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Jours tranquilles à Paris
3 mai 2018

Le plus grand collectionneur de sacs à vomi de compagnies aériennes vend sa collection exceptionnelle

sacs à vomi

Munich – Si vous fréquentez assidûment les sites de ventes en ligne comme Ebay ou Le Bon Coin, vous n’aurez pas été sans remarquer cette vente exceptionnelle qui fait bruisser l’internet alors que le plus grand collectionneur au monde, excusez du peu, vend plus de 15.000 sacs à vomi de compagnies aériennes.

L’occasion est unique puisque cette vente représente le lot le plus important de sacs à vomi existant au monde et détenus par une seule et même personne. Certains sacs ont plus de 40 ans et n’ont été produits qu’à quelques rares exemplaires, d’autres, signés par tout un équipage sont en soi, des modèles uniques qui n’ont été exploités que sur un seul vol ou une seule destination. Le collectionneur a demandé à rester anonyme et espère en tirer plusieurs milliers d’euros dont une partie sera reversé à une organisation de charité dont le nom n’a pas été encore rendu public. L’état de conservation de ces sacs est absolument remarquable, seuls certains ont déjà servis et le vomi contenu à l’intérieur a été gardé tel que collecté. Sur le site web qui les présente tous, on peut très nettement apercevoir quelques cacahuètes à moitié digérées ou des petits gâteaux à peine entamés par les sucs gastriques. Quelques autres, plus rares ont été le réceptacle de produits d’hygiène que leur possesseur dans l’avion n’a pas voulu jeter dans les toilettes et s’est donc alors débarrassés dans le sac mis à disposition. Un des enchérisseurs qui espèrent bien faire main basse sur le lot de 15.000 reconnait que c’est un pan de l’histoire de l’aviation qui est contenu dans ces sacs et que leur préservation est à considérer comme une oeuvre humanitaire.

Le seul regret du collectionneur qui se sépare de tous ces objets est de n’avoir pu récupérer la bouteille remplie de l’urine de Gérard Depardieu lorsque le comédien, sur un vol CityJet à destination de Dublin, n’avait pu se retenir avant le départ de l’avion. Il semblerait que ce soit un des membres d’équipage de cet avion qui ait conservé la bouteille et ait tenté de la revendre, une fortune, sur un site d’enchères bien connu, sans toutefois y parvenir.

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3 mai 2018

LA BARBIE VERSION FRIDA KAHLO INTERDITE AU MEXIQUE

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Ne pas jouer avec cette Barbie 

On ne transforme pas en poupée Barbie n'importe qui. Un message que Mattel, la grande société  qui commercialise ce jouet universel, a dû digérer. En effet, la justice mexicaine vient d'interdire à la firme américaine de commercialiser la poupée Barbie à l'effigie de Frida Kahlo. Ce qui constitue une victoire pour la famille de la peintre renommée, une des artistes les plus importantes du 20e siècle. Si celle qui représentait un symbole du féminisme a vu son image déclinée en de nombreux objets,  la Barbie sortie le 20 mars dernier en magasins dans la collection "femmes inspirantes" à l'occasion de la journée internationale des femmes, ne passe pas. Les raisons :  une histoire de propriété intellectuelle, mettant en cause la Frida Kahlo Corporation, société fondée par la famille de la peintre, mais aussi d'apparence physique de la poupée Barbie. Cette dernière est en effet jugée comme étant trop éloignée du modèle d'origine. Mais la famille, à qui la justice mexicaine a donné raison, n'a pas dit son dernier mot. C'est désormais aux Etats-Unis qu'elle veut interdire la vente de la poupée.

2 mai 2018

Comment les rats sont devenus un problème pour Anne Hidalgo

Ce lundi débutait la campagne de dératisation annuelle de la préfecture de police, alors que la place des rongeurs dans la capitale a pris cette année une tournure très politique.

Du fond de leurs égouts, les rongeurs parisiens sont devenus un véritable caillou dans la chaussure d’Anne Hidalgo, au même titre que les voies sur berge ou les ratés de Vélib. Une petite musique que ses détracteurs fredonnent régulièrement à son oreille. A les écouter, Paris est envahie par les rats sans que la mairie ne s’en émeuve. Et cette question s’est taillée une part de choix dans le débat public. Au conseil municipal, l’opposition fustige la saleté de la capitale, faisant le lien avec la prolifération des rongeurs. «La Ville de Paris s’est laissée complètement déborder, critique Jean-François Legaret, maire Les Républicains (LR) du Ier arrondissement de la capitale. On ne dépense de l’argent que pour élargir les pistes de bus.» Pour l’élu, la mairie n’a pas mis en œuvre les moyens nécessaires. «Il en va des rats comme des autres actions sur la propreté», déplore-t-il auprès de Libération. Début février, au moment de la décrue de la Seine, Florence Berthout, cheffe de file du groupe LR de Paris, proposait – non sans ironie – à la maire «de ne pas noyer le poisson avec la Seine et les rats qui remontent», en présentant le rapport d’une Mission d’information et d’évaluation (MIE) sur la propreté de la ville. Ce lundi débute la campagne de dératisation annuelle 2018 de la préfecture de police, qui durera jusqu'à fin juin.

«Il ne faut pas jouer avec les peurs»

Anne Hidalgo ne nie pas le problème que posent les rats. A plusieurs reprises, l’édile a reconnu qu’ils constituaient un «sujet» et en a pris acte, faisant part dans la foulée de plusieurs mesures pour lutter contre l’invasion décriée. En septembre 2017, la mairie annonçait le déblocage de 1,5 million d’euros consacrés à la dératisation de la capitale. Un budget dédié au déploiement de personnels supplémentaires pour le nettoyage des pavés parisiens et à la mise en place de nouveaux équipements, comme des poubelles de rue dotées d’une plus grande capacité et inaccessibles aux rats, détaillait-elle début février dans les colonnes du Journal du Dimanche. Là où Jean-François Legaret accuse Anne Hidalgo d’être «plus que négligente», Mao Peninou, son adjoint en charge des questions de propreté réplique «ne pas avoir ce sentiment», niant une «sous-évaluation» du problème. Pour lui, «aucun élément objectif ne permet de dire qu’il y a plus de rats, seulement qu’il y a plus de rats en surface qu’auparavant».

Si la problématique est d’une brûlante actualité, elle n’est pas neuve pour autant. Les rats ne se sont pas installés à Paris en même temps qu’Anne Hidalgo à la mairie. Leur présence remonte à la nuit des temps et cristallise les angoisses depuis des lustres. «On ne peut pas dire "Circulez, il n’y a rien à voir !" Mais il ne faut pas jouer avec les peurs», met en garde Anne Souyris, adjointe Europe Ecologie-Les Verts (EE-LV) à la mairie de Paris, chargée des questions de santé publique et des relations avec l’AP-HP. «C’est devenu une question politique car ça influe sur les peurs. Nous à la Ville, on joue notre partition, on prend des mesures», défend-elle auprès de Libération. Mais l’équipe municipale en appelle aussi au civisme des Parisiens. «Il y a la responsabilité de la Ville, qui doit avoir des équipements adéquats, et celles des citoyens, qui est de ne pas les nourrir. C’est aussi une question de contrat social», poursuit l’élue.

Ecosystème parisien

Tant qu’ils ne représentent pas un problème de santé publique, la municipalité se borne à réguler la population de surmulots. Pas question de les éradiquer totalement. Car le rat, partie intégrante de l’écosystème parisien, peut aussi se révéler d’une aide précieuse, assure la mairie. «Ils sont utiles en débouchant la tuyauterie des égouts, on n’a pas d’intérêt à les éliminer totalement», explique Anne Souyris. En une année, un rongeur pourrait engloutir jusqu’à 9 kilos de détritus. Malgré ça, leur présence aux côtés des humains reste une compagnie peu recherchée. Et constitue un gros chantier pour la municipalité. En février, Anne Hidalgo contre-attaquait dans le JDD, soulignant que la présence des rats n’était pas spécifique à Paris et que toutes les grandes villes y étaient confrontées. A l’Hôtel de Ville, Mao Peninou a la conscience tranquille : «Les moyens, nous les avons mis.»

rats

Photo : J. Snap. Vitrine d'un magasin de dératisation... à Paris

2 mai 2018

Pauline Moulettes

pauline22

2 mai 2018

L'Art est dans la rue...

art dans la rue

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1 mai 2018

Vu en vitrine... MACARONS !

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1 mai 2018

Porte Bonheur...

muguet

1 mai 2018

Paris: La mairie veut se recentrer sur la culture, «outil de réarmement intellectuel»

Au Conseil de Paris, qui débute ce mercredi, un projet de délibération concernant la politique culturelle de la ville, sera soumis au vote…

« Quatre ans après la définition de notre feuille de route, l’essentiel des chantiers a été engagé et de nombreuses réalisations profitent déjà aux Parisiens », note la maire de Paris, Anne Hidalgo, qui dévoile aujourd’hui ses nouveaux projets et nouvelles priorités en faveur des arts et de la culture à Paris. Un projet de délibération concernant cette politique culturelle de la ville, va être soumis au vote du Conseil de Paris, qui débute ce mercredi.

Nuit Blanche sur le périph’

La maire de Paris promet une communication avec des « perspectives inédites », « apparue comme nécessaire de porter d’ici la fin de cette mandature ». Dans le détail, la ville prévoit notamment une Nuit Blanche qui investira une section du périphérique, des journées portes ouvertes métropolitaines des lieux de création ou encore un appel aux grandes maisons d’enchères à se joindre au Crédit Municipal de Paris et à la ville pour inventer de nouvelles sources de financement pour la création.

Par ailleurs, quatre fabriques culturelles auront été inaugurées d’ici 2020: Les Plateaux sauvages (XXe arrondissement) ouverts en 2017 ; le Grand parquet (XVIIIe arrondissement) porté depuis 2016 par une nouvelle direction ; la Villa Vassilieff (XVe arrondissement) qui a ouvert ses portes en 2016 ; ou encore la rue Watt (XIIIe arrondissement) en 2019 avec l’ouverture d’un lieu de travail dédié au cirque et aux arts de la rue. Enfin, la mairie souhaite devenir « une ville refuge pour les œuvres menacées dans le monde entier ».

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The 2017 Fiac fair opens at Grand Palais with large selection of international galleries .Francoise Nyssen , Minister of Culture visited with the Fiac Director Jennifer Flay . PARIS 18 OCTOBER 2017 — GINIES/SIPA

1 mai 2018

No comment...

parapluie

1 mai 2018

Ah bon ?

ah bon

victoria

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