EXPOSITION ALEKSEY D'HAVLCYON DU 2 Juillet au 24 Juillet au 3 rue Réattu - ARLES
Vous êtes invité à l'exposition "BASTA PASTA" où je présenterai, auprès de Mario Riccardo Migliara, ma nouvelle série d'autoportraits "Food for Soul". 3, rue Réattu - Arles
L'exposition commence le 2 juillet et se terminera le 24 juillet.
Je serai présente, du 2 juillet au 8 juillet pour vous rencontrer, de 15h30 à 19h30.
Le vernissage aura lieux le 4 juillet, à partir de 18H.
À très bientôt !
30001 Murcia, Espagne
0646890582
"« Food for Soul », est une série d’autoportraits spécialement conçue pour le festival Voies Off d'Arles. J'y incarne les femmes historiques, comme les déesses. J’ai décidé de les mélanger entre elles pour tenter une re-connexion au divin. Je les aient également adaptées à notre XXIème siècle. Comment serait Messaline actuellement ? Comment Lucrèce se suiciderait-elle ? Sous qu’elles incarnations se profilerai Isis, la Déesse mère ? Et les nouvelles prêtresses ?
Je me suis inspirée des représentations de ces femmes, peintures, sculptures, descriptions, textes, papyrus, bas relief… quels étaient leurs attributs ou leur traits de caractère avant de les incarner.
Je leur ai décerné à chacune des fruits ou des légumes et ai donné à ces derniers, une signification ou une symbolique plus ou moins explicite….
Tout en me moquant bien entendu, de la publicité représentant la femme et la nourriture, et l’aspect sensuel, sexiste et sexuel qui va avec.« Food for Soul », c’est redonner le pouvoir à la femme, une légitimité et une présence. Les femmes de « Food for Soul » sont toutes héroïques à leurs manières, sorores dans la conception, aimantes ou repoussantes.
Toutes divines Toutes sacrées."
Mac Val - « Les racines poussent aussi dans le béton » Exposition monographique de Kader Attia. Jusqu’au 16 septembre 2018
Pour cette exposition au MAC VAL, « Les racines poussent aussi dans le béton », Kader Attia imagine une réflexion, en forme de parcours initiatique, autour de l’architecture et de sa relation aux corps. Une exposition qu’il imagine comme une « conversation intime avec le public du MAC VAL » pour ensemble « sonder les maux et les joies qui articulent la vie dans les cités ». Ayant grandi à Garges-lès-Gonesse, il souligne la familiarité des paysages (architectures, population, transports en communs etc…), et a la sensation, à chaque fois qu’il vient au MAC VAL, de « rentrer à la maison ».
Reportage photographique : J. Snap