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Jours tranquilles à Paris
18 février 2017

Dernier week-end de soldes...

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18 février 2017

Picabia " the adoration of the calf "

Picabia " the adoration of the calf " 1941/1942 At @themuseumofmodernart To finish my stay in NYC.

Une publication partagée par kamel mennour (@kamelmennour) le 17 Févr. 2017 à 13h27 PST

18 février 2017

Laetitia Casta

18 février 2017

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18 février 2017

Nicolas Guérin (photographe)

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18 février 2017

Au musée des Arts Forains

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18 février 2017

François Fillon se maintiendra coûte que coûte même en cas de mise en examen

Par Matthieu Goar

En l’espace de trois semaines, le candidat Les Républicains à la présidentielle a changé de position, considérant que le parquet national financier n’est pas « de bonne foi ».

Certains de ses amis ont beau s’inquiéter et la justice continuer à enquêter, François Fillon maintiendra coûte que coûte sa candidature à la présidence de la République. Jeudi 16 février, le vainqueur de la primaire a annoncé à deux reprises qu’il ne se sentait plus lié par une quelconque décision judiciaire.

« J’entends plus que jamais porter le projet de redressement et de modernisation de la France, conformément au mandat qui m’a été donné par 4,4 millions de nos concitoyens. Je m’en remets donc désormais au seul jugement du suffrage universel », a-t-il déclaré devant les journalistes du Figaro à qui il donnait une interview. Cette phrase a été reprise sur son compte Twitter. Plus tard, lors d’un déjeuner avec des journalistes, il a été plus explicite. « Même si je suis mis en examen, rien ne m’arrêtera », a-t-il dit, selon RTL.

François Fillon a donc changé de position. Il y a trois semaines, sur le plateau de TF1, il avait lié son éventuel retrait à une mise en examen. « Une seule chose m’empêcherait d’être candidat : si mon honneur était atteint ou si j’étais mis en examen », avait-il affirmé, jeudi 26 janvier, deux jours après le premier article du Canard enchaînésur l’emploi d’assistante parlementaire de son épouse.

Une « certaine naïveté »

Ce revirement est intervenu alors que le parquet national financier (PNF) venait d’annoncer dans un communiqué, jeudi matin, qu’il n’envisageait pas « en l’état, un classement sans suite de la procédure ». L’enquête se poursuit donc et le PNF peut encore renvoyer le candidat devant un tribunal correctionnel, ouvrir une information judiciaire ou classer sans suite.

Sauf que la donne politique a changé. Aujourd’hui, aucun de ces scénarios ne poussera François Fillon à retirer sa candidature. Ses déclarations de jeudi sont l’aboutissement d’un changement de stratégie. Dans les jours qui ont suivi l’ouverture de l’enquête préliminaire, mercredi 25 janvier, François Fillon a d’abord pensé que le PNF donnerait rapidement sa décision et qu’il serait blanchi assez vite.

Lundi à la Réunion, il a expliqué lors d’une conversation off avec les journalistes avoir réagi avec une « certaine naïveté ». Sa sortie sur son retrait en cas de mise en examen était par contre largement improvisée puisqu’il n’en avait pas parlé à sa garde rapprochée lors d’une réunion qui s’est tenue quelques heures plus tôt. Dans les premiers jours, François Fillon a en fait été conforté dans cette opinion par son avocat Antonin Lévy. « Lévy a été beaucoup trop optimiste à ce moment-là », lâche un conseiller politique de M. Fillon.

François Fillon a ensuite compris que l’enquête durerait plus longtemps. Selon les fillonistes, ce serait les fuites dans la presse de certaines auditions, notamment dans Le Monde le jour de sa conférence de presse, lundi 6 février, qui l’auraient persuadé que le PNF cherchait à lui nuire et jouait un rôle politique.

« L’action du PNF est politique »

D’où la conférence de presse de ses avocats, vendredi 9 février. Ce jour-là, Antonin Lévy et Pierre Cornut-Gentille ont critiqué l’action du PNF en le disant illégitime à enquêter, notamment au nom de la séparation des pouvoirs. « A ce moment-là, on s’est dit que le jeu était asymétrique. L’action du PNF est politique. Jeudi, il nous fait un communiqué juste pour dire qu’il continue à travailler, c’est juste de l’affichage pour nous nuire. Nous n’avions pas l’habitude de ce genre de bataille », estime un proche de François Fillon.

Jeudi midi, lors de son déjeuner avec des éditorialistes, le candidat a poursuivi son œuvre de délégitimation du travail de la justice : « La position que j’avais prise, c’était à condition d’avoir face à moi des gens de bonne foi. » Lors de leur rencontre, mercredi midi, François Fillon et Nicolas Sarkozy ont évoqué le sujet de la justice. L’ancien président de la République est un habitué des attaques sur la soi-disant partialité des juges à son encontre.

Le candidat de la droite tire un double avantage de cette dénonciation systématique du PNF : elle lui permet de justifier son revirement par rapport à l’engagement pris il y a à peine trois semaines mais aussi de se poser en victime du système judiciaire, un moyen de cimenter sa base électorale autour de lui. Pour François Fillon, cette semaine est celle du passage en force.

Mardi, il a écarté une fronde d’une vingtaine d’élus en affirmant son autorité lors de la réunion des députés du groupe Les Républicains (LR) à l’Assemblée. Devant les parlementaires inquiets par la tournure de la campagne, il a pointé l’absence de solutions alternatives tout en ayant déjà une expression lourde de sous-entendus : « Cette décision [de son maintien], je l’ai prise, je ne reviendrai pas dessus. »

Certains députés avaient parfaitement compris alors qu’il ne se mettrait pas en retrait, même en cas de mise en examen. Les déclarations de jeudi n’ont fait que confirmer cette impression. La droite sait maintenant qu’elle va devoir faire avec ce candidat jusqu’au bout d’une campagne où la justice aura un rôle de premier plan.

18 février 2017

Zahia Dehar

18 février 2017

LAB 14 - Boulevard Montparnasse - derniers jours

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LAB 14 140 boulevard Montparnasse 75014 Paris ACCÈS metro4 : Vavin Bus 91 : Arrêt Campagne première Gare Montparnasse OUVERTURE AU PUBLIC JUSQU'AU 26/02/2017 Horaires : Du Mercredi au Dimanche de 13h à 20h Fermeture billetterie 19h30 du mercredi au dimanche Nocturne jeudi et samedi 22h FERMETURE LE LUNDI ET MARDI Visites guidées : Sans inscriptions, se présenter à l’accueil 5-10 min avant. Tarif unique : 2 € Possibilité de grignoter sur place. Performances, concerts, apéro mix, table ronde, librairie, espace jeux, goodies… ARTANA EVENT Hanna Ouaziz 06.30.79.79.09 contact@artana-event.com

18 février 2017

C'était au Cent Quatre

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