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Jours tranquilles à Paris
20 octobre 2016

Publicité - avec une photo d'Helmut Newton

@maccosmetics @macmkup by @helmutnewtonfoundation #model @sylvia_gobbel #newcampaign out now #worldwide

Une photo publiée par Sylvia Gobbel (@sylvia_gobbel) le 20 Oct. 2016 à 6h57 PDT

Modèle : Sylvia Gobbel

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20 octobre 2016

Vu sur instagram - Non, ce n'est pas moi en train de tondre la pelouse en Bretagne !

h1Quoique ???

20 octobre 2016

Terry Richardson

terry

20 octobre 2016

AURAY : La région alréenne fait sa « vélorution »

L’intercommunalité veut développer ses infrastructures pour développer l’usage du vélo. Élus, associations et techniciens planchent sur ce réseau intercommunal de pistes cyclables.

Le vélo est sur la bonne piste ! La communauté de communes d’Auray Quiberon Terre Atlantique (Aqta) planche sur son réseau de pistes cyclables. Objectif ? Le développer pour« démocratiser » l’usage de la petite reine.

Trajet domicile-travail

Selon un diagnostic établi par le cabinet d’études Item, près de 10 000 personnes sur le territoire travaillent dans leur commune de résidence, soit la moitié des actifs du secteur. Et 81 % des scolaires étudient dans la région.« Les flux vont en majorité vers Auray dans le cadre de déplacement domicile-travail, et une majorité de personnes vient du nord du territoire » , indique Séverine Grould, chef de projet au cabinet. Soit un secteur relativement proche de la cité alréenne. Or, malgré ce nombre important de personnes qui réalisent de courtes distances, le vélo est sous utilisé. 3 % seulement l’utilisent contre 15 % qui choisissent de marcher. Le potentiel est donc là quand on sait que sous la barre des 5 kilomètres, la pratique de la petite reine peut devenir un vrai mode de vie.

Des besoins

Reste que c’est justement dans le nord que l’inventaire des infrastructures cyclables révèle le plus de besoins. Si la côte est bien pourvue en termes de liaisons douces permettant la pratique du vélo, du côté de Landaul, Plumergat, Sainte-Anne, Locoal ou encore Pluneret, le manque de pistes cyclables est réel.« Le territoire ne part pas de rien » , rappelle néanmoins Fabrice Robelet, vice-président à Aqta en charge du dossier. 357 kilomètres de voies cyclables existent en effet déjà et 137 kilomètres sont en projet par les communes. Mais seulement 45 % de ce réseau existant sont en adéquation avec les déplacements domicile travail.

Un plan

Des propositions sur les infrastructures à mettre en place pour élaborer un réseau intercommunal cyclable ont été présentées : où rallonger les pistes, installer des équipements adaptés, etc., en s’appuyant aux équipements intercommunaux prioritaires comme les gares, le futur pôle d’échange multimodal, les aires de stationnement… Des ateliers vont à présent être mis en place avec élus, cabinet, associations d’usagers et techniciens pour prioriser les besoins :« Nous ne pourrons pas tout faire d’un coup » ,confirme Emmanuel Oger, directeur pôle technique et infrastructure à Aqta.« L’idée n’est pas d’intervenir sur besoins communaux mais bien d’établir un réseau continu d’intérêt intercommunal » , rappelle le technicien. Le schéma définitif pourrait être présenté dès le printemps prochain avec un début de travaux espéré dès fin d’année. Fanny Pilet, chargée de mission mobilité transport à Aqta, l’assure :« La demande pour la réalisation de ces liaisons douces est très forte. Et c’est en créant les infrastructures nécessaires que l’on donnera de nouvelles habitudes pour aller au travail. C’est l’avenir. » Article de Stéphanie HANCQ.

20 octobre 2016

Armano Scacci

armano

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20 octobre 2016

Ren Hang

20 octobre 2016

Exposition Coluche à l’Hôtel de Ville

Jusqu'au 7 janvier 2017 à l’Hôtel de Ville

Présentation de l’artiste

Coluche (1944-1986), Michel Colucci pour l’état civil, était vraiment un peu remuant. Il avait obtenu le César du meilleur acteur en 1984, pour son rôle dramatique dans Tchao Pantin, et détenait le record du monde du kilomètre lancé sur piste avec 252,087km/h sur la Yamaha 750 OW 31 au carénage rose.

Comme l’avait fait avant lui un autre humoriste français, Pierre Dac, en 1965, il s’était personnellement présenté à l’élection présidentielle en 1981. Il avait alors déclaré : "Avant moi la France était coupée en deux. Maintenant elle sera pliée en quatre."... avant de se retirer quelques semaines plus tard.

Autre haut fait. Pour moquer le mariage si spectaculairement étrange d’Yves Mourousi, star cathodique à l’époque incontestée, Coluche s’était marié, "pour le meilleur et pour le rire", dans une grandiose parodie populaire et prophétique, avec l’humoriste tout aussi si ce n’est plus féroce Thierry Le Luron le 25 décembre 1985.

Michel Colucci, dit Coluche, était aussi à l’initiative ou à l’origine d’une loi qui porte son nom, un dispositif de la loi de finances française inscrit pour 1989 (après sa mort), et créant une déduction fiscale supplémentaire pour certaines associations, caritatives et humanitaires dites "organismes d’aide aux personnes en difficulté".

Il était également le fondateur de ces incroyables Restos du Cœur, qui ont distribué dans Paris et de nombreuses autres villes françaises des dizaines et des dizaines de millions de repas, et qui en sont aujourd’hui à leur quelque 31e campagne, et sans lesquels...

Coluche avait lancé le projet le 26 septembre 1985 sur Europe 1 en déclarant : "J’ai une petite idée comme ça, si des fois y a des marques qui m’entendent, je ferais un peu de pub tous les jours. Si y a des gens qui sont intéressés pour sponsorer une cantine gratuite qu’on pourrait commencer par faire à Paris".

Éléments biographiques

28 octobre 1944. Naissance à Paris de Michel-Gérard-Joseph Colucci.

1965-1968. Rencontre de Georges Moustaki et de Romain Bouteille (qui le nommera Coluche).

1968. Création du Café de la Gare de Romain Bouteille, avec Coluche, Patrick Dewaere, Miou-Miou, Sotha...

1974. Mes Adieux au music-hall, 1er one man show au Café de la Gare.

1975. Qu’il reprend à l’Olympia.

1978. Sur Europe n°1 "On n’est pas là pour se faire engueuler".

1980. Annonce sa candidature à l’élection présidentielle. Joue dans Inspecteur La Bavure, de Claude Zidi.

1981. Tourne dans Le Maître d’école, de Claude Berri.

1982. Deux heures moins le quart avant Jésus-Christ, de Jean Yanne / Banzaï, de Claude Zidi / Tchao Pantin, de Claude Berri.

1984. La Femme de mon pote, de Bertrand Blier. César du meilleur acteur pour Tchao Pantin.

1985. Mariage avec Thierry Le Luron / Lancement sur Europe 1 de l’idée des Restos du cœur / Record du monde du kilomètre lancé à moto (252,087km/h (circuit de Nardo en Italie) / Y’en aura pour tout le monde sur Europe 1 / Coluche 1-Faux sur Canal +.

1986. Collision contre un camion, alors qu’il roulait en moto à 55km/h.

Présentation de l’exposition à l’Hôtel de Ville

Lors de ses Vœux aux élus prononcés le 6 janvier 2016 par Anne Hidalgo, maire de Paris, à l’Hôtel de Ville, des annonces ont été faites dont celle d’une grande exposition consacrée à l’humoriste, acteur et animateur radio Coluche, "toujours grossier, jamais vulgaire", en commémoration de sa mort, survenue il y a 30 ans en moto dans un accident, le 19 juin 1986 à Opio (06).

Cette exposition, réalisée avec l’aide de sa veuve Véronique Colucci, se tient à l’Hôtel de Ville, et est gratuite.

Elle ne statufie pas trop l’humoriste... Il est vrai que le risque existe et que Coluche appréciait tellement les honneurs qu’il aurait dit : "Si on voulait me donner la légion d’honneur, j’irais la chercher en slip pour qu’ils ne sachent pas où la mettre"… Rendu là, pourquoi en slip ?

Né à Paris, et orphelin de père à l’âge de 3 ans, il fut élevé à Montrouge par sa mère, fleuriste à Montparnasse. Il grandit dans un environnement très modeste, et peut-être fleuri.

Il enchaînera plus tard les petits boulots avant de se rapprocher des cabarets et du monde de la musique.

Il est resté dans nos mémoires dans son costume de scène, cette salopette d’ouvrier du rail, son T-shirt jaune, chaussé de godillots, nez rouge, pommettes cramoisies, et son inimitable coiffure "à la toréador".

Très tôt (tréteaux ?), Michel Colucci aime le rythme (musical ou mécanique), le déguisement et l’outrance du trait qui débusque la satire...

On a dit qu’il appréciait les belles créatures, les grosses motos, les jolies voitures... Il précisait souvent : « Les gens confondent la grossièreté avec la vulgarité. Pourtant, si la grossièreté est une manière de dire, la vulgarité est une manière de ne pas être ».

Il a choqué, fait rire, fait réfléchir aussi. Il a suscité l’adhésion ou le violent rejet. Il a su mettre en exergue les frontières des langages générationnels, et user d’une fausse naïveté conflagrationnesque...

Coluche, l’artiste généreux, aura marqué un saut qualitatif dans la laborieuse histoire de l’humour francophone par ses mots, ses outrances nécessaires, son esprit d’un criticisme acéré, et son généreux débit de flèches meurtrières contre nos égoïsmes, nos pédantismes et nos idées rances.

L’exposition, présentée à l’Hôtel de Ville, illustre la vie de cet homme (forcément) unique, curieux et raffiné, le parcours du comédien, à travers des extraits de films, des affiches, des objets de son univers personnel, ses costumes, des photos, des vidéos et des témoignages montrant la grande richesse et l’extrême diversité de ses centres d’intérêt.

Certains iront voir dans l’impatience, avec gourmandise, et bien sûr aussi un peu d’inquiétude, cette exposition, tant le bonhomme s’était entouré avec un soin jaloux de pièges à loups sémantiques, pour tenter, par prémonition mais certainement insuffisamment, de se prémunir contre les récupérations de toutes sortes, flagorneries, tableaux d’honneur et mausolées.

Entre nous, si ce pitre n’était certainement pas un ange, ce n’était pas plus un démon d’ailleurs, et nos chaines de télévision ont très vite pris le pli de nous le montrer avec systématisme, comme la Traversée de Paris et les vieux films d’Audiard, au moment des fêtes de fin d’année, et très généreusement dans les EHPAD.

Des objets dont la moto du record et la robe de mariée, et des photos et des lettres et des morceaux de films, des affiches, et des récits, des témoignages bien loin...

Et pourtant, je défie la plupart des visiteurs de cette exposition de ne pouvoir la quitter sans reconnaître que, malgré ces si nombreuses redites télévisuelles imposées, des aphorismes et des mimiques de Coluche auront su les cueillir comme aux premiers jours et leur arracher quelques sourires de plaisir et de nostalgie.

"Moi je suis plutôt de ceux qui veulent apprendre que de ceux qui cherchent à savoir."

"Je joue un peu de tout, mal, mais je m’en fous. Je suis musicien à cause des oreilles pas à cause des mains."

La dictature c’est "ferme ta gueule" la démocratie c’est "cause toujours".

Une place a été abandonnée un peu vite, par un de nos grands hommes, assurément... mais des extraits repassent gratos à l’Hôtel de Ville !

Les fans pourront se procurer le livre qui accompagne cette exposition et rassemble quelque 150 photographies, dessins et documents sur ce parcours si singulier. Le Cherche-Midi, 148 pages, 19,80€.

Coluche, jusqu'au 7 janvier 2017, Hôtel-de-Ville, salle Saint-Jean, 5 rue de Lobau, 75004-Paris. Entrée gratuite. Tous les jours de 10 à 18h30 sauf dimanches et jours fériés.

20 octobre 2016

Milo Moiré (artiste)

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20 octobre 2016

BRETAGNE : Ces films cultes tournés dans le Golfe

Dans le livre Le Cinéma Breizh-îlien , Isabelle Le Corff évoque ces films avec Jean Rochefort, Danielle Darrieux, Gérard Depardieu…

L’idée

Une mer docile, des îles, des demeures de charme, une belle lumière…, le golfe du Morbihan tape régulièrement dans l’œil des réalisateurs. Maître de conférences à l’université de Bretagne occidentale et passionnée de cinéma, Isabelle Le Corff a recensé dans son livre, Le Cinéma Breizh-îlien, tous les films tournés dans les îles bretonnes. Un chapitre est consacré au golfe du Morbihan. L’Île-aux-Moines, Boëdic ou les Logoden ont le beau rôle. Le Cavaleur avec Jean Rochefort et Danielle Darrieux, Mon Oncle d’Amérique avec Gérard Depardieu et Nicole Garcia, À Nous les garçons avec Franck Dubosc et Roland Giraud, La Petite Lili avec Jean-Pierre Marielle… tous ces films ont été tournés dans le Golfe. On y découvre quelques anecdotes de tournages illustrées par Nono. L’actrice Nicole Garcia a ainsi joué dans trois films ayant pour cadre les îles du Golfe et Franck Dubosc a tenu son premier rôle à 22 ans, en Morbihan. Parmi les lieux particulièrement reconnaissables on retrouve le château du Guerric de l’Île-aux-Moines où se joue l’intrigue de La Petite Lili. Les îles Logoden sont le lieu refuge du culte Mon Oncle d’Amérique .Le cairn de Gavrinis a été témoin des amourettes d’ À nous les garçons et la maison hitchcockienne de Boëdic, située pour les besoins du film le Cavaleur , sur l’Île aux Moines .Ah, la magie du cinéma… Article de Olivier CLÉRO.

20 octobre 2016

Extrait d'un shooting - pop

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