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Jours tranquilles à Paris
10 septembre 2018

Café de Flore

Le Café de Flore est un célèbre café-restaurant parisien du quartier Saint-Germain-des-Prés, dans le 6e arrondissement. Situé à un angle du boulevard Saint-Germain, et de la rue Saint-Benoît, voisin du café Les Deux Magots, il est desservi par la station de métro Saint-Germain-des-Prés. Cette institution parisienne est un haut-lieu Rive gauche historique du tout-Paris littéraire, philosophique, culturel, artistique, et haut lieu de tourisme international.

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10 septembre 2018

OHLALA

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Après leur succès au Palais des Sports et aux Folies Bergère ils reviennent à l’Alhambra à partir du 5 Juillet.

Comment faire la différence entre le bien et le mal, la lumière et l’obscurité, la vertu et le vice

Un spectacle unique ou volupté et sensualité se mélangent au gré des numéros.

Entre esthétisme et performance les spectateurs sont plongés dans un univers magique, ponctué par des chorégraphies surprenantes.

Une pincée d’humour et un soupçon de provocation, ce show mettra tous vos sens en émoi !

VOILA ce qui vous attend avec OHLALA  « Sexy - Crazy - Artistic »

9 septembre 2018

Le blues du Dimanche soir...

9 septembre 2018

Gigantesque parade militaire pour le 70 ième anniversaire du parti unique en Corée du Nord

Une gigantesque parade militaire a été organisée samedi 10 octobre 2015 à Pyongyang, à l'occasion du 70e anniversaire du parti unique en Corée du Nord, en présence du numéro un du pays, Kim Jong-Un, selon les images transmises en direct par la télévision.

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Gérard Depardieu, l'acteur des Valseuses, a été aperçu au royaume ermite où ils tourneraient un film, d'après les déclarations de Thierry Ardisson au Figaro. Empêtré dans une affaire de viol, le comédien a préféré éviter les journalistes l'ayant reconnu.

Visé par une enquête pour viols et agressions sexuelles, Gérard Depardieu a l'esprit ailleurs. Toujours à l'est, après la Russie. L'acteur a été aperçu vendredi dans un hôtel de Pyongyang par un journaliste de l'AFP, au moment où la capitale nord-coréenne se préparait à célébrer le 70e anniversaire de la fondation de son régime. Le monstre sacré du cinéma français a été observé dans un bar du lobby de l'Hôtel international Yanggakdo, principal établissement pour touristes de Pyongyang, avant d'être aperçu dans les tribunes de la cérémonie d'anniversaire dimanche.

9 septembre 2018

Miss Tic

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9 septembre 2018

"Kadamati"

Ce dimanche, 700 danseurs se réuniront sur le parvis de l'Hôtel de Ville pour un spectacle gratuit hors norme //   Produit par le théâtre de la ville en association avec le théâtre du Châtelet, ce spectacle va marquer les esprits ! Créé par le chorégraphe britannique Akram Khan, "Kadamati" ("terre d'argile" en bengali) réunit 700 danseurs professionnels et amateurs venant d'horizons professionnels très différents. Cette sorte de flash-mob (vous savez, ces mobilisations éclair et participatives qui font parler d'elle et donnent le sourire aux passants) rend hommage aux soldats ayant combattu lors de la Première Guerre mondiale. On commémorera en effet dans un mois le centenaire de la signature de l'armistice du 11 novembre 1918.  Kadamati Le 9 septembre 2018 à 15h Parvis de l'Hôtel de Ville, 75004 Entrée libre

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9 septembre 2018

Festival du Cinéma Américain de Deauville

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9 septembre 2018

Ali Mahdavi

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9 septembre 2018

Mostra de Venise : le Lion d’or pour « Roma » du Mexicain Alfonso Cuaron

Par Véronique Cauhapé, Venise, Italie, envoyée spéciale - Le Monde

Le jury présidé par le Mexicain Guillermo del Toro a récompensé ce film, favori des critiques et du public. C’est une première pour Netflix, qui distribue le long-métrage.

La 75e édition de la Mostra de Venise a attribué son Lion d’or à Roma, le très beau film du cinéaste mexicain Alfonso Cuaron, samedi 8 septembre, lors de sa cérémonie de clôture. Favori de la critique italienne et internationale, mais aussi du public, ce film très personnel en noir et blanc entraîne dans le sillage de son couronnement un autre grand vainqueur : son distributeur, Netflix. Une première qui fera date.

Jamais en effet la plate-forme américaine de streaming n’avait obtenu la plus haute récompense de l’un des trois festivals de cinéma européens majeurs (Cannes, Venise et Berlin). Roma n’avait d’ailleurs pas été présenté au printemps à Cannes. Netflix avait boycotté le festival français, dont les organisateurs imposent aux films sélectionnés de respecter un délai obligatoire de trois ans entre la sortie en salles et la diffusion sur une plate-forme de vidéo.

« Aujourd’hui est l’anniversaire de Liba, la femme qui a inspiré le rôle de Cleo [l’héroïne du film], ce sera un cadeau d’anniversaire », a déclaré Alfonso Cuaron en recevant son prix pour ce film émouvant tiré de ses souvenirs d’enfance. « Ce prix est le témoignage de mon amour pour toi Liba, et pour mon pays », a ajouté le cinéaste oscarisé en 2013 pour son épopée spatiale Gravity.

Pour Netflix, cette récompense a presque valeur de revanche. D’autant que le prix du scénario a été attribué au western de Joel et Ethan Coen, The Ballad of Buster Scruggs, le deuxième des trois films Netflix (avec July 22, de Paul Greengrass) en compétition cette année à la Mostra. Jeudi 6 septembre, Netflix s’était déjà offert une première puisque c’est un de ses films, Outlaw King : Le roi hors-la-loi, de David Mackenzie, qui avait donné le coup d’envoi du Festival international du film de Toronto. Autant dire que la plate-forme semble d’ores et déjà bien partie dans la course aux Oscars.

Un autre western a été récompensé par le jury présidé par le cinéaste mexicain Guillermo del Toro (dont le film The Shape of Water avait reçu le Lion d’or 2017) : Les Frères Sisters, de Jacques Audiard, premier film en anglais et à la verve américaine du cinéaste, avec Joaquin Phoenix et John C. Reilly, a été honoré du Lion d’argent de la meilleure mise en scène.

Part belle pour les films de genre

Les films de genre et les films d’époque se sont taillé la part belle lors de cette 75e édition. Ils en sortent couverts de récompenses. The Favourite, film sulfureux du réalisateur grec Yorgos Lanthimos, qui met en scène le combat des femmes de la cour pour le pouvoir sous le règne de la reine Anne, dernière des Stuart, a reçu le Lion d’argent-Grand Prix du jury et la Coupe Volpi de la meilleure interprétation féminine remise à Olivia Colman. Autre long-métrage en costumes, The Nightingale de l’australienne Jennifer Kent, seule femme réalisatrice en compétition, a reçu deux récompenses, malgré l’accueil frileux que lui a réservé la critique : le Prix spécial du Jury et le Prix Marcello Mastroianni du jeune acteur émergent pour le comédien aborigène Baykali Ganambarr.

La Coupe Volpi du meilleur interprète masculin a récompensé l’acteur américain Willem Dafoe, époustouflant Van Gogh dans At Eternity’s Gate, de Julian Schnabel, film dont on regrette qu’il n’ait pas été plus récompensé. Ont également reçu le Lion d’or pour l’ensemble de leur carrière, l’actrice britannique Vanessa Redgrave et le cinéaste canadien David Cronenberg.

9 septembre 2018

Véronique de Viguerie lauréate du Visa d’or News à Perpignan

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Première femme à décrocher ce prix depuis 20 ans, elle a été récompensée pour sa couverture de la guerre au Yémen.

Première femme en vingt ans : la photographe française Véronique de Viguerie a remporté samedi 9 septembre à Perpignan le prix le plus prestigieux du festival international de photojournalisme, Visa pour l’image, pour sa couverture de la guerre au Yémen. « J’ai une pensée particulière pour les 30 millions de Yéménites qui vivent l’enfer chaque jour », a déclaré la lauréate, après avoir reçu la prestigieuse récompense.

Elle succède au Belge Laurent Van der Stockt, couronné pour sa couverture de la bataille de Mossoul (Irak) et à deux photographes de l’Agence France-Presse (AFP), le Grec Aris Messinis et le Turc Bulent Kiliç, pour leurs travaux sur la crise des migrants.

Il s’agit de la première femme à décrocher le Visa d’or Paris Match News depuis 20 ans, et seulement la cinquième depuis la première édition en 1989 de cette manifestation, présentée comme la plus importante consacrée au photojournalisme dans le monde. Interrogée par l’AFP sur cette première distinction d’une femme en deux décennies, elle a répondu : « il était temps, et je suis encore plus fière ». Elle rejoint donc le club très fermé des autres femmes lauréates du Visa d’Or News : Nadia Benchallal (France, 1994), Carol Guzy (USA, 1995), Yunghi Kim (Corée du Sud, 1997) et Alexandra Boulat (France, 1998). Elle a également remporté le Visa d’or humanitaire du Comité international de la Croix-Rouge (CICR).

Les autres nominés étaient Khalil Hamra (Associated Press), né de parents palestiniens, avec « Pourquoi Gaza ? », l’Italien Emanuele Satolli (Time), déjà finaliste dans cette catégorie en 2017, avec « Gaza Border Killings », et Daniele Volpe, né en Italie, avec « Guatemala, le volcan de feu ».

Un reportage « compliqué à faire »

Agée de 40 ans, la lauréate qui se présente sur son compte Twitter comme « photoreporter de guerre, mère de deux enfants, blonde et pas stupide », a travaillé en Afghanistan pendant trois ans. Elle y avait réalisé son premier grand « coup » avec un reportage, qui avait fait polémique à l’époque, sur le commando taliban ayant tué le 18 août 2008 dix soldats français.

Les clichés très forts de son exposition « Yémen : la guerre qu’on nous cache » montrent un pays dévasté par des combats ayant déjà fait plus de 10 000 morts et en proie à la plus grave crise humanitaire actuelle : bâtiments en ruine, nourrissons squelettiques, enfants dans la rue avec une kalachnikov, etc.

« C’était un reportage [pour Paris Match et Time] très compliqué à faire, une guerre dont personne ne parle. Accéder au Nord Yémen, ce n’est pas impossible mais presque. Cela nous a pris un an » pour avoir toutes les autorisations, explique-t-elle lors d’un entretien avec l’AFP avant la remise du prix. Et puis, il a fallu « travailler avec les [rebelles] Houthis, puis sans les Houthis. Et ensuite repartir, cela a été très compliqué ». Avec sa consœur rédactrice, la photographe se déplaçait en abaya (robe musulmane) avec un voile sur le visage : « on a caché tous les signes montrant que nous étions occidentales. Et comme à tous les checkpoints, ils [les combattants] ne parlent jamais aux femmes, on n’a pas eu besoin de parler, c’était très pratique ».

Des progrès à faire en matière d’égalité

Interrogée sur le photojournalisme, dans lequel les hommes sont encore largement majoritaires, elle a répondu : « Est-ce qu’on a besoin d’être un homme pour faire ce métier ? certainement pas. Est-ce un avantage d’être une femme dans certains pays comme le Yémen ? Evidemment, car on a accès aux femmes et on peut se cacher sous une abaya, ou une burqa en Afghanistan, et c’est très pratique. »

« On est la première génération à revendiquer le droit d’être [photo] reporter mais aussi d’être une femme. Moi je suis maman de deux petites filles. »

Mais il y a encore des progrès à faire : « chez certains [collègues masculins], on dirait que le fait d’avoir des femmes reporters qui partent à la guerre leur enlève un peu de leurs attributs. A-t-on besoin d’avoir ses attributs masculins pour partir à la guerre ? Je ne pense pas. »

Parmi les autres lauréats 2018, figurent les photographes James Oatway (Visa d’Or région Occitanie), Sergey Ponomarev (Visa d’or presse quotidienne), Sabine Weiss (Visa d’Or d’honneur du Figaro Magazine), Valentine Van Vyve et Olivier Papegnies (Visa d’Or de l’information numérique).

Laura Morton a pour sa part remporté le prix Canon de la femme photojournaliste, Marco Zorzanello, celui de la fondation Yves Rocher. Luis Tato (AFP) a remporté le prix de la ville de Perpignan Rémi Ochlik, du nom d’un photographe tué en 2012 en Syrie. Jérome Sessini est le lauréat du prix Pierre et Alexandre Boulat et Kasia Strek gagné le prix Camille Lepage.

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