Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Jours tranquilles à Paris
26 mai 2018

C'est aujourd'hui...

 

Catalogue de vente PIN-UP - Maison Cornette de Saint Cyr. 🔥N°441. Pierre SAGE - Hors d'Oeuvre (*) Un semaine d'exposition avec en point d'orgue la vente aux enchères du samedi 26 mai. J'y serais. Je compte sur vous. Rien ne va plus : ) 6 Avenue Hoche 75008 Paris #photooftheday #picoftheday #follow #followme #nofilter #workout #love #artexhibition #exposition #exhibition #art #gallery #photo #photos #pinup #glamour #venteauxencheres #frenchartist #photography #photographer #photographie #instagood #instapic #pierre_sage_photographer #pierresage #photographer



28 Likes, 3 Comments - 📍Pierre SAGE📍 (@pierre_sage_photographer) on Instagram: "Catalogue de vente PIN-UP - Maison Cornette de Saint Cyr. 🔥N°441. Pierre SAGE - Hors d'Oeuvre (*)..."

 

Publicité
26 mai 2018

L’Irlande rompt catégoriquement avec des siècles de prohibition de l’avortement

photo-epa-efe-aidan-crawley_3962853_540x273p

Par Philippe Bernard, Londres, correspondant - Le Monde

Les Irlandais ont dit « oui » à plus de 68 %, vendredi, à la légalisation de l’IVG lors d’un référendum, selon les premiers sondages réalisés à la sortie des urnes.

Rurale ou urbaine, masculine ou féminine, jeune ou âgée : l’Irlande tout entière a plébiscité le droit à l’avortement, vendredi 25 mai, lors d’un référendum historique qui rompt avec des siècles de prohibition et confirme spectaculairement la perte d’influence de l’Eglise catholique.

Plus des deux tiers des 3,3 millions d’électeurs – soit 68 %, selon un sondage effectué pour le Irish Times à la sortie des urnes et même 69,4 % pour la radio-télévision publique RTE – ont voté en faveur de l’abrogation du 8e amendement de la Constitution, qui prohibe de fait tout avortement en protégeant « l’enfant à naître » (« unborn child ») au nom de son droit à la vie « égal à celui de la mère ».

Un résultat sans appel

« Il semble que nous écrivions une page historique », a tweeté le premier ministre de centre-droit Leo Varadkar. « Je m’endors ce soir avec l’espoir de me réveiller dans un pays plus généreux, plus attentionné et plus respectueux », a déclaré pour sa part le ministre de la santé Simon Harris, voix marquante de la campagne du « Yes ». Le résultat définitif du référendum devrait être proclamé officiellement samedi après-midi.

L’avortement, puni de la prison à vie depuis 1861 et de quatorze ans de détention depuis 2013, va ainsi être légalisé en Irlande. L’ample victoire du « oui » propulse l’Irlande, dont la législation est l’une des plus restrictives et répressives d’Europe en matière d’avortement, dans le droit commun de l’Union européenne (UE). Les quelque 5 000 Irlandaises qui, chaque année, sont contraintes pour avorter de se rendre au Royaume-Uni à leurs frais ou de commander sur Internet des pilules abortives à leurs risques et périls, pourront bénéficier d’un accueil médical dans leur pays dès que la loi, promise par le gouvernement Varadkar, aura été approuvée.

Le projet de loi publié avant le référendum prévoit que l’IVG pourra être pratiquée sans justification pendant les douze premières semaines de grossesse ; jusqu’à vingt-quatre semaines en cas de risque grave pour la santé de la mère ; et ensuite seulement en cas d’anomalie fœtale.

La levée d’un vieux tabou

Les campagnes (60 %) ont approuvé la libéralisation de l’IVG presque autant que les villes (71 %), les hommes (65 %) presque autant que les femmes (70 %), les jeunes (87 % des moins de 25 ans) nettement plus que leurs aînés (63 % des 50-64 ans).

« Presque derrière chaque porte à laquelle nous frappions, il y avait une histoire d’avortement, parfois très ancienne, qui n’avait pas pu être racontée jusqu’à présent », témoignait vendredi soir une militante du « oui ».

Comme lors du référendum de 2015 sur le mariage homosexuel, qui avait donné lieu à de multiples « coming out » publics et à des manifestations de solidarité, la campagne pour le droit à l’IVG a été marquée par de nombreuses confessions et par la levée d’un vieux tabou.

Avant le vote, prédit comme serré, l’éventualité d’une victoire du « non » mettait la larme à l’œil de bien des femmes militant pour leur liberté. Trop de drames vécus dans la honte et la solitude, trop de situations aberrantes comme ces grossesses pathologiques ou résultant d’un viol poursuivies coûte que coûte, ces femmes empêchées de « voyager » en Angleterre.

L’Eglise s’est montrée discrète durant la campagne

En 1995, les Irlandais n’avaient approuvé la légalisation du divorce que par 50,3 % des voix ; en 2015, ils ont dit oui au mariage homosexuel par 62,07 % et ils viennent donc de légaliser l’avortement par 68 %. Une progression qui reflète la disparition de l’ascendant moral de l’Eglise catholique, qui a longtemps servi d’armature à l’Etat, après les guerres civiles des années 1920, qui ont libéré l’Irlande de la tutelle britannique.

En 1983, le clergé, encore tout puissant et craignant une jurisprudence libérale de la Cour suprême, avait réussi à faire voter à 66,9 % le 8e amendement à la Constitution qui interdisait l’avortement, même en cas de viol ou d’inceste, même si le bébé souffrait de malformation. Cadenassée dans la loi suprême, la prohibition devenait impossible à annuler par la loi.

Mais depuis, lors, les scandales n’ont cessé d’éclabousser l’Eglise : pédophilie de prêtres, révélation sur la vente des bébés de filles-mères exploitées dans des blanchisseries (« Magdalen Laundries ») par des religieuses dans les années 1950, découverte d’un charnier d’enfants au couvent de Tuam en 2014. Difficile de considérer le clergé catholique comme défenseur des femmes et des enfants.

Certes, 87 % des Irlandais se disent encore catholiques et la radio publique sonne l’angélus, mais les messes sont moins fréquentées et les couvents ne recrutent plus. L’Eglise avait d’ailleurs préféré se montrer discrète pendant la campagne du référendum. Vendredi, des électeurs ont protesté contre la présence d’une Bible dans certains bureaux de vote. La loi électorale le prévoit en effet pour permettre aux gens de jurer de leur état civil s’ils ne sont pas en mesure de produire un document d’identité.

Un triomphe pour le premier ministre

La victoire impressionnante du « oui » résulte d’une subtile campagne de la société civile lancée après le scandale provoqué en 2012 par la mort en couches, à l’hôpital de Galway, de Savita Halappanavar, 31 ans, d’une septicémie fulgurante après s’être vu refuser une IVG en dépit d’une rupture précoce de la membrane.

Intense lobbying des responsables politiques, sensibilisation de l’opinion à travers des témoignages publics, « ce référendum n’est pas tombé du ciel. Il a été patiemment et stratégiquement préparé depuis des années », confiait avant le vote Ailbhe Smyth, figure de proue de la campagne du « oui ».

Une première victoire inattendue est survenue en avril 2017, lorsqu’une « Assemblée citoyenne » présidée par une juge de la Cour suprême a recommandé la réforme libérale sans restriction jusqu’à douze semaines. Des milliers de témoignages, notamment de ceux relatant la popularisation de la pilule abortive, ont montré que le statu quo était impossible. Le principe d’un référendum était acquis, même si, en septembre 2017, Leo Varadkar dit douter que le pays souhaite aller « aussi loin » que l’Assemblée citoyenne. Il faudra le feu vert d’une commission parlementaire et des sondages favorables pour que le premier ministre annonce en janvier 2018 qu’il fera campagne pour le « oui ».

Le résultat du vote de vendredi apparaît comme un triomphe pour M. Varadkar. Il pourrait l’inciter à pousser son avantage dans deux directions : en provoquant des élections législatives anticipées et, avec le soutien des Vingt-Sept, en montant le ton à l’égard du Royaume-Uni pour éviter que le Brexit, catastrophe potentielle pour l’Irlande, ne se traduise par le retour de la frontière avec l’Irlande du Nord.

Les 25 et 26 août, le premier ministre irlandais accueillera le pape François, qui vient à Dublin pour clôturer la « Rencontre mondiale des familles ».

26 mai 2018

Milo Moiré

IMG_7382

IMG_7383

IMG_7384

IMG_7386

IMG_7387

26 mai 2018

Le conflit SNCF

26 mai 2018

Macron salue « un dialogue extrêmement direct et franc » avec Poutine

poutine macron

Selon l’Elysée, la visite du président français en Russie a permis d’avancer sur plusieurs dossiers, comme la Syrie et le nucléaire iranien.

Au deuxième jour de sa visite officielle en Russie, Emmanuel Macron a invité, vendredi 25 mai, Vladimir Poutine à « ancrer la Russie dans l’Europe », affirmant sa conviction que le pays « a son histoire et son destin dans l’Europe ».

Le président français s’exprimait au côté de son homologue Vladimir Poutine, visiblement détendu, à la tribune du Forum économique de Saint-Pétersbourg, dont la France était l’invitée d’honneur, avec le Japon.

Pour M. Macron, « une fenêtre d’opportunité » s’ouvre pour qu’une « nouvelle dynamique » s’installe entre Moscou, où M. Poutine vient d’entamer un quatrième mandat, et l’Europe, bousculée par la décision du président américain, Donald Trump, de sortir de l’accord sur le nucléaire iranien.

« Rétablir la confiance »

Plus réservé que son hôte, le président russe s’est félicité de l’ambiance « très ouverte » de la rencontre avec M. Macron, avec lequel il s’était entretenu pendant trois heures, jeudi, sous les ors du Palais Constantin, en périphérie de l’ancienne capitale impériale russe (Nord-Ouest).

Ces discussions ont permis d’« avancer », selon l’Elysée, sur les dossiers extrêmement complexes du nucléaire iranien et de la Syrie, sur lesquels Moscou et Paris voient un intérêt à coopérer plus étroitement.

« La France est notre partenaire ancien, traditionnel et fiable. (…) Elle a toujours aspiré à défendre sa souveraineté, ce qui est un gage de stabilité dans la relation », a souligné M. Poutine. Mais il n’a pas exprimé publiquement la volonté de renforcer les relations avec les pays de l’Union européenne, alors que s’appliquent toujours les sanctions prises lors des crises de l’Ukraine en 2014 et de la Crimée.

Pour sa part, M. Macron a loué un « dialogue extrêmement direct et franc » avec Vladimir Poutine. Mais il n’a pas caché que la tâche allait être ardue pour « rétablir la confiance » entre Moscou et l’Europe de l’Ouest, après « vingt-cinq ans d’incompréhension ».

Une cinquantaine d’accords et de contrats signés

« L’image de l’Europe s’est beaucoup dégradée en Russie » où elle « est perçue comme faible, perdant ses repères », alors que la Russie se voit comme « un point de référence conservateur », a-t-il regretté en s’entretenant jeudi soir avec Natalia Soljenitsyne, la veuve du célèbre écrivain et dissident.

Mme Soljenitsyne l’a appelé à agir pour rapprocher son pays de l’Europe. « La Russie doit faire partie de l’Europe. Sinon, cela la poussera vers la Chine », selon elle.

Malgré les tensions des dernières années, la France est restée économiquement très présente en Russie, avec quelque 500 entreprises employant près de 170 000 salariés. Parmi la cinquantaine d’accords de coopération et de contrats signés au cours de la visite, le plus important prévoit l’entrée du groupe français Total dans un nouveau projet géant de gaz naturel liquéfié dans l’Arctique russe de Novatek, pour 2,5 milliards de dollars (2,1 milliards d’euros).

Le président français a, par ailleurs, annoncé avoir évoqué avec M. Poutine les cas du réalisateur ukrainien emprisonné Oleg Sentsov et du cinéaste russe Kirill Serebrennikov, assigné à résidence.

Métaphore sportive

Emmanuel Macron a également rencontré, jeudi, Alexandre Tcherkassov, un responsable de la principale organisation russe de défense des droits de l’homme, Memorial, et d’autres militants des droits de l’homme russe, selon l’Elysée. « Un important geste de soutien », s’est félicitée Tania Lokchina, de l’antenne russe de Human Rights Watch.

Le chef de l’Etat a déclaré espérer revenir prochainement en Russie, mais cette fois pour soutenir l’équipe de France si elle se qualifie pour les demi-finales du Mondial 2018 (14 juin-15 juillet). Ce qui lui a permis de filer la métaphore sportive, en espérant que les relations entre Paris et Moscou s’inspirent du judo, prisé par Vladimir Poutine, qui « repose sur le respect de l’adversaire », et son sport de prédilection, le football, qui est « un sport collectif ».

Publicité
26 mai 2018

Extrait d'un shooting

sexy

tumblr_nbjafietrX1qbrsejo2_1280

tumblr_nbjafietrX1qbrsejo3_1280

26 mai 2018

RGPD...

RGPD

26 mai 2018

L’ancien producteur Harvey Weinstein inculpé d’un viol et d’une agression sexuelle

viol1

Il s’agit de sa première inculpation depuis les premières accusations contre lui, il y a sept mois, qui ont fait éclater le mouvement planétaire #metoo.

L’ancien producteur de films Harvey Weinstein, accusé par des dizaines de femmes d’agressions sexuelles, a été inculpé, vendredi 25 mai à New York, pour un viol en 2013 et une agression sexuelle en 2004, a fait savoir la police de New York. Il s’agit de sa première inculpation depuis les premières accusations contre lui, il y a sept mois, qui ont par ailleurs fait éclater le mouvement planétaire #metoo.

Le bureau de Cyrus Vance, le procureur de Manhattan, a précisé que l’accusation pour viol portait sur des faits remontant au 18 mars 2013, à une adresse du quartier de Midtown, qui abrite aujourd’hui un hôtel. L’identité de la victime n’a pas été précisée. Il pourrait s’agir d’une agression dont personne n’avait parlé publiquement jusqu’ici. L’accusation d’agression sexuelle semble correspondre à l’accusation de Lucia Evans, dont les allégations avaient déjà été publiées, même si le procureur ne l’a pas confirmé.

Après que les charges retenues lui ont été signifiées, il est ressorti du commissariat, les mains menottées dans le dos. La police de New York a publié un communiqué dans lequel elle « remercie ces courageuses survivantes pour avoir eu le courage de se présenter et de demander justice ».

Une caution d’un million de dollars

Weinstein, qui est représenté par le célèbre avocat new-yorkais Ben Brafman, le même qui avait obtenu en 2011 l’abandon des poursuites contre Dominique Strauss-Kahn dans l’affaire du Sofitel, a toujours démenti avoir eu des rapports sexuels « non consentis ».

« L’accusé a profité de sa position, de son argent et de son pouvoir pour attirer de jeunes femmes dans des situations où il était capable de commettre des violences sexuelles contre elles », a dit la procureure Joan Illuzzi, lors de la lecture de l’acte d’accusation à la cour criminelle de Manhattan.

Après son inculpation par le procureur, le juge Kevin McGrath a fixé le montant de la caution d’Harvey Weinstein, qui a été remis en liberté moyennant le versement d’un million de dollars, le port d’un bracelet électronique, l’interdiction de quitter les Etats de New York et du Connecticut, et la remise de son passeport.

Le producteur déchu n’a fait aucune déclaration. Mas son avocat, Ben Brafman, a déclaré que Harvey Weinstein va plaider « non coupable » aux chefs d’accusation de viol et d’agression sexuelle portés contre lui. « Nous avons l’intention d’agir très vite pour que les poursuites soient abandonnées », a ajouté l’avocat. « Nous pensons que [les accusations] ne sont pas étayées par des preuves » et que Mr. Weinstein « sera exonéré », a-t-il ajouté.

La prochaine audience est fixée au 30 juillet.

Plusieurs autres enquêtes

M. Weinstein, 66 ans, avait disparu dès les premières révélations le concernant et était censé suivre un traitement contre les addictions sexuelles dans l’Arizona.

Depuis les premières révélations du New York Times début octobre 2017, plus d’une centaine de femmes, dont des célébrités comme Ashley Judd, Gwyneth Paltrow ou Salma Hayek, ont accusé Harvey Weinstein de les avoir harcelées, agressées ou violées, souvent il y a des années, voire des décennies.

Plusieurs victimes présumées l’ont assigné en justice. Le producteur est aussi sous le coup d’enquêtes menées par les polices de New York, Los Angeles et Londres, même s’il n’a fait l’objet d’aucune poursuite jusqu’ici. La police new-yorkaise avait affirmé en novembre 2017 tenir au moins « un vrai dossier » contre Harvey Weinstein.

Au fil des révélations du New York Times et du New Yorker, récompensés par le prix Pulitzer pour leurs enquêtes, il est apparu que M. Weinstein – longtemps vénéré pour avoir promu un cinéma original incarné par des réalisateurs comme Quentin Tarantino – avait usé de son pouvoir, pendant près de quarante ans, pour obliger de jeunes actrices ou aspirantes actrices à céder à ses fantasmes sexuels, se faisant parfois aider par ses employés et achetant le silence de certaines victimes via des accords de confidentialité. Il s’est aussi avéré que beaucoup de gens étaient au courant de son comportement, mais avaient préféré se taire, souvent par peur de voir leur carrière ruinée par le producteur multi-oscarisé.

Les révélations ont eu l’effet d’une bombe. Des centaines de femmes, sous le hashtag #metoo, se sont mises à témoigner sur des agressions sexuelles subies souvent des années plus tôt. Le mouvement a fait chuter des dizaines d’hommes de pouvoir dans des secteurs aussi divers que le cinéma, les médias, la mode, la gastronomie ou la musique.

viol

26 mai 2018

A découvrir au #FHEL, à partir du 10 juin 2018, la grande exposition de l’été consacrée à « Henry Moore », sculpteur.

fehl

26 mai 2018

Sydney opera house

Celebrated Australian artist Jonathan Zawada has created a site-specific artwork that transforms the Sydney Opera House sails into a series of kinetic digital sculptures. Photo thanks to Vivid Sydney

opera s

Publicité
<< < 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 20 30 > >>
Publicité