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Jours tranquilles à Paris
21 mars 2017

Coco de mer

coco33

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21 mars 2017

Souvenir...souvenir

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21 mars 2017

Affaires Fillon : l'enquête élargie à des faits d’"escroquerie aggravée", de "faux et usage de faux"

L'enquête sur les époux Fillon est élargie. L'information judiciaire, ouverte notamment pour détournement de fonds publics et abus de biens sociaux, porte également sur des suspicions d'"escroquerie aggravée", de "faux et usage de faux". Un réquisitoire supplétif a été délivré aux juges d'instruction, le 16 mars, par le parquet national financier, a appris franceinfo, confirmant une information du Monde publiée mardi 21 mars.

21 mars 2017

Miles Aldridge

Une publication partagée par @milesaldridge le 20 Mars 2017 à 10h49 PDT

Une publication partagée par @milesaldridge le 20 Mars 2017 à 10h49 PDT

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21 mars 2017

Inrockuptibles

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21 mars 2017

Présidentielle : un premier débat dynamique mais sans bouleversement

Par Solenn de Royer, Cédric Pietralunga, Bastien Bonnefous, Olivier Faye, Matthieu Goar, Alexandre Lemarié, Raphaëlle Besse Desmoulières

Les cinq principaux candidats ont débattu pendant plus de trois heures. Au final, pas de grand vainqueur ni de vaincus. Mais une campagne électorale enfin lancée.

Cette fois, ça y est, la campagne est lancée. Lundi 20 mars, à trente-quatre jours du premier tour, les cinq principaux candidats à l’élection présidentielle – Marine Le Pen, Emmanuel Macron, François Fillon, Benoît Hamon et Jean-Luc Mélenchon – ont pu débattre pendant plus de trois heures, en arc de cercle sur le plateau de TF1 et LCI à la Plaine Saint-Denis, sur les sujets de société, les questions économiques et les enjeux internationaux. Exercice inédit, bousculant les usages de la Vè République.

Animée par les deux journalistes Gilles Bouleau et Anne-Claire Coudray, la soirée a commencé par une pensée pour les absents, ces six « petits » candidats exclus par les organisateurs car à la traîne dans les sondages ; un parti-pris jugé antidémocratique par plusieurs acteurs de ce « grand débat ».

Calme et corsetée, voire ennuyeuse au début, la confrontation a pris un tour plus dynamique et interactif à mesure que la nuit avançait, virant parfois à la cacophonie, sous les yeux d’un public autorisé à se manifester, à rire aux bons mots notamment, ce qui a parfois donné à ce long débat appliqué des faux airs d’émission de divertissement.

In fine, celui-ci ne semble pas avoir bousculé les tendances préexistantes, ni inversé radicalement les rapports de force entre les candidats. Tout ça pour ça ? Revue de détail.

Les affaires ont-elles pesé sur le débat ?

Alors que depuis fin janvier, et les premières révélations du Canard enchaîné sur l’emploi présumé fictif de Penelope Fillon, la campagne présidentielle est rythmée par les affaires, celles-ci ont été absentes du débat télévisé.

Mis en examen depuis le 14 mars, François Fillon s’attendait pourtant à être au centre des attaques de ses adversaires sur ce sujet délicat. Il aura finalement été relativement épargné. Dans la première moitié des échanges, le candidat Les Républicains (LR) s’est même permis de venir lui-même sur ce terrain en proposant de mettre en place une « commission qui planche sur les conflits d’intérêts et les règles de la transparence » en cas d’élection à l’Elysée. Aucun autre candidat ne l’a alors interpellé.

Ce n’est que lorsque les journalistes ont évoqué le « climat des affaires », sans être plus précis, que Jean-Luc Mélenchon a brisé le non-dit qui s’installait dans le studio, moquant ces « pudeurs de gazelle ».

« Ici, il n’y a que deux personnes qui sont concernées : M. Fillon et Mme Le Pen. Nous n’avons rien à voir avec tout ça, alors s’il vous plaît ne nous mettez pas dans le même sac », a insisté le candidat de La France insoumise avant d’égrener ses propositions pour plus de transparence, comme l’interdiction pour un élu d’embaucher des membres de sa famille. « Il n’est pas interdit aux électeurs de récompenser les vertueux et de châtier ceux qui leur paraissent ne pas l’être », a conclu l’ancien socialiste.

« C’est Robespierre… », a alors rétorqué Marine Le Pen, elle-même visée par plusieurs affaires concernant des emplois présumés fictifs d’assistants au Parlement européen.

Seul Benoît Hamon a glissé une allusion aux soupçons qui pèsent sur M. Fillon. Attaqué par ce dernier sur son projet de réduction du temps de travail à 32 heures, le candidat socialiste n’a pas laissé passer l’occasion : « Vous, c’est 500 000 fonctionnaires en moins. Vous êtes très fort en soustraction, un peu moins en addition quand il s’agit de votre propre argent ! »

Mais sur le fond, l’ancien premier ministre n’a jamais eu à détailler sa défense. Aucune allusion sur son train de vie, ses costumes payés par l’homme d’affaires Robert Bourgi ou ses amitiés avec des grands patrons.

François Fillon a même reçu le soutien de Marine Le Pen qui a semblé aller dans son sens. « J’espère qu’elle [la justice] sera aussi rapide que pour M. Fillon », a-t-elle lancé à Emmanuel Macron qui lui reprochait des propos relevant de la « diffamation ». « C’est ce qu’on appelle la justice TGV », a embrayé l’ancien premier ministre qui a profité de sa conclusion pour livrer des éléments de langage désormais bien rodés : « J’ai pu commettre quelques erreurs. J’ai des défauts – qui n’en a pas – mais j’ai de l’expérience. »

Qui a gagné le match à gauche entre Benoît Hamon et Jean-Luc Mélenchon ?

Le premier désaccord est arrivé après… deux heures et dix minutes de débat, sur le revenu universel proposé par Benoît Hamon. Et encore, avec des pincettes de la part de Jean-Luc Mélenchon, qui a jugé « l’idée brillante », mais impossible à réaliser dans l’immédiat. Une illustration de la tragédie de la gauche qui se présente à la présidentielle divisée entre deux candidats finalement d’accord sur pratiquement tous les sujets.

Sur l’éducation, la santé, l’écologie, la sécurité, la laïcité ou l’immigration, MM. Hamon et Mélenchon n’ont en effet exprimé aucune divergence forte. La question européenne n’ayant pas été évoquée, le seul point de friction entre le socialiste et son ex-camarade est intervenu sur les rapports de la France avec la Russie. « C’est là que nous avons un désaccord », a reconnu à voix haute le député des Yvelines.

Pour M. Hamon, ce rendez-vous devait être l’occasion de convaincre une partie des électeurs de M. Mélenchon qu’il était un candidat mieux placé que le député européen pour accéder au second tour de la présidentielle. Mission accomplie ?

Rien n’est moins sûr, alors que M. Mélenchon, qui a multiplié les saillies, a su faire vivre le débat, quand M. Hamon, en s’en tenant à sa feuille de route préétablie, a donné l’impression d’être plus en retrait. Dans le match qui oppose les deux hommes à gauche, le premier a clairement marqué des points lundi soir.

Regonflé par le succès de sa marche pour la VIe République, le candidat de La France insoumise est apparu très à l’aise, enchaînant les formules ciselées et les traits d’humour. Il a notamment fait rire le public en lâchant à propos de la loi El Khomri (qu’il compte abroger) : « Je ne suis pas d’accord pour un code du travail par entreprise, comme je ne suis pas d’accord pour un code de la route par rue. » Il s’en est par ailleurs pris à plusieurs reprises à la candidate du Front national (FN) qu’il accuse, à propos du voile, de « vouloir établir une police du vêtement dans la rue ».

François Fillon a-t-il rattrapé son retard sur Emmanuel Macron ?

Distancé dans les sondages par le duo Le Pen-Macron, François Fillon a tenté de combler son retard en ciblant principalement le fondateur d’En marche ! Sans parvenir toutefois à le déstabiliser vraiment.

Le candidat de droite a déroulé ses principaux angles d’attaque contre M. Macron : il l’a notamment accusé de vouloir « conduire par d’autres moyens la politique socialiste de François Hollande », cherchant à le rendre responsable du bilan du quinquennat et essayant de dissuader les électeurs de droite de le rejoindre.

A l’entendre, lui seul et son projet de rupture pourrait « rendre l’alternance possible ». M. Fillon a également assuré être « le seul candidat » à pouvoir disposer d’une majorité parlementaire « cohérente et stable » en cas d’accession à l’Elysée, contrairement à Marine Le Pen et à l’ex-ministre de l’économie, dont il a moqué le positionnement centriste. « La politique de M. Macron, c’est un petit peu à gauche et un petit peu à droite », a-t-il ironisé.

Son offensive anti-Macron s’est déclinée sur deux terrains principaux : le régalien et la stature présidentielle, des domaines où l’ex-premier ministre pense avoir l’avantage. « J’ai l’expérience », a-t-il souligné dans l’espoir d’accréditer l’idée que son rival, âgé de 39 ans, n’aurait pas la carrure pour présider le pays.

M. Fillon a rappelé aussi les mesures les plus musclées de son projet en matière de sécurité (rétablissement des peines planchers ou création de 16 000 places de prison) et fustigé la politique d’accueil de réfugiés mise en œuvre par la chancelière Angela Merkel en Allemagne – saluée par M. Macron – pour se démarquer de son rival.

Si MM. Fillon et Macron se sont tous deux posés en garant de la maîtrise des dépenses publiques, le premier a tenté de se prévaloir d’une ardeur réformatrice supérieure à celle de son concurrent. Le député de Paris s’est vanté de vouloir supprimer purement et simplement les 35 heures et l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF), contrairement à l’ex-banquier.

Fragilisé par ses ennuis judiciaires, M. Fillon a aussi cherché à dissuader les électeurs de droite de fuir chez Marine Le Pen, accusant la présidente du FN – présentée comme un « vrai “serial killer” du pouvoir d’achat des Français » – de vouloir « entraîner le pays vers le chaos économique et social » avec sa volonté de sortir de l’euro.

Le statut de favori a-t-il nui à Emmanuel Macron ?

C’est celui qui avait le plus à perdre. Donné favori dans les sondages, au coude-à-coude avec Marine Le Pen, Emmanuel Macron jouait gros lors de « grand débat ». Nouveau venu en politique, le candidat n’avait jamais participé à un tel exercice et pouvait légitimement craindre les mises en cause et les chausse-trappes de ses adversaires.

Au final, il n’a pas été le punching-ball que ses partisans redoutaient et il a su déjouer la plupart des pièges qui lui ont été tendus, même s’il a semblé mettre du temps à trouver son rythme de croisière.

Désireux d’installer l’idée que le premier tour est déjà joué, Emmanuel Macron a concentré ses attaques sur Marine Le Pen. « Je ne vous fais pas parler, je n’ai pas besoin d’un ventriloque », a lancé l’ex-ministre à la présidente du FN, qui l’accusait d’être favorable au burkini. « Le piège dans lequel vous êtes en train de tomber, Mme Le Pen, par vos provocations, c’est de diviser la société » et de faire « des ennemis de la République » des « plus de 4 millions de Françaises et de Français dont la religion est l’islam et qui sont, pour la très grande majorité, absolument pas dans le communautarisme », a-t-il estimé.

A l’inverse, le candidat d’En marche ! a ménagé François Fillon, donnant l’impression de préparer d’ores et déjà le ralliement de ses électeurs au second tour. A de nombreuses reprises, M. Macron s’est ainsi dit « d’accord » avec le candidat LR, que ce soit sur le nucléaire, sur les institutions ou sur une plus grande « autonomie » accordée aux « acteurs de la santé ». Il a également souligné qu’ils étaient les deux seuls candidats à proposer un cadrage budgétaire sérieux de leur programme.

M. Macron a en outre su éviter les manœuvres – même si elles ont été peu nombreuses – destinées à lui faire porter le bilan de François Hollande, qu’il a servi durant quatre ans, d’abord comme conseiller à l’Elysée puis comme ministre de l’économie. « Le projet que je porte c’est d’abord un projet d’alternance profonde, avec de nouveaux visages, de nouveaux usages », a-t-il argué.

Mais l’ancien ministre de l’économie a aussi trébuché. Il est par exemple tombé à pieds joints dans un piège tendu par Benoît Hamon. Alors que le candidat socialiste dénonçait les risques de conflits d’intérêts liés aux « dons de personnes qui appartiennent à des grands groupes », M. Macron a aussitôt réagi… alors qu’il n’était pas nommé. « Je pense que c’est pour moi donc je me permets d’intervenir », a-t-il justifié, expliquant avec difficulté que « 32 000 personnes » lui avaient fait un don de « 50 euros » en moyenne. Erreur de jeunesse ?

Marine Le Pen a-t-elle déjà joué le second tour ?

Le fait a été peu noté, mais la présence de Marine Le Pen dans ce débat inédit n’a posé à aucun moment question. Une victoire en soi pour une candidate en quête de normalisation. Mais la présidente du FN, annoncée en tête du premier tour par les sondages, a visé plus haut lundi soir, s’adonnant à une sorte de répétition du second tour, où elle espère affronter Emmanuel Macron.

Au risque de laisser ses autres adversaires, dont MM. Hamon et Mélenchon en tête, s’en prendre à elle sur les questions d’immigration ou de sécurité – le socialiste l’a dépeinte comme « droguée aux faits divers » – sans vraiment leur opposer de riposte.

Arc-boutée sur sa définition d’un nouveau clivage qui opposerait les « patriotes » aux « mondialistes », la candidate du FN s’est efforcée de ranger M. Macron dans cette dernière catégorie, en pointant son soutien à la construction européenne ou son passé d’énarque devenu banquier d’affaires, qui serait selon elle aux prises avec des intérêts particuliers.

« Ce qui me choque, c’est le pantouflage : on est formés dans les grandes écoles de la République pour devenir fonctionnaire, on devient banquier puis on redevient politique », a-t-elle lâché, dénonçant ceux qui « prennent des décisions qui avantagent telle ou telle société ». « Je ne vous laisserai pas diffamer », a répondu l’intéressé.

De l’autre côté, la fille de Jean-Marie Le Pen a défendu son objectif de préférence nationale et a promis, entre autres, d’« arrêter l’immigration », de « retrouver nos frontières » ou d’en finir avec le « modèle ultralibéral ». Ou comment rester dans son couloir, sans vraiment faire le choix de s’adresser aux électeurs de droite ou de gauche en vue du second tour, et risquer de plafonner.

L’attaque la plus efficace contre M. Macron est sans doute intervenue en fin de débat. « Vous avez parlé sept minutes, je suis incapable de résumer votre pensée, vous n’avez rien dit. A chaque fois que vous prenez la parole, vous prenez un petit peu de ceci et un petit peu de cela, et jamais vous ne tranchez », a-t-elle lancé, rejoignant une critique déjà émise par François Fillon. Mais il était déjà minuit passé.

Qui a incarné le vote utile face à Marine Le Pen ?

Haro sur Marine Le Pen ! Favorite des sondages, la présidente du FN a concentré les critiques et les attaques tout au long du débat, chacun de ses challengers essayant de se poser en meilleur adversaire en vue d’un second tour face à elle.

François Fillon a multiplié les critiques sur l’irréalisme et la dangerosité de son programme économique qui mènerait le pays au « chaos ». Jean-Luc Mélenchon a été chercher la présidente du FN sur les questions de société, notamment l’éducation, l’immigration ou la laïcité. Quant à Emmanuel Macron, il a tout au long du débat installé l’idée d’un duel de second tour entre Mme Le Pen et lui, n’hésitant pas à dire qu’il était « d’accord » avec François Fillon quand celui-ci a assuré que la sortie de l’euro provoquerait le « chaos ».

Mais c’est sans doute Benoît Hamon qui jouait le plus gros dans cette partie. Prisonnier du piège tendu par l’ancien ministre de l’économie, qui veut installer l’idée d’un second tour entre Marine Le Pen et lui, le candidat du PS devait convaincre à la fois les électeurs de gauche et les élus de sa famille politique tentés de rejoindre Emmanuel Macron, que le leader d’En marche ! n’incarnait pas le vote utile face à Marine Le Pen.

Pour le député des Yvelines, dès lors que François Fillon reste enkysté à la troisième place dans les sondages, loin derrière Emmanuel Macron et Marine Le Pen, et que la gauche semble moins exposée – du moins à ce stade – au risque d’un second tour Fillon/Le Pen, l’argument du vote utile employé jusqu’à présent avec efficacité par les macronistes pour battre le rappel en faveur de leur candidat ne tient plus.

C’est ce qu’il a tenté de faire valoir lundi soir : « Le 23 avril puis le 7 mai, je vous propose un vote utile, a-t-il lancé en appelant à voter pour ses convictions d’abord. « Je vous propose de voter pour », a-t-il poursuivi en égrenant les points de son programme : « Transition écologique, soutien au pouvoir d’achat des plus modestes, VIe République, Europe libérée du dogme austéritaire… »

Mais le débat n’ayant pas inversé le rapport de force entre les candidats, le mistigri du vote utile reste pour l’heure entre les mains du leader de En marche !

21 mars 2017

Street Art

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21 mars 2017

Vu sur instagram

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21 mars 2017

Les adolescents sont de plus en plus exposés à la pornographie sur Internet

Selon un sondage de l’IFOP révélé par « Le Figaro », le taux d’exposition des jeunes aux contenus pornographiques est en forte hausse.

Les jeunes sont de plus en plus confrontés à la pornographie, dans des proportions importantes. Selon un sondage réalisé par l’IFOP fin février et dévoilé dans Le Figaro lundi 20 mars, la moitié des adolescents de 15 à 17 ans (51 %) indique avoir déjà surfé sur des sites pornographiques en 2017, contre 37 % en 2013, soit une augmentation de 14 points. 68 % d’entre eux voient leur premier film X entre 13 et 15 ans.

La proportion de filles ayant accédé à ce type de vidéos a quant à elle doublé. 37 % des adolescentes ont surfé sur un site pornographique début 2017, contre 18 % fin 2013.

53 % des garçons estiment qu’ils étaient trop jeunes lorsqu’ils ont vu leur premier film pour adultes, contre 59 % des filles. Plus de 50 % d’entre eux ont raconté être tombés sur un extrait vidéo à caractère pornographique par hasard. 45 % de garçons et 43 % de filles ont tenté de reproduire des pratiques qu’ils avaient vues en ligne, selon l’étude, réalisée pour l’Observatoire de la parentalité et de l’éducation numérique (OPEN).

Bloquer l’accès a priori

Une journée de réflexion doit avoir lieu mardi 21 mars avec la ministre des familles Laurence Rossignol, des juristes, des opérateurs et des fournisseurs d’accès, pour tenter d’enrayer ce phénomène, qui se développe depuis l’apparition des smartphones.

Mme Rossignol envisage qu’un contrôle parental soit « installé par défaut sur les ordinateurs et les téléphones. Ce serait aux utilisateurs qui n’en ont pas besoin de le désactiver, et non l’inverse », confie-t-elle au Figaro. Il serait aussi envisageable d’impliquer la plateforme Pharos du ministère de l’intérieur, qui permet de signaler les contenus illicites sur Internet.

Fiche technique : le sondage de l’IFOP a été réalisé auprès d’un échantillon représentatif de 1 005 personnes âgées de 15 à 17 ans résidant en France, du 21 au 27 février.

20 mars 2017

Cinq candidats ce soir sur TF1

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