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Jours tranquilles à Paris

18 août 2014

Découvrez la collection automne-hiver 2014 de la marque Agent Provocateur

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Si pour ces dames la marque Agent Provocateur signifie quelque chose, pour  vous messieurs certainement moins. Ne vous inquiétez pas la marque de lingerie britannique risque désormais de vous rester dans la tête. En effet pour sa collection automne-hiver 2014, Agent provocateur a décidé d’envoyer du lourd pour son lookbook.

Agent Provocateur a été crée en 1994 par Joseph Corré (fils de Vivienne Westwood) et sa compagne Serena Rees. Evidemment le nom n’a pas été choisi pour rien et exprime le côté suggestif de l’entreprise de sous-vêtements. Dans ses publicités, la marque britannique surfe depuis bien avant que ce soit la mode sur le porno chic. Dernièrement d’ailleurs un clip vidéo où l’on retrouvait Penelope Cruz avait fait le buzz.

La collection automne-hiver 2014 ne fait pas exception avec une nouvelle fois des photos sexy mais pas vulgaires. Les deux mannequins, Ashley Smith and Dioni Tabbers, deux belles blondes pulpeuses ont été shootées par Christian Larson. Ce dernier est connu pour avoir notamment réalisé les clips hot de Kylie Minogue ou de la Swedish House Mafia. L’ambiance des clichés rappelle sans aucun doute l’atmosphère des 70′s, voulu par la directrice artistique, Sarah Shotton. On y voit aussi une petite référence aux James Bond girl du passé à travers les mises en scène et le côté luxueux.

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18 août 2014

Dubuffet l’insoumis exposé à Landerneau

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Voir mes précédents billets sur cette exposition au Fonds Hélène et Edouard Leclerc à Landerneau : 14/08/2014, 11/08/2014, 09/08/2014, 03/08/2014, 02/08/2014, 25/06/2014, 21/06/2014.

Pour y accéder (après avoir noté les différentes dates) voir l'historique en cliquant sur le lien suivant : http://jourstranquilles.canalblog.com/archives/index.html

17 août 2014

"Les Mues" de HUANG YONG PING à la HAB Galerie - Nantes (vu hier)

HAB Galerie

Nouvelle galerie dédiée à l'art contemporain

Situé à la pointe ouest de l’île de Nantes, le Hangar 21 est plus connu de la population sous le nom de Hangar à Bananes.

Un surnom qu’il tient de son histoire : spécialement conçu en 1949-50 pour recevoir des primeurs, bananes et ananas venant d’Afrique déchargés, manutentionnés et stockés dans un hangar climatisé.

En 2007, propriété du port autonome de Nantes Saint-Nazaire, il est réhabilité à l’occasion de la première édition de l’événement biennal Estuaire Nantes <> Saint-Nazaire. A côté des espaces bar et restauration, un espace reste volontairement dédié à des expositions. Au cours des années qui suivent, il accueille autant des expositions d’art que des expositions thématiques ou des événementiels.

En 2011, c’est avec la création de la SPL Le Voyage à Nantes, dirigée par Jean Blaise et qui a pour objet de promouvoir la destination Nantes Métropole grâce au développement culturel, que ce lieu sera désormais un lieu permanent uniquement dédié à l’art contemporain : HAB GALERIE.

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Après Erwin Wurm, Roman Signer et Felice Varini, Huang Yong Ping, autre artiste de la collection pérenne d’Estuaire, s’empare de la HAB Galerie. Tirant le fil du spectaculaire Serpent d’océan créé sur une plage de Saint-Brevin, l’exposition explore les thèmes universels qui ont toujours émaillé le travail de l’artiste : les grands mythes, les stratégies du pouvoir, les capacités créatrices et destructrices de l’homme. L’exposition exprime la liberté de pensée de cet artiste majeur qui, pour l’occasion, produit une impressionnante nouvelle pièce.

Huang Yong Ping n’a de cesse de jongler entre mythes orientaux et occidentaux pour mieux révéler la crise totale qui ébranle le monde. Usant de l’animalité de manière récurrente, c’est pourtant à l’humanité qu’il s’adresse. Les œuvres de l’exposition reflètent en toile de fond le marasme écologique actuel et s’attaquent aux formes de pouvoir concourant au déséquilibre mondial.

Puissantes, violentes et critiques, ces allégories offrent un constat du monde ; l’exposition met en lumière le travail passionnant de cet artiste en perpétuelle mutation.

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Huang Yong Ping choisi pour

la prochaine Monumenta, en 2016

 

A peine les Kabakov ont-ils clos leur « Etrange cité » imaginée pour Monumenta que l'on apprend le nom de celui qui leur succédera sous la nef du Grand Palais, à Paris : l'artiste français d'origine chinoise Huang Yongping. Le choix de la ministre de la culture, Aurélie Filippetti, s'accompagne d'une autre annonce : il n'y aura pas de Monumenta 2015, la manifestation annuelle se muant en biennale, les années paires, afin de « laisser toute sa place à la Biennale de Lyon » les années impaires. Huang Yongping a donc deux années devant lui pour élaborer sa proposition monumentale sous l'immense verrière, un défi qui sied bien aux installations volontiers hors-normes de ce petit homme discret et affable.

Né en 1954 à Xiamen, dans l'extrême sud de la Chine, Huang Yongping a été une figure majeure de l'art d'avant-garde chinois des années 1980. Influencé par Marcel Duchamp et le dadaïsme, il avait alors fondé le mouvement « Xiamen Dada ». C'est en 1989 que l'artiste avait été découvert lors de la célèbre exposition « Les Magiciens de la Terre » au Centre Pompidou, l'année de la répression de la place Tianamen. Cette exposition fondatrice avait consisté à ouvrir la scène de l'art contemporain international aux artistes non occidentaux. Huang Yongping s'était installé à Paris dans la foulée, avant d'être naturalisé français.

L'artiste, qui reste encore méconnu du grand public, est pourtant très exposé, en France comme à l'étranger. Il avait représenté la France avec Jean-Pierre Bertrand à la 48e biennale de Venise en 1999. Il a récemment investi la chapelle des Petits-Augustins, à l'école des Beaux-Arts de Paris, avec son Arche (2009) inquiétante, remplie d'animaux taxidermisés, le Musée de Hospice Comtesse avec Wu Zei, son énorme pieuvre, dans le cadre de Lille 3000 (2012), ou encore l'estuaire de la Loire avec le squelette géant d'un Serpent d'océan (2012), une sculpture devenue pérenne. En 2012 encore, il réinventait la fin du monde avec l'exposition « Bugarach » chez son galeriste Kamel Mennour, à Paris.

L'an dernier, pour la Nuit Blanche, l'artiste avait déployé un vivarium aux allures de station spatiale de 36 mètres de long au Carreau du Temple, nouvel et large espace d'exposition du Marais, tandis que le MAC de Lyon lui dédiait une grande exposition personnelle : « Amoy/Xiamen ». Cet été, enfin, le Voyage à Nantes consacre une rétrospective à son travail, organisée autour de sa dernière création : une spectaculaire Mue de serpent translucide de 120 mètres de long.

L'homme, toujours, sait surprendre par ses installations à la fois théâtrales, violentes et symboliques, à l'affût des mutations du monde. David Moinard, le commissaire de l'exposition nantaise, a d'ailleurs choisi de présenter son travail sous cet angle, celui des « Mues » : « Les mues, il faut l'entendre dans le rapport au monde. Huang Yong Ping s'intéresse aux mues du monde », qu'elles soient sociales, culturelles et environnementales. « Ses œuvres explorent les différents types de pouvoirs qui gèrent le monde aujourd'hui : le pouvoir financier, le pouvoir militaire et le pouvoir religieux. » A chaque fois se pose la place de l'homme, à l'échelle d'un monde qui s'emballe.

Ci-dessus : ABBOTTABAD.

On s'en souvient, Abbottabad est le nom insistant de cette ville du Pakistan où Ben Laden avait choisi de se cacher pendant les cinq années qui précédèrent sa disparition définitive. Ce n'était point une grotte nichée dans des anfractuosités de montagne, il s'agissait d'une demeure à la fois anodine et cossue. Sa villa, ses deux étages et sa terrasse furent construits au pied d'une colline, parmi les terres cultivées et les casernes d'une banlieue vaguement poussiéreuse, à l'intérieur d'une enceinte de murs de cinq mètres de haut, bordés de barbelés et de fils électrifiés. L'homme le plus recherché du monde aura vécu les dernières heures de sa vie le 3 mai 2011 ; son cadavre fut abandonné à la mer pour qu'il ne puisse pas avoir de sépulture. Parce qu'elle devenait un lieu de "pélerinage" et de curiosité pour de trop nombreux visiteurs, les autorités pakistanaises choisirent d'effacer sa maison de la carte du monde. Les images de presse qui relatent l'opération sont relativement rares, des soldats lourdement armés bloquaient les accès du site ; les débris furent déblayés et emportés, les bulldozers, les pelleteuses et les grues rasèrent l'édifice pendant les jours et les nuits d'un week-end de la fin février 2012.

Pour évoquer autrement cet espace dont il ne reste que des gravats et des coups de balai, Huang Yong Ping a imaginé que son domaine aurait pu être abandonné et désaffecté. L'oubli l'aurait emporté, les silhouettes et la carcasse des vestiges de ce médiocre béton auraient subsisté : le mur d'enceinte est beaucoup moins apparent, les barbelés et les portes d'acier ont disparu, les dalles de la cour intérieure et un grand balcon sont visibles au premier plan, les herbes sauvages et la végétation se sont emparés de cet ensemble, plus personne ne s'y rend. On se serait éloigné de la catastrophe : du silence, quelque chose de beaucoup plus hasardeux et de tout à fait mystérieux se serait substitué aux grandiloquences et aux pitreries des planifications humaines.

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Reportage photographique : Jacques Snap (photos prises avec mon IPhone)

Voir mes précédents billets sur Huang Yong Ping : 06/07/2014, 03/07/2014, 27/10/2012.

Pour y accéder (après avoir noté les différentes dates) voir l'historique en cliquant sur le lien suivant : http://jourstranquilles.canalblog.com/archives/index.html

17 août 2014

Extrait d'un shooting - recherche personnelle (devant la Croix de St André)

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Photos prises dans un donjon

17 août 2014

A propos d'Ulysse.... et des chats (en général)

Vos journées de travail sont longues. Dix à douze heures s'écoulent entre le moment où vous quittez votre domicile, le matin, et celui où vous rentrez, le soir. Un laps de temps qui vous semble être une éternité. Et que vous imaginez difficile à vivre pour votre chat.

Un scénario désamorcé par Valérie Dramard, vétérinaire-comportementaliste, auteure des ouvrages Le comportement du chat de A à Z (éditions Ulmer). "Il faut garder en tête que les chats dorment beaucoup plus que nous : 14 heures par jour, en moyenne. Donc, généralement, cela ne les dérange pas de rester seul", rappelle-t-elle. Sans compter que leur activité cérébrale est différente de la nôtre. "Ils n'ont pas un cerveau avec un cortex très évolué comme le nôtre. Les chats cogitent moins que nous. Ils ne ressassent pas ce qu'ils ont fait, ce qu'ils doivent faire. Ils n'élaborent pas ce type de réflexions stressantes", poursuit la spécialiste.

Il n'empêche. Nombre de maîtres se préoccupent du bien-être de leur animal pendant la journée, et se demandent comment les occuper lorsqu'il reste seul. Voici quelques conseils à suivre.

Si vous avez un chat

Si vous vivez en appartement, aménagez-lui un poste d'observation. Cet endroit doit être situé près d'une fenêtre et il doit permettre à votre chat de voir ce qui se passe dehors : les oiseaux, les voitures, les arbres, etc. "S'il n'a pas la possibilité de faire la concierge, le chat ne se sent pas bien, il est frustré", résume Valérie Dramard. Cela peut être un coin d'étagère, un tabouret de bar, un fauteuil, ou tout simplement un rebord de fenêtre. "Il faut que le chat puisse s'asseoir ou se coucher pour regarder par la fenêtre", remarque la spécialiste. "Evidemment, cela signifie que les volets doivent être ouverts et que, s'il y a des rideaux, ils ne doivent pas être complètement fermés." "Un aquarium constitue aussi une activité visuelle généralement appréciée par les chats", ajoute-t-elle.

Par ailleurs, laissez "de l'eau et des croquettes à volonté, et une litière propre", indique Valérie Dramard. Et pour les chats qui aiment boire de l'eau au robinet, une fontaine à eau pour chats est une bonne option, conseille-t-elle. Pensez à lui mettre à disposition des jeux comme des boules de papiers, des balles de ping-pong ou encore un bouchon suspendu à une ficelle. "Il n'y jouera peut-être pas, mais cela fera une petite stimulation supplémentaire", estime-t-elle.

Si vous vivez dans une maison, les activités extérieures sont préférables. "S'il peut rester dehors toute la journée, et si le chat le réclame, le propriétaire peut le laisser à l'extérieur. L'animal va profiter de sa liberté, se promener, grimper aux arbres, chasser. C'est l'idéal", observe Valérie Dramard. "Même en hiver, on peut le laisser dehors. Les chats savent bien où trouver des endroits où se mettre au chaud, comme dans les feuilles mortes", ajoute-t-elle. Si certains propriétaires ont peur de laisser leur chat dehors toute la journée, ils peuvent le laisser à l'intérieur, mais doivent prendre les dispositions décrites plus haut, comme pour un animal en appartement.

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17 août 2014

Mario Testino (photographe)

“My pictures are my eyes,” Mario Testino once said.

“I photograph what I see—and what I want to see.” - Mario Testino

In his first major US exhibition, fashion and portrait photographer Mario Testino's dazzling and provocative images give visitors an exclusive look into the world of haute couture, celebrity, and glamour. Take a look behind the scenes to see what's in store at the Museum of Fine Arts, Boston, exhibition. >>> on.ftv.com/1Akzl2e

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17 août 2014

Le Golfe du Morbihan

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Impressionnant, 888.246 coquelicots rouges envahissent la Tour de Londres en hommage aux victimes de la Première Guerre Mondiale

Pour le centenaire de la Première Guerre Mondiale, la Tour de Londres sera entourée d'une véritable mer de coquelicots de céramique. Les artistes Paul Cummins et Tom Piper veulent ainsi commémorer les  888, 246 victimes britanniques de ce conflit.

 La première fleur a été plantée le 5 août, qui marque l'entrée en guerre de la Grande bretagne. La dernière sera placée le 11 novembre, jour du souvenir de la fin de la Guerre pour les Anglais.

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17 août 2014

Mon Voyage à Nantes (hier et avant-hier)

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17 août 2014

A propos de la pluie en été...

C’est l’été ! Enfin, « théoriquement ». Mais en regardant par la fenêtre, on voit surtout tomber la pluie. Néanmoins, on vous l’assure, il y a des bonnes raisons d’aimer ça.

1. Restrictions d’eau ? Quelles restrictions d’eau ?

C’est bien connu : l’été, il faut faire attention à notre consommation d’eau. Pas d’arrosage des terres, pas trop de bains… Cet été, au moins, on n’est pas embêtés avec ça. Et il paraît que c’est bon pour les nappes phréatiques. Donc, bon pour la terre. Ouf.

2. Se baigner, quel bonheur !

La Manche ou l’Atlantique paraissent bien plus accueillants pour les baigneurs sous un doux crachin. Le temps d’arriver à l’eau, on est déjà trempé et cela atténue considérablement la sensation de froid.En plus, cela permet de jolies photos.

3. Juillettiste forever !

Si vous avez pris vos vacances en août, ces quelques lignes ne vont pas vous plaire. Mais si vous êtes un juillettiste convaincu, bonne pioche ! Vous, vous l’avez eu, le soleil ! Et travailler quand il pleut, ce n’est pas si mal, n’est-ce pas ?

4. Finalement, les touristes sont contents

Ça renforce le mythe normando-breton de l’éternel temps pourri et donc finalement, ça fait plaisir aux touristes. « Tu imagines, Chantal, c’était teeeeellement typique : il a plu les deux semaines durant. Oui, je t’assure ! On n’a pas eu UN SEUL jour de beau temps, c’est tellement plus hype qu’Ibiza ! »

5. Le grand ménage, c’est maintenant

« Le grand nettoyage de printemps ? Heu… Je l’avais un peu oublié, celui-là ». Du coup, au lieu d’aller à la plage, l’occasion vous est donnée de saisir balais et chiffons pour tout nettoyer de fond en comble chez vous.

6. Tiens, j’avais oublié de regarder ça

Le temps pourri, c’est pratique pour regarder les cinq saisons de Lost que tout le monde vous a si vivement conseillé depuis longtemps. Cela marche aussi avec la trilogie du Seigneur des Anneaux, d’ailleurs. Ou un bon vieux Robin Williams.

7. C’est beau !

Une pluie d’orages, la nuit, les éclairs qui jaillissent, le tonnerre qui gronde… Ha, quel bonheur ! Et en plein jour, ce n’est pas mal non plus quand, après la pluie, vient le beau temps. Qui n’a jamais aimé s’attarder devant un arc-en-ciel ?

8. On rend visite à Pépé et Mémé !

À défaut de partir à la plage entre potes, on fait un saut chez les grands parents prendre un chocolat chaud, à l’ancienne.

9. On dort mieux et plus

Vu qu’il pleut, la tentation de sortir boire des verres le soir n’est pas là, donc on rentre tôt et on se couche plus tôt. Et franchement, vous avez envie de vous lever, vous, quand il pleut ?

10. Ça fait un sujet de conversation

Tu as vu le temps ? Il pleut demain ? C’est la faute au réchauffement climatique ? Tous les jours ou presque, surtout quand la pluie persiste, le mauvais temps est sujet à discussion. Un bon moyen d’engager la conversation, donc.

Bonus. On peut se la jouer Gene Kelly en dansant sur Singin’in the Rain

Maîtriser les claquettes et connaître les paroles de la célèbre chanson est nécessaire. Mais tenter quelques pas de danse et chantonner sous la pluie, on valide ! L’occasion est trop belle !

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