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Jours tranquilles à Paris
27 décembre 2007

Mitsu se prépare...

L’objectif 2008 est annoncé : une huitième victoire au Dakar. Pour ce faire, quatre équipages au top de leur forme prendront le départ au volant d’un Pajero Montero Evolution type MPR13 ..

Alphand et Picard  ( vainqueur en 2006 )

alphand
Masuoka (vainqueur en 2002 et 2003 ) et Maimon

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Peterhansel  et Cottrêt  ( vainqueur 2007 )

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Roma et Lucas Cruz Senra


Roma

Pajero Montero Evolution type MPR13

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Le site officiel du Dakar 2008 en cliquant ICI

Je suis très MITSU...

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21 janvier 2007

Mitsubishi remporte le Dakar

Dakar 2007 : La neuvième de Peterhansel

Stéphane Peterhansel a décroché une troisième victoire dans le Dakar dimanche. Une neuvième consécration dans la capitale sénégalaise, motos et autos confondues.

Une victoire, voila ce qui sépare Stéphane Peterhansel d'Ari Vatanen au palmarès du Dakar. Dimanche, le pilote Mitsubishi a remporté son troisième succès sur quatre roues mais ses six autres victoires dans la catégorie moto font assurément du Français le plus grand pilote de l'histoire du fameux rallye-raid.

Un an après avoir bêtement laissé échapper la victoire à son coéquipier Luc Alphand au Mali, Stéphane Peterhansel a repris son bien, néanmoins sans avoir signé la moindre victoire d'étape. La tactique d'attente que l'écurie Mitsubishi avait mise en place pour ce rallye a donc parfaitement marché. Les Volkswagen, plus offensives, elles étaient incontestablement plus rapides, n'ont pas montré la même robustesse que le Pajero de la marque nippon. Problèmes électriques pour Carlos Sainz, moteur en feu pour Ginel de Villiers, la sélection naturelle a fait son travail et éliminé tour à tour les bolides Volkswagen, performants mais pas assez endurants.

 Aux commandes du classement au soir de la 9e étape entre Tichit et Néma, Stéphane Peterhansel a ensuite dû gérer la rivalité interne au sein du clan Mitsubishi. Il s'impose devant un Luc Alphand résigné et détrôné, et un Jean-Louis Schlesser miraculé après avoir galéré pour aligner son buggy au départ de l'épreuve. Sur un podium 100% français, la belle brochette de pilotes compte à elle seule 12 victoires.

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L'équipe Mitsubishi du Dakar 2007

15 janvier 2007

Mitsubishi en tête

PARIS (Reuters) - Le Français Stéphane Peterhansel a pris lundi la tête du Dakar, dans la catégorie autos devant son compatriote Luc Alphand, vainqueur de l'épreuve l'an passé.

Les deux pilotes Mitsubishi ont profité de la casse moteur du Sud-Africain Giniel de Villiers pour prendre la tête de la course au terme de la neuvième étape, disputée sur 497 km dont 494 de spéciale entre Tichit et Néma, en Mauritanie, et remportée par une autre Français, Jean-Louis Schlesser, au volant de son Buggy.

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10 janvier 2007

Préparation Mitsubishi

8 janvier 2007

Mitsubishi rend le Dakar ennuyeux...(Mitsu gagne toujours ! C'est pas drôle!)

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6 janvier 2007

Dakar 2007: départ de la 29e édition du rallye raid

LISBONNE (AFP) - Le 29e rallye-raid à destination de Dakar quitte Lisbonne ce matin, à partir de 06h30 (heure locale) avec une première étape qui conduit les concurrents à Portimao (sud du Portugal).

Les 511 véhicules finalement engagés après trois jours de vérifications techniques dans la capitale portugaise (231 motos, 14 quads, 181 voitures et 85 camions) doivent parcourir 464 km dont 117 de spéciale.

La dernière journée a vu défiler les outsiders avec à leur tête Jean-Louis Schlesser, le dernier pilote à avoir maté les Mitsubishi, en 1999 et 2000. Il a présenté avec fierté au parterre de photographes la dernière née de ses ateliers. Volontiers provocateur, l’ex-pilote de F1 a détaillé les transformations apportées à son célèbre buggy bleu, qu’il imagine bien sur le podium à Dakar.

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Equipe Mitsubishi

3 janvier 2007

Une auto puissante, des équipiers solidaires et une ambiance sereine : Jutta Kleinschmidt chez BMW

Votre histoire avec Volkswagen s'est terminée un peu rapidement et a laissé un sentiment d'inachevé...

Jutta Kleinschmidt : Pas pour moi. Je suis contente car chez Volkswagen c'était très politique. Je suis à présent dans un team plus petit, où tous les mécaniciens travaillent avec beaucoup de plaisir. Bien sûr, nous sommes moins nombreux, avec moins de moyens, mais ça marche bien. Nous avons aussi une bonne voiture.

Vous avez aussi connu un autre grand team, Mitsubishi, avec lequel vous avez emporté le Dakar 2007. Etiez-vous à la recherche de quelque chose à dimension plus humaine ?

J.K. : Oui. Et dans le team BMW X-Raid, il est présicément nécessaire de travailler les uns pour les autres. Nous sommes une structure trop petite pour faire autrement. Personnellement, je suis redevenue calme, et ça c'est bien ! Avant, j'étais tout le temps stressée pour des questions de politique de management. C'était devenu compliqué de changer quoi que ce soit. C'est regrettable car au début, lorsque je suis arrivée, ça n'était pas comme ça. J'avais beaucoup de choses à dire et j'étais écoutée.

Quelle est votre impression sur vos rivaux ?

J.K. : C'est dur de l'avouer mais Mitsubishi fait un très bon travail, très professionnel. Je l'ai encore vue à Dubaï, au Desert Challenge. Le nouveau Pajero reste la voiture à battre. De notre côté, avec le vingtième du budget de Volkswagen et le dixième de ce qu'à Mitsubishi, nous avons réussi à faire une bonne auto pour ce Dakar. Je suis vraiment contente.

Etes-vous satisfaite de votre intégration ?

J.K. : Oui. Le courant passe vraiment bien avec les deux autres pilotes. Gerlain Checherit est jeune, motivé, dynamique. J'ai plus d'expérience et ça fait un bon mélange. Nous avons fait beaucoup de tests ensemble, lors desquels nous avons partagé beaucoup de choses. Ça se passe très bien aussi avec Nasser Al-Attiyah, même s'il n'y pas eu beaucoup de temps car il disputait la Coupe du monde des rallye-raids et le championnat du Moyen-Orient. Nous nous respectons vraiment.

Quelles sont les meilleurs atouts de l'auto ?

J.K. : Nous avons un bon moteur, son couple est appréciable dans le sable. C'est là où nous serons bien. Nous avons également bien progressé sur les suspensions. Le reste, c'est plein de petites choses qui sont autant de plus.

Que pensez-vous du parcours ?

J.K. : Il est classique, très sablonneux. Nous serons à l'aise aussi bien dans le sable rapide que le sable mou. Nous disposons d'un avantage par rapport à Mitsubishi et Volkswagen : le châssis de notre voiture est le même que celui de l'ancien X3. Il est plus haut que le Pajero et le Touareg 2. Notre aérodynamique est moins bonne mais ça n'aura pas d'incidence véritable.

Quelle sera la stratégie face aux deux armadas ?

J.K. : Nous allons faire une course d'équipe. C'est notre seule chance de bien figurer.

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31 décembre 2006

Dakar : BFGoodrich

source: rally.racing-live.com

Sept fois vainqueurs du Rallye Dakar, dont cinq fois d'affilée avec Mitsubishi, les pneumatiques BFGoodrich seront de nouveau en piste le 6 janvier prochain pour la 29ème édition du Rallye-Raid le plus célèbre et le plus éprouvant au monde, l'Euromilhoes Dakar.

Cette année encore, toutes les équipes officielles font confiance à BFGoodrich pour les conduire à la victoire, tandis que les amateurs comptent sur la robustesse des pneus BFGoodrich pour les amener à Dakar.

Le 29ème Rallye Dakar s'élancera donc de Lisbonne le 6 janvier pour un périple de 8696 km dont 5010 de secteurs chronométrés, soit l'équivalent de près d'une saison complète en Championnat du monde des Rallyes concentrée sur 15 jours !

Différents types de sols

Pour poursuivre le parallèle entre le Dakar et le Mondial des Rallyes WRC où les pneus BFGoodrich ont réalisé un grand chelem historique en 2006 (2 titres, 16 victoires), le parcours du Dakar compte lui aussi différents types de terrains que les pneumatiques vont devoir affronter.

Les pistes montagneuses du Maroc sont tapissées de pierres tranchantes, le sable de Mauritanie cache bien souvent de traîtres cailloux, les pistes en latérite du Sénégal, très dures, n'offrent que très peu d'adhérence...

Le règlement impose aux pilotes prioritaires un seul type de pneumatique pour affronter tous ces sols différents.

''A la suite des essais effectués au Maroc et en Tunisie entre octobre et novembre dernier, les équipes officielles Mitsubishi, VW et BMW/X-Raid ont retenu le pneu BFGoodrich Rock T/A qui s'est imposé au Dakar 2006 avec le Mitsubishi Pajero de Luc Alphand'', déclare Dominique Bravy, technicien Rallye-Raid de BFGoodrich.

''Nous avons encore travaillé sur la robustesse du Rock T/A car au Rallye Dakar, c'est la carcasse du pneu qui est la plus sollicitée à cause des chocs répétés et du poids des voitures qui peut grimper jusqu'à 2,5 tonnes tous pleins faits. Un pneu de Rallye-Raid peut encaisser des forces de 3 tonnes à la réception de sauts par exemple.''

30 décembre 2006

A la tête de l'équipe Mitsubishi, Dominique Serieys...

A la tête de l'équipe Mitsubishi, Dominique Serieys vise une 7e victoire consécutive au Dakar. Pour le manager français, la stabilité des effectifs est à l'origine de cette excellence.

Mitsubishi est l'équipe à battre. Ressentez-vous une pression supplémentaire avant de viser une septième victoire en sept ans ?

Dominique Serieys : Je suppose que notre succès a créé une pression propre à maintenir les standards élevés que nous avons atteints dans le passé. Nous avons pris part au Dakar depuis 25 ans sans ininterruption et nous restons sur six victoires de suite. Ce record parle de lui-même.2006 a été très dure pour le team. Nous avons développé une nouvelle voiture, nous avons souffert de la perte tragique de Henri Magne en juin, et en termes sportifs nous avons eu affaire à une équipe Volkswagen très forte. La pression est vraiment perceptible. Mon objectif personnel est de gagner pour dédier cette victoire à Henri.

Les tests avec le Pajero MPR13 se sont très bien passés. Quels sont les points forts de la nouvelle voiture ?

D.S. : La facilité de conduite et la stabilité. Les autres points clé sont le spacieux cockpit et les améliorations réalisés pour le confort du pilote et du co-pilote.

Quel est le secret d'une victoire au Dakar ?

D.S. : L'expérience et l'engagement sont les paramètres les plus importants. Nous sommes parvenus à conserver une solide unité ces dernières années, avec des équipages stables et constants. Je pense que nous avons les meilleurs pilotes et co-pilotes et, conjugué au travail d'arrache-pied d'équipes enthousiasmes à Pont de Vaux et au Japon, cela fait de nous une très solide famille avec un esprit d'équipe génial.

Votre stratégie sera-t-elle similaire à 2006 ?

D.S. : L'élément clé sera notre stratégie de course. Je serai un team manager tranquille, spécialement au départ. Je ne mettrai pas de pressure supplémentaire sur nos pilotes et je serai réactif ; je ne prendrai de décision importante que si le besoin s'en fait sentir ou si les circonstances changent. Etre team manager sur le Dakar est très différent de l'être sur les 24 Heures du Mans ou en WRC. Le Dakar est imprévisible, on ne peut définir de stratégie.

Qu'est-ce qui fait un bon directeur d'équipe ?

D.S. : Un bon team manager a besoin d'être calme, professionnel, stable, et capable d'anticiper les situations. Il doit aussi être un businessman.

A quel point a été important le test final à Dubaï avec la nouvelle voiture ?

D.S. : Dubaï a été la dernière course avant le Dakar, l'opportunité pour Stéphane [Peterhansel] de piloter le nouveau Pajero et pour Hiroshi [Masuoka] et Luc [Alphand] de gagner de de l'expérience à son volant. Cela a aussi été l'occasion pour 'Nani' Roma de faire 1.500 à 2.000 km de tests. Ne pas être allé à Dubaï n'affectera peut-être pas le résultat final du Dakar mais c'était une opportunité de faire des tests de dernière minute.

Est-ce un gros avantage de repartir avec les quatre mêmes pilotes ?

D.S. : C'est sûrement l'une de nos forces principales. Nous avons quatre des meilleurs au monde. J'ai foi en eux. Il n'y a rien de pire pour un pilote de ne pas savoir s'il a un contrat pour l'année suivante. Nos pilotes sont fixés, employés à l'année et peuvent se concentrer sur leur tâche.

Le tracé 2007 paraît très difficile. Où pensez-vous que la course se gagnera ou se perdra ?

D.S. : La Mauritanie sera la clé. Pour nous, suivre les voitures de tête pendant la traversée du Maroc ne sera pas un problème, du moment que nous seront proches. Une fois que l'épreuve entrera en Mauritanie, la course débutera vraiment. Gagner des étapes pour deux minutes en Europe ou au Maroc n'est pas représentatif car nous parlons de paquets de minutes voire d'heures en Mauritanie. Je serai patient et j'observerai.

BMW et Volkswagen ont travaillé dur, les Buggies sont très rapides. D'où va venir le plus gros danger ?

D.S. : De Volkswagen, assurément. Giniel de Villiers est un pilote de haut niveau, Carlos Sainz et Mark Miller sont extrêmement compétitifs. Nous connaissons tous l'expérience d'Ari Vatanen et ses records sur l'épreuve (4 victoires, 50 victoires en spéciales). Nous ne devons pas oublier BMW. Nasser [Al-Attiyah] est expérimenté et Jutta [Kleinschmidt] et plus que capable de monter sur le podium. Puis, il y a [Jean-Louis] Schlesser et les Buggies. Je pense qu'il y a 12 voitures en lice pour le top cinq. Ça va être une bonne bagarre...

 

30 décembre 2006

Mitsu or not Mitsu ?

DAKAR 2007 - PRESENTATION

Qui peut bien battre les 4x4 Mitsubishi sur le Dakar ? La question s’installe comme un refrain chaque année à l’approche de la Saint-Sylvestre. Et systématiquement depuis six ans, les voitures rouges répondent catégoriquement sur le terrain : personne.

Même quand leur pilote de pointe, Stéphane Peterhansel, connaît une mésaventure en fin de rallye alors qu’il occupe la tête du classement général (2003, 2006). Lors de la dernière édition, c’est son coéquipier Luc Alphand qui s’est chargé de défendre les positions de la forteresse japonaise, remportant son premier titre en huit participations au Dakar. L’ancien skieur, qui signe ainsi une reconversion exemplaire, se présente naturellement comme un candidat légitime à sa succession, tout comme ses camarades d’écurie Peterhansel, Masuoka et Roma, tous anciens vainqueurs sur le rallye.

Bien que la marque aux diamants présente une version encore améliorée du célèbre Pajero, le MPR 13, la concurrence semble se rapprocher, jusqu’à devenir menaçante pour les favoris. Du côté de Volkswagen, le Race Touareg, en quête de fiabilité, comble chaque année un peu plus son retard, et ses porte-étendards se révèlent de plus en plus crédibles en tant que vainqueurs en puissance. Discret mais efficace, le Sud-Africain Giniel De Villiers, dauphin d’Alphand en 2006, connaît une progression sans faille. Et Carlos Sainz, l’ogre du WRC, a signé une entrée fracassante sur l’épreuve avec quatre victoires de spéciales alors qu’il n’était venu « que pour apprendre ». Nouveau venu chez VW, Ari Vatanen aimerait lui-aussi renouer avec ses grandes années. A défaut, il tentera de reconquérir le record de victoires d’étapes que lui a soufflé « Peter » l’an dernier.

Le team BMW X-Raid poursuit lui aussi sa montée en puissance depuis trois ans. Le Qatari Nasser Al Attiyah, qui a déjà donné des preuves de compétitivité, n’a plus qu’à ajouter la régularité à la performance, tandis que le champion du monde de ski extrême Guerlain Chicherit, 9ème du Dakar en 2006 et vainqueur de la dernière spéciale, s’imagine bien dans le Top 5. Surtout, le chef de clan Sven Quandt s’est attaché les services de Jutta Kleinschmidt, qui a apporté toute son expérience au développement du X-3. Enfin, Jean-Louis Schlesser, le dernier en date à avoir fait vaciller Mitsubishi en 1999 et 2000, ne présentera qu’un seul buggy bleu cette année. « Mais je ne suis jamais aussi rapide que quand je suis seul », a prévenu « Schless », qui vise comme d’habitude la victoire.

Communiqué de presse ASO

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