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Jours tranquilles à Paris
27 mai 2017

Festival de Cannes - Tina Kunakey

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27 mai 2017

Vu sur internet - j'aime bien

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27 mai 2017

En tyrolienne à 90 km/h depuis la tour Eiffel

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Installée durant toute la deuxième semaine de Roland-Garros, la tyrolienne sera gratuite.

Pour Roland-Garros, le groupe Perrier s’offre un beau coup de pub en vous faisant survoler… le Champ-de-Mars.

Une minute de vol à 90 km/h, 800 m de parcours en tyrolienne, 100 m de dénivelé… Sacré vol plané que celui que vous pourrez tenter la semaine prochaine, à partir du 2 e étage de la tour Eiffel (VII e) en direction de l’Ecole militaire, si vous rêvez de vivre ce que peut vivre… une balle de tennis ! Clin d’œil ultra-sportif au tournoi de Roland-Garros qui va commencer ce week-end, ce vol extraordinaire, imaginé par l’un des sponsors historiques du tournoi de la porte d’Auteuil (XVI e), le groupe Perrier, permettra aux plus intrépides de s’élancer de 115 m de haut pour atterrir à 17 m, de l’autre côté du Champ-de-Mars. Un beau « smash », comparable à celui d’une balle de tennis frappée sur le court central, et qui donne son nom à cette animation gratuite organisée durant toute la deuxième semaine de Roland-Garros. Pendant que les uns s’affronteront sur la terre battue, d’autres la survoleront entre la tour Eiffel et l’Ecole militaire.

Beaucoup d’appelés, peu d’heureux élus

Pour participer (attention il faut avoir plus de 18 ans), les inscriptions en ligne seront ouvertes dès lundi prochain sur le site Internet de l’entreprise. Remplissez le formulaire, choisissez votre créneau horaire et croisez les doigts pour le tirage au sort qui désignera les chanceux attendus pour le grand saut. D’autres vols sont également en jeu sur Twitter jusqu’à dimanche. Les 50 personnes qui tweetent le plus de #SmashPerrier #prems gagnent également leur visa pour leur place en tyrolienne-fusée.

Dans le passé, la tour Eiffel a déjà accueilli des événements exceptionnels comme en 2010 avec le saut en rollers sur une rampe de Taïg Khris du premier étage, ou plus récemment la présence d’un bateau du Vendée Globe aux couleurs du Mécenat chirurgie cardiaque. Depuis hier et jusqu’à dimanche, deux tapis de lutte sont installés au niveau 1 et vous pouvez vous initier à ce sport de 11 heures à 19 heures avec les membres de l’équipe de France. La tour Eiffel, malgré ses 128 ans, n’en finit pas de nous surprendre et d’innover.

27 mai 2017

Cheyco Leidmann

Voir mes précédents billets sur Cheyco Leidmann

27 mai 2017

En fin de mois...

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27 mai 2017

TOUR EIFFEL : Ce mur anti-balles qui dérange les riverains

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Dès cet automne, la Ville va faire construire un mur anti-balles haut de 3 m et des grilles autour de la tour Eiffelpour renforcer la protection du monument. Les Amis du Champ-de-Mars attaquent le projet de clôture de verre autour de la tour Eiffel. Ils dénoncent un manque de concertation.

Par  Marie-Anne Gairaud

« Revoyez votre copie M me la Maire ! » C’est le message que les Amis du Champ-de-Mars (VII e) ont décidé d’adresser à Anne Hidalgo concernant le projet de mur autour de la tour Eiffel qui sera édifié à l’automne.

Pour se faire entendre, cette association de riverains « et d’usagers » insiste son président Jean-Sébastien Baschet, a décidé d’entamer une procédure devant la justice. « Nous partageons évidemment le souhait de la préfecture de police de sécuriser le site et nous souhaitons améliorer l’accueil des visiteurs, précise Jean-Sébastien Baschet. Mais notre consultation sur notre site montre que les gens sont massivement hostiles au projet présenté par la Ville. » Sur 1 310 votants, 85 % s’y sont déclaré opposés. Les membres de l’association ont donc décidé de déposer un recours. « Nous refusons catégoriquement le projet tel quel. D’abord parce qu’il s’est fait sans aucune concertation. Il n’y a même pas eu d’appel d’offres », insiste Jean-Sébastien Baschet.

Autre grief de l’association : le périmètre de sécurité. Les Amis du Champ-de-Mars n’hésitent pas à parler de « privatisation » des jardins et auraient souhaité que le mur se limite au seul parvis du monument entre les quatre piliers de la Dame de fer, au lieu d’englober l’ensemble des jardins de la tour. « Aujourd’hui, les jardins sont fréquentés par les touristes, les joggeurs, les passants… Avec ce mur, ce sera fini ! Qui ferait la queue pour simplement y passer, les traverser ? » regrette le président de l’association.

A la Ville de Paris, on assume la procédure d’urgence employée pour lancer ce projet. « Nous avons eu une alerte très forte de la part de préfecture de police sur la sécurité du site. Il y avait une grosse urgence. Nous n’avions pas le temps de mettre en place la concertation que nous menons habituellement sur les autres projets urbanistiques, plaide-t-on. Nous réfléchissons à un meilleur accueil des touristes. Et évidemment, cette fois-ci, il y aura une concertation », promet-on à l’Hôtel de Ville.

Quant au large périmètre de sécurité délimité par le futur mur, la Ville l’assure : « Il est le fruit des prescriptions de sécurité données par la préfecture de police. »

26 mai 2017

L'amant double

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26 mai 2017

Paul Schmidt et Marine Vacth - Présentation ce soir au Festival de Cannes du film "L'amant double"

Count down 📽#lamantdouble #marinevacth #paulschmidt

Une publication partagée par Paul Schmidt (@paul1schmidt) le 26 Mai 2017 à 9h33 PDT

synopsis

Chloé, une jeune femme fragile, en proie à la dépression, suit une psychothérapie auprès de Paul, dont elle ne tarde pas à tomber amoureuse. Les mois passent et les jeunes gens s'installent ensemble. Mais Chloé découvre bientôt que son compagnon a totalement occulté une partie de son existence...

Critique lors de la sortie en salle le 26/05/2017

Par Pierre Murat (Télérama)

Chloé (Marine Vacth, toujours aussi belle, de plus en plus hitchcockienne) a mal. Au ventre, surtout. En fait, partout. Rien ne va. Elle qui devait se déployer comme un phénix s'est lentement repliée sur elle-même. Quelque chose la ronge de l'intérieur... Rien de tel qu'un psy, dit-on, pour vous aider à aller mieux, en vous fouillant le coeur et l'esprit. Celui qu'elle se choisit est blond, doux, attentif, équilibré. Enfin pas tant que ça, puisque Paul (Jérémie Renier) avoue vite, pour sa cliente, une attirance incompatible avec sa déonto­logie professionnelle, que la jeune femme, à chaque séance plus belle, accueille avec enthousiasme... Les voilà ensemble et heureux. Un jour, en sortant du musée où elle travaille comme gardienne, Chloé aperçoit son compagnon en conversation avec une autre — ce qu'il nie... Interdite, puis dévastée, Chloé découvre que Paul a un frère ­jumeau, caché et détesté, psy comme lui, et encore plus amoral. Dès la deuxième séance avec celle qu'il semble connaître déjà — comment est-ce possible ? —, Louis (toujours Jérémie Renier, mais plus brutal, plus féroce, plus fascinant) attire Chloé dans sa cham­bre, dans son lit, et la fait jouir. Mieux que tout le monde. Mieux que son frère... Partagée entre ses deux amants qui semblent n'en faire qu'un, Chloé se perd. Ses douleurs au ventre reviennent et deviennent insupportables...

François Ozon est l'un des rares cinéastes actuels — le seul, peut-être — à distiller, de film en film, l'idée déconcertante que ses images mentent. Qu'elles peuvent tromper, en tout cas. Au spectateur de sortir de la passivité que le cinéma exige le plus souvent pour les ­déchiffrer, les questionner. Avec Ozon, on a (presque) toujours deux films pour le prix d'un : celui qu'il exhibe, avec des tours de passe-passe visibles, comme pour rassurer ses détracteurs qui veulent ne voir en lui qu'un styliste super­ficiel. Et celui qu'il tisse en douce, qu'il dissimule comme dans un palimpseste, destiné aux « happy few » chers à Sten­dhal, pour qui l'apparence est un piège.

C'était le cas de 8 Femmes (2002), où le film no 1 — une grosse farce policière empruntée à un auteur boulevardier, Robert Thomas — écrasait volontai­rement le no 2 : la peinture sombre, presque désespérée, d'un huis clos peuplé de monstres dont les chansons, pourtant, révélaient, comme des bouffées de nostalgie, une humanité perdue. Récemment, dans Frantz, tout en s'attachant à raconter l'histoire prin­cipale — le parcours entrepris par une jeune femme (Paula Beer) vers une renaissance possible —, Ozon fignolait la secondaire : l'amitié ambiguë, même si imaginaire, d'Adrien (Pierre Niney) pour Frantz. Un geste tout juste ébauché, un regard prolongé une seconde de trop, et le cinéaste suggérait qu'au-delà du meurtre qu'il cherchait à expier à toute force, Adrien avait un autre secret — enfoui en lui et nié...

Inspiré d'un court roman de Joyce Carol Oates, L'Amant double est l'aboutissement de cette dualité permanente. Côté spectacle, des références cinéphiliques évidentes : des jumeaux sortis de Soeurs de sang, de Brian De Palma, des entrelacs d'escaliers vertigineux, comme chez Alfred Hitchcock, des secrets derrière la porte, comme chez Fritz Lang, des animaux inquiétants à la Jacques Tourneur, et une voisine étrange et envahissante comme la sorcière de Rosemary's Baby, de Roman Polanski. Emprunts assumés, magnifiés par une mise en scène volontairement voyante et sophistiquée, qui insuffle vite une douce mais suffocante sensation de malaise. La peur que l'on éprouve au début d'un cauchemar à peine amorcé, devant un danger présent, mais invisible. Tout se brouille, la réalité se dérobe, l'univers devient cotonneux, spongieux, visqueux presque...

Ce décor en trompe-l'oeil permet au cinéaste de s'infiltrer, comme un voyeur, comme un voleur, dans l'intimité de personnages que l'on croyait connaître par coeur. Et d'inventer. D'oser, si l'on ose dire. Le plan surprenant, quasiment surréaliste, d'un oeil sur un sexe de femme. Les moments oniriques où les expositions du musée que surveille Chloé semblent muer, se métamorphoser en menaces qui la guettent, la cernent, pour mieux se l'approprier. L'avaler. La dissoudre. Sans oublier la scène où, s'imaginant faire l'amour avec les jumeaux, Chloé s'aperçoit que les deux frères se désirent bien plus qu'ils ne la désirent, elle...

Une fois de plus, Ozon filme un parcours de femme. A l'opposé de celui, rassurant, entrepris par l'héroïne de Frantz, le périple de Chloé est cru, cruel, brutal. Jamais dans ses films précédents le cinéaste n'avait approché ses personnages avec une telle élégance froide, une telle précision clinique. Conforme, sans doute, à l'idée qu'il se fait de l'humanité souffrante : un monde de névrosés, cabossés et fragiles, séduisants et séducteurs, à jamais inguérissables... — Pierre Murat

26 mai 2017

François Ozon,

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Jérémie Renier et Marine Vacth partagent l’affiche de « l’Amant double ».

Il ferme le ban des quatre films français en lice pour la Palme d’or. Notre critique Pierre Vavasseur ne la lui accordera pas pour « l’Amant double ».

Vous revoici donc aujourd’hui à Cannes, dans les plus jolies conditions puisque vous concourez en compétition officielle, invité à fermer le ban de la sélection française. Félicitations. Votre film, qui sort ce même jour sur les écrans, est une comédie non romantique avec des accents de thriller mental saupoudré de gore. Il est librement adapté d’un ouvrage de la romancière new-yorkaise Joyce Carol Oates qu’elle avait d’ailleurs signé sous pseudo. Avant vous, en 1988, le cinéaste américano-canadien David Cronenberg en avait tiré « Faux-semblants », avec Geneviève Bujold et Jeremy Irons. Vous avez choisi Marine Vacth, révélée par vos soins en 2013 dans « Jeune et Jolie », et un autre Jérémie en la personne de Jérémie Renier. Le thème est fort : il s’agit de la gémellité cannibale. Comment des jumeaux se font la guerre dès la conception. Puis, s’ils s’en sont sortis, se jalousent entre eux. Ça, c’est le fond du problème, et il est sanglant. Tout commence par une rencontre entre une jeune femme dépressive, Chloé, et son psy, Paul, qui en tombe amoureux. Ils s’installent ensemble. Mais par hasard, Chloé croit apercevoir Paul dans Paris. Il lui assure qu’il a passé la journée à l’hôpital en compagnie de ses patients.

Cher François, vous avez fait de si belles choses, si délicates, telles ce « Franz », onze fois nommé lors des derniers César. Mais je déteste votre film. Plus j’y ai pensé et repensé, plus je m’en suis éloigné. Il m’est lentement apparu comme la représentation tordue que vous avez des femmes. Ce désir de les débarrasser de la grâce et de l’amour qu’elles sont en droit d’inspirer. Marine Vacth est l’une de nos plus belles et troublantes actrices. Déjà, dans « Jeune et Jolie », vous en faisiez un miroir froid de vos fantasmes. Une prostituée sans tendresse. Dépucelée sans amour. Je ne vous parle pas de morale, je vous parle d’image.

Vous n’aimez pas les femmes

« Une nouvelle amie », en 2014, avec Romain Duris réincarnant son épouse disparue, avait aussi cette brûlure dérangeante et glacée, étanche aux sentiments. Vous n’aimez pas la douceur, François. Vous profitez de votre art pour l’assassiner. En faisant semblant d’aimer les femmes, de leur rendre hommage, vous nous empapaoutez. Ce ne sont pour vous que de charmants papillons de nuit. Avec le recul, « Huit Femmes » est d’une acidité totale dissimulée derrière une affectation acidulée. Ce n’est pas un film sur la féminité, c’est un film en couleur.

Mais avec « l’Amant double », vous vous lâchez pour de bon. Séquence générique : les longs cheveux de Marine Vacth sont coupés avec application. La caméra y prend son plaisir. Votre actrice, qui a pour elle de renverser le monde, de le mener par le bout du nez, vous l’aimez pour une seule raison : son personnage est une proie, une victime, une soumise, une violée consentante. Elle ne peut jouir que dévastée. Vous montrez son vagin en gros plan chez la gynéco. On a le nez dedans.

Plus tard vous récidivez : palpitation des lèvres et du désir. C’est 20 000 lieues sous la mère monstrueuse qu’elle est amenée à devenir. Reconnaissez-le, François. Vous n’aimez pas les femmes. Elles sont la transcription de vos peurs, voire de votre dégoût d’avoir été enfanté par l’une d’elles. Vous auriez préféré naître d’un homme. Et pourquoi ce plan sur le visage de Jacqueline Bisset qui, presque déformée par la focale et les insultes qu’elle profère, semble si laide… Vous voyez ? Si j’étais une femme, je serais accablée par ce que vous montrez de moi.

Pierre Vavasseur À Cannes

« L’Amant double », drame français de François Ozon, avec Marine Vacth, Jérémie Renier, Jacqueline Bisset, Myriam Boyer… 1 h 47. Déjà en salles.

26 mai 2017

Emmanuel Macron / Justin Trudeau

L'amitié franco-canadienne a un nouveau visage. @justinpjtrudeau, à nous de relever les défis de notre génération ! #G7Taormina

Une publication partagée par Emmanuel Macron (@emmanuelmacron) le 26 Mai 2017 à 2h29 PDT

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