Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Jours tranquilles à Paris
10 octobre 2017

Centre Pompidou

pompidou art

Publicité
10 octobre 2017

Fétichisme

21985210_861184507373543_8321181050722058240_n

bdsm

10 octobre 2017

Exposition à Berlin : Jean Loup Sieff, Lignes ombrées

jl1

jl2

jl3

jl4

jl7

Nature et paysage, mode et nu : le photographe français Jean Loup Sieff s’est essayé avec virtuosité à différents genres tout au long de sa carrière et s’est ainsi illustré comme l’un des grands photographes français de la 2e moitié du 20e siècle. La galerie berlinoise Galerie 36 lui consacre à depuis le 28 septembre 2017 une exposition personnelle intitulée Lignes ombrées. Avec un ensemble de 48 œuvres, celle-ci offre une vision intime du travail de l’artiste en exposant des photographies moins connues du public. Cette sélection met ainsi en valeur la singularité de ce photographe qui a poussé les limites de la photographie en noir et blanc, non seulement par son attrait pour les objectifs grands et très grands angles mais également par ses contrastes saisissants, ses noirs profonds avec un grain particulier et ses mises en scène subtiles et pleines d’humour.

L’exposition compile des images personnelles mêlant des tirages d’époque et des tirages modernes de la fin des années 1960 aux années 1990. Des paysages poétiques, souvenirs de voyage et des nus féminins où le photographe a célébré la jeunesse avec un regard pour des détails et des mises en scène intimistes. L'exposition est un appel au voyage où les étendues linéaires et contrastées qui parcourent les photographies guident le regard du spectateur. Que ce soit des dunes de sable ou des pans de falaises, une vue de dos ou une partie d’un nu féminin, Jean Loup Sieff a composé ses sujets au gré de lignes incurvées, de structures fluides ouvrant de nouvelles perspectives par des contrastes forts et de superbes jeux d’ombre et de lumière. « Certaines de ces images font parties du livre de Jean Loup Sieff sur la Vallée de la mort parut en 1978 », explique Jean-Jacques Naudet, directeur de L’Œil de la Photographie. « Une anecdote à ce propos : Jean Loup était venu au magazine Photo avec son éditeur nous présenter le livre. À un moment ce dernier se tourne vers nous et déclare : il n’y a pas assez de photos de nus, Jean Loup pourquoi n iriez-vous pas à la mer de sable d’Ermenonville en faire quelques-uns ? Blême, Jean Loup quitta la pièce. J’ai le sentiment que cet éditeur évita de très peu ce jour-là une rouste formidable ! »

Né de parents d'origine polonaise, Jean Loup Sieff a découvert sa passion pour la photographie à Paris dans les années 1940 lorsqu'il a reçu une caméra comme cadeau pour son 14ème anniversaire. Sa percée se produit quelques années plus tard lorsqu’il est engagé par le magazine Elle. Pendant de nombreuses années, il collabore avec les magazines les plus prestigieux (Vogue, Harper’s Bazaar, Esquire ou encore Paris Match). Il continue en parallèle ses travaux personnels. Il n’est donc pas surprenant que Sieff soit resté un photographe de mode dans nos mémoires, une catégorisation qu'il a combattue avec véhémence tout au long de sa vie. Outre les photographies de mode bien connues, Sieff a laissé une œuvre riche en portraits, reportages, paysages et nus féminins où son regard, à travers l´objectif, a constamment poursuivi les formes pures et l'agencement d´éléments organiques.

Jean Loup Sieff, Lignes ombrées

28 septembre – 16 décembre 2017

Galerie 36

Chausseestraße 36

10115 Berlin

Allemagne

http://galerie36berlin.com/

jl8

jl9

jl10

jl11

10 octobre 2017

La une de Libération de ce matin

 

 

10 octobre 2017

La belle Emmanuelle Béart - vu sur instagram

beart22

Publicité
10 octobre 2017

Vu sur instagram - Andja Lorein - j'aime beaucoup...

andja lorein

10 octobre 2017

Exposition à New York : Andres Serrano, Torture

ANS15

ANS15

ANS15

ANS15

ANS15

ANS15

Andres Serrano, Torture

La carrière influente et transgressive du photographe américain Andres Serrano continue à repousser les limites de la photographie et de l’éthique, dans cette série récente qui examine sans faiblir la relation entre traumatisme et mémoire, violence et représentation. Torture se déploie sur fond du scandale d’Abou Ghraib et des conséquences des photographies bouleversantes témoignant des abus perpétrés sur les prisonniers. Les images de Serrano montrant des hommes cagoulés naissent de notre subconscient collectif incorporé au matraquage visuel des médias de masse. Ces œuvres montrent la profondeur de la cruauté humaine et de l’indignation, attestant des extrêmes que nous pouvons atteindre lorsque nous avons le pouvoir sur un autre être humain.

ANS15

Plusieurs sujets de Torture ne sont pourtant pas seulement des symboles, puisqu’ils montrent quatre individus et leurs histoires personnelles. Kevin Hannaway, Patrick McNally, Brian Turley et Francie McGuigan faisaient partie d’un groupe connu sous le nom d’« Hommes encagoulés », des Irlandais qui ont été arrêtés et ont subi les affronts des mains de l’armée britannique en 1971. Ils ont en effet été les victimes de l’expérimentation de nouvelles méthodes d’interrogation, devenues plus tard célèbres sous l’appellation infâme « les cinq techniques » : maintenir debout contre un mur, encagouler, soumettre au bruit, priver de sommeil, et priver de nourriture et de boisson. Des portraits individuels les montrent en gros plan portant des cagoules sombres sur le visage – les compositions étroitement cadrées semblent au premier regard des abstractions. Les plis du tissu rappellent le charbon ou les falaises montagneuses, empêchant le spectateur de déterminer l’échelle, l’espace ou l’identité des sujets représentés. Fatima (2015), œuvre consacrée à la femme soudanaise arrêtée dans son pays natale car accusée d’entretenir des liens avec les rebelles, n’est pas moins réaliste. Cette femme a été battue, torturée au couteau, puis violée pendant sa détention par la police.

Ces photographies dépourvues de sujets humains transmettent pourtant l’impression d’une présence corporelle. Des gants détrempés de sang sont tendus contre un mur, un couloir sinistrement éclairé semble briller d’une force primordiale ; une chaise placée devant une grande croix de bois suppose à la fois la contemplation religieuse et la punition solitaire. Des dispositifs menaçants – Chaîne de fer, The Clink Prison Museum, Londres, Royaume Uni (2015), et Masque de torture IV, Hever Castle, Kent, Royaume Uni (2015) – sont montrés comme des natures mortes inertes qui invitent le spectateur à imaginer leur rude mise en action. Le rôle que jouent les images dans la vie contemporaine – leur circulation et leur censure – restent un sujet de discussion en cours et controversé. Les photographies de Serrano ne sont jamais hésitantes ; elles sont inébranlables dans leur insistance à fouiller plus avant le lien déconcertant entre décence et représentation.

Andres Serrano, Torture

Jusqu'au 4 novembre 2017

Galerie Jack Shainman

513 W 20th St

New York, NY 10011

USA

ANS15

ANS15

ANS15

ANS15

9 octobre 2017

Street Art à Melbourne

aus88

aus89

Photos : Noémie

9 octobre 2017

L’acteur Jean Rochefort est mort

jean01

Hospitalisé en août, le comédien, qui avait commencé sa carrière dans les années 1950, est mort à 87 ans dans un hôpital parisien dans la nuit de dimanche à lundi.

Le comédien Jean Rochefort, un des acteurs les plus populaires du cinéma français, est mort dans la nuit de dimanche à lundi 9 octobre, a annoncé sa famille. L’acteur, qui avait commencé sa carrière dans les années 1950, est mort dans un hôpital parisien, il était hospitalisé depuis le mois d’août. Jean Rochefort a marqué le cinéma français pendant plusieurs décennies, du petit au grand écran.

Immédiatement reconnaissable à sa voix chaude et sa belle moustache, Jean Rochefort a tourné près de 150 films, aussi bien de cinéma d’auteur que populaire. Sa longue carrière a été couronnée de trois Césars, pour ses rôles dans Que la fête commence en 1976, Le Crabe-Tambour en 1978, et un César d’honneur en 1999.

De « Cartouche » au « Grand Blond »

Il faut attendre 1961 pour qu’il soit remarqué sur le grand écran. Jean-Paul Belmondo, ex-condisciple, l’impose aux producteurs de Cartouche, réalisé par Philippe de Broca. Le comédien va ensuite enchaîner les seconds rôles, chez Broca (Les Tribulations d’un Chinois en Chine, 1964, Le Diable par la queue, 1968) ou dans la série des Angélique, de Bernard Borderie.

Jean Rochefort s’est ensuite fait connaître dans Le Grand Blond avec une chaussure noire, début de sa collaboration avec Yves Robert. Avec lui, l’acteur a tourné Salut l’artiste (1973), Le Retour du grand blond (1974) et surtout le diptyque Un éléphant ça trompe énormément (1976) et Nous irons tous au paradis (1977). Il restera fidèle au réalisateur dans les années 1990 et 2000. En 1973, il a tourné dans L’Horloger de Saint-Paul, de Bertrand Tavernier, un film qu’il considère comme un tournant majeur dans sa carrière.

Un recueil de souvenirs

Dans la filmographie pléthorique de l’acteur, surgissent des œuvres un peu oubliées – le très émouvant Un étrange voyage, d’Alain Cavalier (1981), des apparitions inattendues, chez Buñuel, dans Le Fantôme de la liberté (1974), et chez Robert Altman (Prêt-à-porter, 1994), ou des rôles taillés sur mesure comme celui du commandant dans Le Crabe-Tambour, de Pierre Schoendoerffer, qui lui permet d’obtenir le César du meilleur acteur en 1978.

En 2013, il a publié Ce genre de choses, son premier livre, autobiographique, un recueil de souvenirs sur sa vie, son arrivée à Paris, son amour du théatre et de la scène. « La peur de la mort, ça c’est pas marrant. Je ne voudrais pas claquer tout de suite parce que j’ai encore plein de choses à faire », racontait-il à l’époque.

jean02

9 octobre 2017

Superbe ! vu sur Tumblr

IMG_2619

IMG_2620

IMG_2621

IMG_2622

IMG_2623

IMG_2624

IMG_2625

IMG_2626

Publicité
<< < 10 20 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 > >>
Publicité