétique de la France, Julien Lacaze. Le président du groupe UDI-MoDem au Conseil de Paris, Éric Azière, a même comparé le nouveau modèle de kiosque à une « photocopieuse »...

 

25 juin 2016

Extrait d'un shooting - encadrée

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25 juin 2016

Pauline Moulettes

25 juin 2016

Nouveaux atours pour la tour Montparnasse

La revue d’architecture Le Moniteur vient de tomber sur un joli morceau : les nouvelles aventures de la tour Montparnasse, un concours lancé pour transformer cet édifice ingrat, achevé en 1973, en nouvelle fierté des Parisiens d’ici à 2024.

L’opération, baptisée « Demain Montparnasse », sera conduite par l’Ensemble immobilier tour Maine-Montparnasse (EITMM), qui compte 280 membres, propriétaires de tranches de cette bûche aux marrons, haute de 210 m.

« Il s’agit de la mettre aux standards de demain et, ainsi, de lui redonner ce caractère de modernité qu’elle représentait il y a quarante ans », a expliquéPatrick Abisseror, le président de la structure porteuse du projet. Jeudi 16 juin, un concours a été lancé auquel peuvent candidater des équipes d’architectes et de bureaux d’études a priori familières de ce type d’ouvrage. Date limite : le 13 juillet.

Ce sont les 73 copropriétaires de la tour seule qui en financeront la métamorphose à 100 %, le budget estimé étant de 500 à 700 millions d’euros hors taxes (informations sur Demain-montparnasse.com). En septembre, six équipes seront sélectionnées et devront rendre un projet d’ici à la fin 2016, qu’analysera un comité d’orientation et qui sera présenté pour avis à la Mairie de Paris, aux élus des 6e, 14e et 15e arrondissements ainsi qu’aux riverains.

« Pourquoi pas une coiffe ? »

Les équipes qui ne seront pas retenues seront rémunérées à hauteur de 120 000 euros. Le lauréat, désigné au printemps 2017, sera choisi par les copropriétaires de la tour. Ceux-ci s’appuieront sur l’expertise de l’architecte Jean-Marie Duthilleul, qui voit la tour actuelle comme « une sorte de grand ­monolithe noir et marron, très sombre, qui ne reflète pas le ciel ».

L’architecte, qui a dirigé l’agence des gares et transformé la gare Montparnasse, imagine une tour « beaucoup plus douce, blanche ou translucide, et surtout réfléchissante », recouverte d’une « double peau mince » tirant sur le gris ou le bleu « selon la météo ».

La forme même de la tour pourrait changer. « Toutes les propositions sont possibles, on accepte les surprises. Pourquoi pas des balcons ou des occlusions dans la façade ? Pourquoi pas une coiffe pour en finir avec ce toit plat ? »

« C’est ici qu’a été inventé le cubisme il y a un siècle, rappelle Jean-Marie Duthilleul. On peut s’en inspirer, redessiner la tour comme si elle avait été conçue par Picasso ou Fernand Léger… »

Un Time Square parisien

Les copropriétaires envisagent également de développer la composante culturelle liée à l’histoire du quartier. Pour Patrick Abisseror, « on pourrait proposer deux fois par an à un scénographe de s’emparer d’une façade de la tour ». L’idée d’Anne Hidalgo de faire de Montparnasse un Time Square parisien prendrait alors tout son sens.

Enfin, si, à ce stade, le concours porte uniquement sur le gratte-ciel, l’EITMM caresse l’idée de redonner du lustre à l’ensemble de l’îlot Maine-Montparnasse.

S’agissant d’une structure privée, le concours échappe aux contraintes habituelles des constructions publiques. Mais, depuis un an, les copropriétaires se sont donné comme syndic Icade, filiale de la Caisse des dépôts (9,2 milliards d’euros de patrimoine). Avant de possibles transformations, Icade doit gérer les 155 000 mètres carrés (m2) des 56 étages de la tour, les 22 000 m2 du Centre international du textile, les 110 000 m2 du centre commercial… Soit au total 300 000 m2.

Avant le miracle de sa transformation, il faudra résoudre quelques problèmes, tel celui du désamiantage de la tour. Commencé en 2006, il avait déjà coûté 250 millions d’euros en 2013. Enfin, il faut souhaiter que le choix de l’architecte échappe à la fois à la timidité et à l’ambition excessive.

Faute de quoi, le commentaire de Bernard Arnault sur l’édifice actuel pourrait se perpétuer. Un de ses plaisirs, déclarait récemment l’industriel, était de voir, du haut de la Fondation Louis Vuitton, la Défense, qui lui paraît « esthétique », et la tour Eiffel, qui, à cet endroit, a le bon goût de cacher la tour Montparnasse. Article de Frédéric Edelmann - Journaliste au Monde

25 juin 2016

Terry Richardson

Diamonds and ice cream, a perfect combo! Natasha Poly in Vogue Paris, 2005 💎🍦💕 #tbt @natashapoly @vogueparis

Une photo publiée par Terry Richardson (@terryrichardson) le 23 Juin 2016 à 10h25 PDT

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