Jours tranquilles à Paris

Aujourd'hui, John Galliano a accepté d'évoquer sur le plateau du Supplément de Canal + les propos antisémites qu'il avait tenu en 2011 lors d'une soirée.

Depuis qu'il a été filmé en train de tenir des propos antisémites en 2011, John Galliano s'est fait très discret. Malgré cela, le styliste, qui a été renvoyé de la maison Dior, a accepté de revenir sur ses propos lors d'une interview accordée au Supplément, l'émission politique de Canal +. "Ce que j'ai dit était terrible. Comme je l'ai dit, ce n'est pas une excuse, mais j'étais vraiment dans les profondeurs abyssales de ma maladie. Quand j'ai vu la vidéo, je me suis vraiment senti mal," explique notamment John Galliano, qui affirme à l'équipe du Supplément avoir été dépendant à l'alcool. Et le styliste tient à mettre les choses au clair une bonne fois pour toutes sur le plateau de l'émission de Canal + : "Je ne suis pas antisémite, je ne suis pas raciste.". "Pour autant ce sont des mots que j'ai prononcés. J'étais dans les affres de ma maladie. Deux semaines après cette vidéo j'ai fait une dépression nerveuse complète," explique John Galliano.

Après la diffusion de cette vidéo, John Galliano a décidé de prendre du temps pour lui et de se ressourcer en Auvergne, aux côtés de son compagnon Alexis. Le styliste a totalement arrêté de boire et il explique qu'il a "remplacé l'alcool par la foi". Aujourd'hui, John Galliano souhaite faire son come back dans le monde de la mode mais il tient à faire les choses progressivement. "Je suis de retour déjà, je reviens pas à pas. (…) Quand je reviendrai je sais que le monde de la mode n'aura pas changé mais mon point de vue sur le monde de la mode aura changé" explique le styliste. Et quand Maïtena Biraben demande au styliste ce qu'il serait devenu s'il n'y avait pas eu cette vidéo, John Galliano ne mâche pas ses mots. "Je serais probablement mort. J'avais vraiment touché le fond. J'ai beaucoup perdu mais j'ai aussi tellement gagné," déclare le styliste. Source site Closer.

http://fashionsnightout.vogue.fr/

Julie Djikey

http://juliedjikey.blogspot.fr/

https://plus.google.com/+juliedjikeyKimpanga/posts

Malgré le feu rouge de l'Elysée à la vente de deux navires de guerre de type "Mistral" à la Russie, le premier bâtiment de type "Mistral" construit à Saint-Nazaire est sorti cette nuit avec des marins russe pour effectuer des essais en mer.

Sa masse grise a défilé lentement devant les quais de Saint-Nazaire, dans le soleil levant. Le "Vladivostok", premier des deux BPC (bâtiments de projection et de commandement) de type "Mistral" que la France a construit pour la Russie a appareillé de Saint-Nazaire ce samedi matin, à 3h30, avant de stationner jusqu'à 7h20 dans la forme-écluse Joubert, à attendre que l'eau soit suffisement haute pour qu'il gagne la pleine mer.

10 jours d'essais en mer

A son bord et pour la première fois, environ 200 des 400 marins russes venus en prendre livraison, installés depuis début juillet à l'embouchure de la Loire. Le Vladivostok doit sortir pour une session d'essais en mer d'une dizaine de jours, avec un programme d'exercices pratiques pour tester ses systèmes et former son équipage. Il reviendra à quai le 22 septembre, pour repartir ensuite jusqu'au 2 octobre.

"Problème technique"

Ces essais en mer, prévus au programme, ont été suspendus pendant quelques jours pour un "problème technique", indique à l'agence de presse Reuters une source proche du dossier, sans rapport, précise-t-elle, avec le contexte politique. Pourtant, l'annonce est tombée alors que partisans et opposants à la vente manifestaient au pied du navire. Les seconds redoutant une évasion pendant les essais en mer. Ils évoquaient l'affaire des "vedettes de Cherbourg", qu'Israël avait détourné dans la nuit de Noël 1969, malgré l'embargo qui frappait l'Etat hébreux pendant la Guerre des Six Jours.

Cette fois, le morceau est tout de même beaucoup plus gros et l'Elysée n'a pas mis de veto définitif à la vente. François Hollande a pris soin de laisser la porte ouverte à l'exécution du contrat si la situation en Ukraine s'améliore. La livraison est en théorie prévue en novembre et d'ici là, le programme se poursuit comme si de rien n'était. Les salariés des chantiers navals STX craignent surtout l'annulation de la construction - en cours - du second navire, le Sebastopol. D'après leurs calculs, une telle hypothèse mettrait 300 salariés au chômage technique et ferait des dégâts chez les sous-traitant. Article de Grégoire Lecalot. Site France Info.

Photo prise dans mon studio - Paris 15

Camille Kachani 

ZipperGaleria /

Brazilian artist Camille Kachani is sculptor who forms unusual objects based around themes of nature and art. He clashes the organic and the inorganic between the natural and unnatural by a procecoss of brilliant artistic endeavors.

http://www.la-parisienne.net/

Niki de Saint-Phalle

La Cabeza

17 sept.-01 fév. 2015

Vernissage le 17 sept. 2014

Paris 19e. CentQuatre-Paris  

Dans le prolongement de l'exposition Niki de Saint Phalle au Grand Palais, la Réunion des musées nationaux-Grand Palais et le Centquatre-Paris présentent la Cabeza. C'est la dernière sculpture de grandes dimensions de l'artiste et une des seules où le visiteur peut entrer à l'intérieur, découvrant un monde magique et kaléidoscopique.