Jours tranquilles à Paris

Les trois militantes européennes de Femen emprisonnées en Tunisie ont été condamnées mercredi en appel à une peine avec sursis et seront libérées dans les heures à venir, a indiqué à l'AFP leur avocat tunisien Souhaib Bahri. "Le verdict a été rendu, il est de quatre mois et un jour avec sursis. Elles vont être libérées dans quelques heures", a-t-il dit. L'avocat n'était pas en mesure de dire dans quels délais les jeunes femmes --deux Françaises et une Allemande-- allaient rentrer dans leurs pays. "C'est un immense bonheur d'avoir plaidé en Tunisie pour la liberté des Femen et d'avoir été entendus", ont pour leur part indiqué à l'AFP les deux avocats français Patrick Klugman et Ivan Terel. Les trois militantes sont en détention en banlieue de Tunis depuis le 29 mai et leur action seins nus de soutien à Amina Sbouï une militante tunisienne de Femen emprisonnée depuis la mi-mai. En première instance, les activistes européennes avaient été condamnées à quatre mois et un jour de prison ferme pour atteinte aux bonnes moeurs et à la pudeur.

Ce soir Mairie du 3ème

Françoise Laborde, Anne Hidalgo, Olivier Ciappa

Olivier Ciappa

Photo de groupe

Inna Chevtchenko - FEMEN

Il y a cinquante ans, le mercredi 26 juin 1963, John Fitzgerald Kennedy prononçait un discours historique à Berlin-Ouest, au cours duquel il lançait le célèbre "Ich bin ein Berliner". Mais d'autres histoires moins connues entourent ce discours. Camille Caldini vous raconte les coulisses de cette improvisation du président des Etats-Unis.

Il reconnaît avoir remis 6 millions de francs, soit 1,22 millions d'euros à Thierry Gaubert, un proche d'Edouard Balladur, lors de trois voyages à Genève à la fin de 1994. Selon Le Monde, mercredi 26 juin, Ziad Takieddine admet avoir financé la campagne présidentielle de l'ancien Premier ministre en 1995. L'homme d'affaires libanais est poursuivi dans le volet financier de l'affaire Karachi.

Les soldes, c'est aussi chez Dèmonia à partir de mercredi 26 juin !
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Après quinze jours de manifestations, la présidente brésilienne a fait un nouveau geste pour sortir de la crise. A l‘issue d’une réunion devant les 27 gouverneurs et 26 maires des plus grandes villes, elle a proposé l’organisation d’un référendum pour «l’élection d’une constituante exclusive chargée de réformer la politique». Si la proposition reste floue, les médias locaux évoquent une possible réforme du système électoral à la proportionnelle. «Il est temps de sortir de l’impasse», a estimé Dilma Rousseff, qui a promis une enveloppe de 18,5 milliards d’euros pour améliorer les transports publics, principale revendication des contestataires, et la mise en chantier de pactes contre la corruption, en faveur de l’éducation, de la santé et de la stabilité économique. Les représentants du Mouvement «Passe livre» («ticket de bus gratuit»), à l’origine des manifestations, ont salué le «dialogue» entamé par le gouvernement, mais ont fait savoir que «la lutte continue». Une grève générale est attendue le 1er juillet.

Extraits de mes shootings

http://www.vanityfair.fr/