Laetitia Casta Shows Some Leg on Vogue Turkey’s October 2012 Cover by Sean & Seng
Laetitia Casta dons romantic looks for the lens of Sean & Seng in this Parisian editorial for Vogue Turkey. Dolce & Gabbana’s lovely, lacy and evocative couture collection is styled by Ece Sükan, while Laetitia models her glamorous looks with an adorable primate friend.
Modèle : Laetitia Casta
Photographes : Sean and Seng
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Helmut Newton (photographe), Mark Arbeit (photographe)
Helmut Newton (photographe) photographié par son assitant Mark Arbeit
Mark Arbeit : cliquez ICI et Là
Mark Arbeit, George Holz, Just Loomis par Snap
Mark Arbeit est en chemise blanche à rayures
A propos de Terry Richardson...
A 47 ans, Terry Richardson provoque par son attitude, dérange par ses clichés, mais n’a jamais autant suscité l’intérêt. Quand d’autres décident de photographier des paysages, lui, expose le corps de la femme au monde entier. Seins, fesses, pubis à l’air, jambes écartées, il n’existe pas une photo où le corps féminin n’est pas mis en scène à la façon d’un objet sexuel. Cet instigateur de la tendance Porno Chic * passe pour un obsédé aux yeux du monde. Mais Terry Richardson est-il vraiment un pervers ? Né en 1962, le photographe grandit entouré d’une mère styliste (sa muse) et d’un père photographe de mode. Le monde des strass et des paillettes, il le connaît depuis l’enfance. Très tôt, Terry est diagnostiqué comme angoissé chronique, aux tendances schizophrènes, entendant des « voix » d’origines inconnues. La maladie s’accentue au divorce de ses parents, mais au lieu de se gaver de pilules, le jeune homme va se soigner à sa façon : avec la photographie. Après avoir vu l’expo Teenage Lust de Larry Clark, Terry Richardson tombe amoureux de l’art et de ses travers. Sexe, drogue et rock’n roll : son rythme de vie contribuera à accentuer ce côté dérangé, névrosé et à côté de la plaque qu’il cultive depuis ses débuts. Il n’empêche que Terry Richardson plaît. Très vite, des maisons de haute couture font appel à son talent pour shooter les campagnes de pub : Gucci, Miu Miu, Jimmy Choo, Yves-Saint Laurent…Sans oublier les stars et starlettes, de Lady Gaga à Lindsay Lohan en passant par Megan Fox. Alors que le corps humain est devenu presque tabou à notre époque, Terry s’amuse à afficher des corps poilus, nus, dans des positions souvent obscènes et sans photoshop. Critiqué par les uns, pape de la « branchitude » pour les autres, le photographe se défend : « J’aime les imperfections. Tout le monde en a, même les beaux. Nous sommes tellement nombreux sur cette terre : chaque peau, chaque poitrine, chaque sexe a une forme et une taille différente ». En Mars 2010, Terry Richardson est accusée par le mannequin Rie Rasmussen d’exercer une pression sexuelle sur ses modèles. L’artiste se défendra, mais son image de photographe pervers perdure. Source : extrait du site http://www.menly.fr/
* rectificatif : le pape du "porno chic" est Helmut Newton !
Nouvelle galerie : Galerie Edition Photo
Pour marquer l’ouverture de sa première galerie parisienne, Georg Leutner frappe fort. L’exposition qui se clôt ce week-end regroupe à la fois des photos de presse des Rolling Stones et une série de stars signée par Helmut Newton. La galerie, dédiée exclusivement à la photographie, a pour ambition d’ouvrir l’accès à de jeunes collectionneurs. Grâce à un système de partenariats, elle propose une œuvre de chaque artiste exposé à un prix particulièrement bas, à partir de 180 euros.
Galerie Edition Photo
21, rue Notre Dame de Nazareth, Paris IIIe
Erwin Olaf (photographe)
Né en 1959 aux Pays-Bas, Erwin Olaf vit depuis le début des années 80 à Amsterdam, où il travaille dans son atelier aménagé dans une ancienne salle paroissiale. Erwin Olaf, qui combine le photojournalisme et la photographie de studio, a fait son entrée sur la scène internationale en 1988,lorsque sa série très remarquée Chessmen a remporté le premier prix du concours des jeunes photographes européens et a ensuite été exposée au musée Ludwig de Cologne, en Allemagne. Depuis lors, dans chacune de ses séries de photographies ultérieures,Olaf a poursuivi son étude de questions liées aux spécificités de chaque sexe,à la sensualité,à l’humour,au désespoir et à la grâce.
Tandis que les tirages de ses oeuvres de la première heure étaient de style documentaire, en noir et blanc, il y a progressivement introduit la couleur,puis la manipulation numérique, tout en explorant les nouvelles possibilités offertes par le cinéma et la vidéo. Souvent, une série de photos naît en contraste direct avec la série précédente – Mature (1999), des portraits dorés de vieilles femmes dans des poses de pin-up aguichantes; Fashion Victims (2000),un commentaire obscène sur le culte de la consommation du sexe et des marques des grands couturiers;Royal Blood (2000), un portrait minimaliste en noir et blanc qui décrit la nature vindicative des membres de l’aristocratie victimes de mort dramatique;Paradise (2001),un univers sombre et baroque d’individus rieurs, de bouffonnerie et de démence ; Separation (2003), portrait d’une famille glaciale et introvertie dans un salon stérile ; et ses trois séries les plus récentes Rain, Hope et Grief, qui marquent un retour à l’imagerie classique avec des retouches minimes sur ordinateur.
Son film Tadzio, réalisé en 1991 (en collaboration avec le peintre F.Franciscus) a été suivi par des vidéos comiques pour la télévision pour enfants, des courts métrages documentaires, des clips musicaux et des oeuvres de commande pour la compagnie nationale de ballet des Pays- Bas. Plus récemment, Erwin Olaf a réalisé des films et des installations vidéo où il fait appel aux mêmes modèles que dans ses séries de photographies, mais en leur faisant interpréter des rôles différents, comme si ses images animées fournissaient une histoire parallèle à ses photos en couleur. Ces courts métrages ont été sélectionnés pour des festivals de film dans le monde entier.
Au fil du temps, nombre de photos d’Erwin Olaf – de ses nus osés à ses photos au symbolisme intense en passant par le regard inébranlable dans ses images sanguinolentes de violence mise en scène – ont été source de controverse.Comme on pouvait s’y attendre,cette capacité à attirer l’attention a rendu son travail attrayant pour les publicitaires. Il a créé de nombreuses pubs, notamment pour Lavazza,BMW,Microsoft et Nintendo.
En 1999, sa campagne internationale pour les jeans Diesel a été récompensée par un Lion d’Argent au Festival international de la Publicité de Cannes et, deux ans plus tard, il a reçu le même prix pour son travail réalisé à l’intention de Heineken. Parmi les nombreux prix internationaux qui lui ont été décernés dans le domaine des arts et des médias,il a été nommé,en 2006,Meilleur Artiste Néerlandais de l’Année (Kunstbeeld).Ces derniers temps,Erwin Olaf travaille aussi davantage pour des hebdomadaires tels que le New York Times, le Sunday Times et Citizen K.
Il a reçu en octobre 2008 le Lucie Award de la photographie à New-York,récompensant l’excellence de son travail dans le domaine de la publicité. Erwin Olaf est représenté par la galerie Flatland Gallery, Utrecht / Paris et la Hasted Hunt,New-York.
Photos : Erwin Olaf