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Jours tranquilles à Paris
28 février 2017

David Hockney sera au Centre Pompidou du 21 juin au 23 octobre 2017 - SAVE THE DATE

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28 février 2017

Carnac : Des visites pour voir les mégalithes autrement

La Maison des Mégalithes propose des visites dans les pas d’un guide conférencier. En ce moment, elles se déroulent aux alignements de Kermario.

Le rendez-vous

Responsable du service culturel et éducatif de la Maison des Mégalithes, Jean-Michel Bonvalet résume le propos des visites-conférences organisées par le Centre des monuments nationaux. Pour les construire,« on est parti des interrogations du public : quand, où, quoi, qui, comment et surtout pourquoi ? » Jusqu’au 5 mars, des départs ont lieu tous les jours, sauf le samedi, à 15 h. Elles se font actuellement à Kermario (en ce moment fermé à la visite libre). Les visites se déroulent dans les pas d’un guide conférencier, qui propose au public de porter un autre regard sur les alignements.« Dans le mouvement de la science actuelle, on voit que peut-être la ligne n’est pas la règle, poursuit Jean-Michel Bonvalet.Quand on se place différemment dans le site, elle disparaît. » Ce point de départ amène« à rebondir » sur les théories qui se sont succédé au sujet des mégalithes. Tout d’abord, celle d’un lien avec les astres :« Ils n’ont rien à voir avec les alignements de Carnac. » Ainsi qu’une autre, en cours jusqu’au début des années 2000 :« Celle des vestiges d’un temple avec des espaces de déambulation, qui auraient permis d’accéder à un autre espace : une enceinte mégalithique. » Puis, on s’est rendu compte qu’on« ne regardait peut-être pas dans le bon sens ». Aujourd’hui, on considère les connexions entre les pierres levées,« les autres monuments qui accompagnent : grands tombeaux, tumulus, tertres ».

« Nouvelle approche »

L’archéologie du paysage est« fondamentale dans la nouvelle approche ». Ainsi, à l’époque, depuis Kermario,« on voyait le Ménec ». Un monument« prend son sens car il résonne avec un autre plus loin ». Les conférenciers« donnent des informations sur tout cela ». La question de comment ont été érigées les pierres incite à les observer de près.« Certains gros blocs portent leur histoire sur eux. » Par exemple,« sur le flanc de celui-ci, cette vasque est le résultat de dizaines de milliers d’années d’érosion » : affleurements de granit, les pierres« ont été arrachées, transportées » et érigées vers le ciel par les hommes du néolithique.« Cela permet de parler de la manutention : rondins de bois, leviers, cordages en fibres végétales, etc. » La visite enchaîne« sur le qui ». Un travail« de cette ampleur » (quelque 3 000 pierres levées aux alignements du Ménec, Kermario et Kerlescan) suppose« une société très organisée », avec« des équipes : tailleurs, cordages… » L’image de l’homme préhistorique« qui peint dans les grottes » n’est pas d’actualité :« Cette société, c’est déjà la nôtre. » Elle a aussi« des élites », inhumées dans des tombes dont le mobilier est visible au Musée de Préhistoire, avec des objets faits avec des pierres provenant d’Italie et d’Espagne. On se situe à la fin du néolithique, quand« l’homme devient sédentaire grâce à l’agriculture et à l’élevage », rappelle Jean-Michel Bonvalet. Cette évolution« change son rapport à l’environnement. L’homme prédateur devient producteur. Il a domestiqué la nature. » Article de Virginie JAMIN.

Maison des Mégalithes, le Ménec : visite-conférence à 15 h, tous les jours (sauf les samedis) jusqu’au 5 mars. Tarifs : 6 €, réduit 5 €, gratuit moins de 18 ans. Rendez-vous à la Maison des Mégalithes 15 minutes avant. Contact : tél. 02 97 52 29 81. Site : www.menhirs-carnac.fr

28 février 2017

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28 février 2017

Avertissement ?

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Street Art

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28 février 2017

Souvenir : mon bus 70 autrefois, rue de Rivoli

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28 février 2017

Coup de blues ?

Feeling extremely unmotivated today.. I think its time to give up and go have some 🍷 Who's with me ? #gymgirl #moody

Une publication partagée par AILONA (@ailona_hulahoop_official) le 26 Févr. 2017 à 7h31 PST

28 février 2017

La gare Montparnasse s’offre un lifting à 150 millions d’euros

Un plafond de verre, deux ascenseurs panoramiques, deux fois plus d’escaliers mécaniques... La gare va changer de visage. Le chantier, qui va commencer au printemps, doit être bouclé en trois ans.

Article de Élodie Soulié

C’est un défi urbanistique, environnemental, architectural… La gare Montparnasse (Paris), par laquelle ont transité l’année dernière plus de 51 millions de voyageurs, doit se préparer à une hausse de 50 % de sa fréquentation à l’horizon 2037, soit dans vingt ans, qui passeront à l’allure d’un TGV. Mais la SNCF compte bien anticiper son gigantesque projet de modernisation de la gare et de ses abords.

C’est « Montparnasse 2020 », un programme à 150 M €, dont les premiers coups de pioche devraient être donnés dès ce printemps. Il associe la branche immobilière de la SNCF, Gares & Connexions pour tout le périmètre d’exploitation, et l’opérateur d’immobilier commercial Altarea Cogedim, qui réalisera et exploitera les commerces de la gare du futur. Leur gâteau commun représente 52 000 m  2 à rénover, au rythme assez intensif de cinq chantiers concomitants, à boucler dans les trois ans à venir.

Une circulation plus pratique entre le métro et les quais

« Il y a nécessité de repenser les espaces, pour améliorer tout à la fois la circulation en gare, le confort et les services offerts aux voyageurs, aux visiteurs et aux riverains qui transitent chaque jour par Montparnasse », soulignent les représentants de Gares & Connexions. Cela passera également par « le renouvellement de l’offre de commerces, afin de faciliter le quotidien des visiteurs, des riverains et des voyageurs ».

Des dizaines de milliers de personnes chaque jour, dont les deux tiers arrivent à Montparnasse par le métro, faisant aussi de la gare un véritable carrefour des transports. D’où la nécessité de « renforcer les circulations verticales », précise la SNCF, en assurant l’accès de tous les niveaux de la gare depuis le métro jusqu’aux quais, via la création de deux ascenseurs panoramiques.

Exit aussi la dalle de béton, elle laissera place à un plancher de verre, tandis que le quai le plus transversal sera jalonné de commerces et d’espaces d’attente. Le nombre d’escaliers mécaniques sera plus que doublé, une véritable « place » dégagée sera créée, comme une sorte de hall d’échange entre les espaces de la RATP et de la SNCF. « Que chacun puisse trouver son chemin », souligne l’exploitant, qui prévoit également les premières ouvertures des nouveaux commerces dès le dernier trimestre 2018.

Enfin la requalification comprend aussi la réorganisation de l’ensemble des services aux voyageurs, c’est-à-dire les espaces de vente, d’attente, les points d’information, mobilier et équipement inclus. On efface tout et on recommence, version XXI  e siècle.

Des façades en verre et lames d’aluminium habilleront les trois entrées de la place Raoul-Dautry, boulevard de Vaugirard et rue du Commandant-Mouchotte. Côté calendrier, pour un programme si colossal mené de front sur un site si contraint, les maîtres d’ouvrage entament déjà « l’installation » du chantier sur le parvis de la place Raoul-Dautry.

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