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Jours tranquilles à Paris
1 août 2020

Fortes chaleurs...

chaleurs

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1 août 2020

Fanny Müller

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31 juillet 2020

'VALENCIANA PSYCHO' UNE NOUVELLE HISTOIRE VISUELLE DE 'BRAVLUE' {NSFW / EXCLUSIVE EDITORIAL}

Le photographe Bravlue  et le mannequin Ashley Buznego se sont  associés pour l' éditorial exclusif du NAKID d' aujourd'hui intitulé « Valenciana Psycho ». Vénézuélien élevé à Miami, en Floride. J'ai adoré l'art et j'ai décidé de s'aventurer dans le monde de la photographie. Aime la photographie de concept. Trouver de l'inspiration dans l'art classique, les films, la chanson et les réinventer avec mon objectif.

MUA et stylisme: Karen Martinez

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31 juillet 2020

Vu sur internet

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31 juillet 2020

"ENTRE-TEMPS, QUELQUE PART DANS CE MONDE" UNE NOUVELLE HISTOIRE VISUELLE DE "KLARA & JAN PROCHAZKA" {NSFW / EXCLUSIVE EDITORIAL}

Les photographes  Klara et Jan Prochazka  et les mannequins  Nataly et Tamara Martini se sont  associés pour l' éditorial exclusif du NAKID d' aujourd'hui intitulé « Pendant ce temps, quelque part dans ce monde» . Klara et Jan sont un jeune couple de photographes basé à Olomouc, en République tchèque. Leur passion est le cinéma et un amour pour la photographie analogique; l'odeur de la chambre noire, la narration sans fin et la liberté visuelle de la nudité.

RÉCIT:

Pendant ce temps, quelque part dans ce monde

Deux étoiles sont tombées

Et quelque part dans ce monde Les

gens se sont perdus

Alors que leur boussole a disparu du ciel

Quelque part dans ce monde

Deux jolies filles tellement en colère

Ne sachant pas où elles sont

Qui elles sont

Ce qu'elles devraient faire

Deux étoiles tombées s'est perdu

quelque part dans ce monde

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temps23

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temps25

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31 juillet 2020

Milo Moiré - porn'art

milo11

milo12

29 juillet 2020

Borne Patton

La Voie de la Liberté est une route qui symbolise l'avancée des troupes américaines en 1944 pour la libération de l'Europe.

C'est un hommage permanent de la terre de France à la terre d'Amérique, qui rappelle le sacrifice de jeunes hommes combattant loin de leur patrie pour l'amour de la liberté.

Tout au long de son parcours de 1 145 km, la Voie de la Liberté est matérialisée par ces bornes monumentales, majoritairement remplacées ensuite en France par des copies en matériaux légers, considérées moins dangereuses. Des originaux subsistent à Champillon (Marne), à Frisange (Luxembourg), le long de la route nationale N4 en Belgique jusqu'à Bastogne.

borne patton

George Smith Patton, Jr., né le 11 novembre 1885 à San Marino en Californie et mort le 21 décembre 1945 à Heidelberg en Allemagne, est un général « quatre étoiles »N 1 de l'Armée de terre américaine qui a notamment commandé la 7e puis la 3e armée américaine sur le théâtre européen des opérations de la Seconde Guerre mondiale.

Né en 1885 dans une famille aisée ayant une forte tradition militaire, Patton étudie à l'institut militaire de Virginie puis à l'académie militaire de West Point. Il fait partie de l'équipe américaine de pentathlon moderne aux Jeux olympiques de 1912 ; féru d’escrime, il conçoit ensuite un sabre de cavalerie (en) de qualité — modèle 1913 — destiné à l'arméeN 2, mais qui s'est avéré peu utilisé par la suite car les méthodes de guerre ont évolué rapidement au cours de la période. En 1916, Patton participe aux combats de l'expédition punitive contre Pancho Villa au Mexique dans l'un des premiers exemples de guerre mécanisée. Il rejoint ensuite le corps blindé de la force expéditionnaire américaine qui participe aux combats sur le front de l'Ouest de la Première Guerre mondiale, après l'entrée en guerre des États-Unis en 1917. Entre les deux guerres mondiales, Patton est l'un des principaux partisans de l'introduction des techniques de la guerre mécanisée dans l'armée américaine et il exerce diverses fonctions administratives militaires sur le territoire américain. Ayant gravi les échelons de la hiérarchie, il est à la tête de la 2e division blindée au moment de l'entrée en guerre des États-Unis fin 1941.

Patton mène les troupes américaines lors de l'opération Torch au Maroc en 1942 et, sous son commandement efficace, le 2e corps d'armée démoralisé recouvre sa cohésion au cours de la campagne de Tunisie. Il commande la 7e armée lors de l'invasion de la Sicile et devance les troupes britanniques de Montgomery en arrivant le premier à Messine. Il est néanmoins impliqué dans une controverse après avoir giflé deux de ses hommes souffrant de stress post-traumatique et est temporairement relevé de son commandement. Comme il est craint de l’ennemi, Patton est utilisé pour une vaste opération de désinformation destinée à tromper les Allemands sur le lieu exact de l'attaque alliée qui doit avoir lieu en Normandie début juin 1944. À l'issue du débarquement, il est réaffecté en juillet à la tête de la 3e armée qui intervient dans la bataille de Normandie et il mène une offensive éclair jusqu'en Lorraine. Il se porte au secours des troupes américaines encerclées à Bastogne durant la bataille des Ardennes et entre en Allemagne au printemps 1945. À la fin de la guerre, il est nommé gouverneur militaire de Bavière avant d'être relevé de ses fonctions et affecté au commandement de la 15e armée stationnée dans l'Allemagne occupée. Il est victime d'un accident de la route alors qu'il est assis à l'arrière de sa berline qui heurte un camion militaire le 9 décembre 1945 : il succombe à ses blessures douze jours plus tard dans l'hôpital de Heidelberg.

Le caractère pittoresque et énergique de Patton ainsi que ses succès militaires ont parfois éclipsé ses déclarations maladroites à la presse. Sa philosophie de commander depuis le front et d'encourager ses hommes avec des discours comportant des grossièretés apparentes — « On ne vous demande pas de mourir pour votre pays, mais que le salaud d'en face meure pour le sienN 3 » — a néanmoins entraîné l'apparition de nouvelles méthodes de commandement au sein du corps des officiers de l'Armée américaine. De même, ses tactiques basées sur des offensives rapides et percutantes se sont traduites par le développement de nouvelles doctrines de combat dans le domaine de la guerre mécanisée. Si les opinions des commandants alliés à son sujet étaient souvent mitigées, il était tenu en haute estime par ses adversaires allemands. Le film Patton de 1970 a remporté sept oscars et a contribué à faire de lui un héros populaire américain.

29 juillet 2020

Laetitia Casta

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casta999

29 juillet 2020

Viktoria Modesta

Viktoria999

29 juillet 2020

Récit - Le parcours rocambolesque du Banksy volé au Bataclan, puis retrouvé en Italie

Par Simon Piel, François Krug

Interpellé dans le cadre de l’enquête sur le vol du pochoir peint en hommage aux victimes des attentats, un entrepreneur de mode de la région lyonnaise est soupçonné d’avoir exfiltré l’œuvre.

Les voleurs ont pris leur temps, se moquant des caméras de surveillance. Cette nuit de janvier 2019 à Grenay, une petite ville de l’Isère, ils dévalisent le Gedimat, un magasin pour bricoleurs et professionnels du bâtiment. Fait divers banal. Un an plus tard, des suspects sont entendus à la gendarmerie d’Heyrieux. Comme le révélera plus tard Le Dauphiné libéré, l’un d’eux se vante d’avoir utilisé une partie du matériel subtilisé pour un autre vol, commis dix jours plus tard. Celui-là a ému la planète entière.

Dans la nuit du 25 au 26 janvier 2019, une camionnette se gare près du Bataclan, à Paris. Trois hommes découpent une porte de sécurité de la salle et l’emportent, avec l’œuvre qui la recouvre : un pochoir de Banksy. La star anonyme du street art avait ainsi rendu hommage aux victimes de l’attentat de 2015, en peignant une jeune femme au bord des larmes. Une œuvre si connue qu’elle paraît invendable.

Dans du plastique noir

L’enquête patine. Elle rebondit finalement dans l’Isère et mène en Italie. Comme l’a révélé Le Journal du dimanche (JDD), elle suit la trace de Mehdi Meftah, 39 ans, un ancien gamin de la banlieue lyonnaise. Signe particulier : il a créé une marque de streetwear de luxe empruntant son logo à Banksy…

Le 10 juin, une quinzaine de carabiniers italiens et trois policiers français débarquent dans un hôtel modeste de Tortoreto, dans les Abruzzes. Un bâtiment sans charme, loin de la plage. Une dizaine de chambres, 50 euros la double l’hiver, 80 au plus fort de la saison estivale. Ils cherchent un paquet laissé par Mehdi Meftah. Le propriétaire, Giacomino P., les conduit non loin de là, à Sant’Omero. Il y possède une maison perdue dans la campagne. Dans les combles, il désigne un panneau ­enveloppé dans du plastique noir.

« LE PROPRIÉTAIRE NE SAVAIT PAS CE QU’IL Y AVAIT DANS CE PAQUET, IL RENDAIT SERVICE À UN CLIENT DEVENU UN AMI. » L’AVOCAT DE L’HÔTELIER ITALIEN QUI DÉTENAIT LE BANKSY

Selon nos informations, Giacomino P. explique aux enquêteurs qu’il connaît Mehdi Meftah depuis quatre ans. Ce client lui a été présenté par une connaissance commune, Raffaele P., qui fait dans l’import-export de voitures entre Lyon et les Abruzzes. A partir de 2016, le Français vient plusieurs fois par an. En famille ou seul, pour les vacances ou pour des affaires qu’il ne détaille pas.

En octobre 2019, il débarque en camionnette avec deux amis, et le panneau emballé. Il évoque une décoration pour la maison qu’il s’aménage à La Seyne-sur-Mer (Var) et demande s’il peut l’y stocker jusqu’à son prochain passage, à Noël. « Le propriétaire ne savait pas ce qu’il y avait dans ce paquet, il rendait service à un client devenu un ami », nous assure son avocat, Angelo Palermo. Le paquet est entreposé dans le garage de l’établissement.

Toujours selon la version de l’hôtelier, Noël passe mais le Français ne revient pas. En janvier dernier, Giacomino P., qui effectue des travaux dans l’hôtel, aurait transféré le paquet à la campagne. Selon nos informations, l’homme est placé peu après sous surveillance par les carabiniers. Pendant des mois, rien ne bouge : l’Italie s’est confinée. A la sortie du confinement, les enquêteurs décident d’intervenir.

Une couronne stylisée

Le 11 juin, le procureur de L’Aquila, chef-lieu des Abruzzes, présente fièrement le Banksy lors d’une conférence de presse. Le 23, plus discrètement, la police judiciaire (PJ) intervient notamment à Toulon, dans la banlieue lyonnaise, et à Flachères, petit village de l’Isère surtout connu pour sa foire aux navets. Selon le parquet de Paris, deux suspects sont mis en examen pour vol en bande organisée et quatre pour recel, dont Mehdi Meftah. Son petit frère est aussi interpellé. Tous sont placés en détention provisoire. L’œuvre devait-elle être récupérée par un acheteur étranger en Italie ? Mystère.

Mehdi Meftah intrigue. Ce fan de street art habite un pavillon avec piscine à La Seyne-sur-Mer, avec sa femme, Lyonnaise elle aussi, épousée à Las Vegas (Nevada). Sur un compte Instagram créé sous pseudo, on le découvre au volant de sa Ferrari blanche, piquant une pointe sur l’autoroute – il possède aussi une Porsche jaune. Ou les pieds sur la table basse, en claquettes Louis Vuitton. Au fond du salon, une statuette d’Alec Monopoly, un célèbre street-artiste ­américain, ­qui a détourné la mascotte du jeu de société.

« IL A DE L’ARGENT ET UN BON NIVEAU DE VIE, MAIS IL L’A ACQUIS HONNÊTEMENT. IL A VOULU CRÉER UNE VRAIE MARQUE DE LUXE AVEC L’ADN DE LA STREET. FRANCHEMENT, POURQUOI IL AURAIT EU BESOIN DE VOLER ÇA ? » UNE PROCHE D’UN DES SUSPECTS

Au registre du commerce, il possède deux sociétés à Toulon. Un snack de tacos et surtout sa marque, BL1.d ­ (prononcer « blindé »). Il a déposé un premier logo dès avril 2018 à l’Institut national de la propriété industrielle : encadrée par deux armes de poing, une couronne stylisée empruntée à la star du street art. « Un clin d’œil à Banksy », expliquera-t-il dans un publi-reportage sur le site français de Forbes. Ce motif, Banksy l’avait lui-même emprunté à Jean-Michel Basquiat.

Depuis, les armes ont disparu du logo, mais les modèles de tee-shirts s’appellent « Colt », « Cartel » ou « Medellin ». La marque, lancée à l’automne 2019, les vend sur son site et dans un magasin de Lyon. Tarifs : de 290 à 615 euros, justifiés par un petit « lingot d’or 18 carats cousu sur l’encolure ». On peut se rabattre sur les casquettes, 85 euros, sans lingot. En janvier 2020, BL1.d a organisé un happening avenue Montaigne, pendant la Fashion Week parisienne. Sur les nez de Mehdi Meftah et de ses amis, des lunettes aux branches en forme de Kalachnikov. La presse grand public n’a pas réagi. BL1.d a plus de succès auprès de rappeurs comme Hornet La Frappe, Lacrim ou Alonzo.

Chez la juge d’instruction, Mehdi Meftah aurait minimisé son rôle et expliqué avoir lui aussi rendu service à un ami. Son avocat, Yves Sauvayre, n’a pas répondu aux sollicitations de M. « Il a de l’argent et un bon niveau de vie, mais il l’a acquis honnêtement, nous assure une proche de Mehdi Meftah. Il a voulu créer une vraie marque de luxe avec l’ADN de la street. Franchement, pourquoi il aurait eu besoin de voler ça ? »

Un retour au Bataclan ?

Le statut du pochoir de Banksy est l’autre mystère de l’affaire. Il apparaît sur la porte du Bataclan dans la nuit du 24 au 25 juin 2018. Passé l’émerveillement, il suscite de vifs débats parmi l’équipe de la salle et chez son propriétaire, le groupe Lagardère. Jules Frutos, à l’époque patron et coactionnaire des lieux, veut rester fidèle à l’esprit du street art et laisser l’œuvre vivre sa vie, avec les risques que cela comporte. D’autres souhaitent l’exposer à l’intérieur. L’état-major de Lagardère, lui, se demande qui est vraiment propriétaire – et donc responsable – de cette peinture. Finalement, l’œuvre reste à sa place. Une plaque de Plexiglas la protège des tags, pas du vol. Jusqu’à la nuit du 25 janvier 2019.

Le pochoir ne passionnera pas davantage les policiers de l’Office central de lutte contre le trafic de biens culturels. L’affaire est confiée au service compétent géographiquement, le 2e district de la PJ de Paris. Un de ses enquêteurs prend le dossier à cœur : le 13 novembre 2015, il est intervenu au Bataclan après l’attentat. Et maintenant ? Le 14 juillet, l’Italie a rendu le Banksy en grande pompe à la France. Il a été exposé à l’ambassade à Rome. Selon Le JDD, il se trouve au siège de la PJ à Paris.

Une rumeur relayée par la presse annonce un cadeau à l’Unesco et une exposition de l’œuvre dans son siège parisien. « Ce n’est pas prévu à ce stade », nous répond-on à l’Unesco. « Notre souhait est que cet hommage aux victimes revienne au plus près de là où il était », indique de son côté Jérôme Langlet, patron de Lagardère Live Entertainment, qui gère le Bataclan.

Cette filiale a d’autres soucis. En proie à de graves difficultés financières, Lagardère a dû démentir en juin qu’il cherchait à la vendre. Et donc à se séparer du Bataclan.

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