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Jours tranquilles à Paris
14 avril 2016

La dénomination «Musée du quai Branly-Jacques Chirac» sera officielle le 20 juin prochain

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14 avril 2016

Fashion

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14 avril 2016

Georgia May Jagger

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14 avril 2016

Street Art

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14 avril 2016

Station Les Halles

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14 avril 2016

Fait divers - Nantes

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14 avril 2016

La Ville qui bouge...

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14 avril 2016

Mon RER D entrant en gare...

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14 avril 2016

Rapt de lycéennes. Deux ans après Chibok, la mobilisation s'est essoufflée

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Deux ans après l'enlèvement à Chibok, au Nigeria, de 276 lycéennes par les islamistes de Boko Haram, la grande mobilisation lancée sur les réseaux sociaux présente un maigre bilan : les mots sont restés lettre morte et la plupart des lycéennes captives. Tout a commencé une semaine après l'enlèvement sans précédent, le 14 avril 2014, de 276 lycéennes avec le premier message d'un avocat nigérian sur Twitter sous le hashtag #BringBackOurGirls (« Rendez-nous nos filles »). Le mot-dièse d'Ibrahim Abdullahi allait rapidement devenir un des thèmes de campagne en ligne les plus populaires d'Afrique, partagé plus de quatre millions de fois en un mois sur le réseau social. L'adhésion de personnalités, de la starlette Kim Kardashian à la première dame américaine Michelle Obama et au chef du gouvernement britannique David Cameron, lui ont ensuite donné une dimension internationale. #BringBackOurGirls a sans aucun doute contribué à attirer l'attention sur un conflit obscur qui a fait au moins 20.000 morts et chassé plus de 2,6 millions de personnes de chez elles depuis 2009. La campagne a aussi galvanisé les soutiens à la lutte contre Boko Haram à un moment où l'armée nigériane perdait des territoires. Mais deux ans plus tard, #BringBackOurGirls risque de connaître le sort d'autres protestations en ligne à l'influence limitée, estime Ufuoma Akpojivi, spécialiste des médias sociaux à l'université de Witwatersrand de Johannesburg, en Afrique du Sud. Sur le terrain, en effet, on reste sans nouvelles de 219 des 276 filles de Chibok - les autres ont réussi à s'échapper -, leur lycée est en ruines et la petite ville de Chibok attend toujours son développement. Une veillée de prière « Il n'y a pas grand résultat à montrer », déclare Yana Galang, dont la fille, Rifkatu, fait partie des 219 lycéennes dont la dernière apparition publique remonte à une vidéo de Boko Haram de mai 2014. « La seule chose qui compte est le retour de ma fille. Cela fait trop longtemps que ça dure », dit-elle alors que les parents des élèves enlevées se préparent à organiser une veillée de prière au lycée de Chibok, ce soir.

14 avril 2016

Univers particulier...

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