Jours tranquilles à Paris

Léon Herschtritt

Je devais y aller mais vu mon état, j'ai annulé.

Chirac, le nouveau Monsieur paix
envoyé par publicsenat. - L'info video en direct.

Loin, très loin de ses ennuis judicaires, Jacques Chirac a voulu prendre de la hauteur, lors de la remise du prix de sa fondation pour la prévention des conflits. Le discours qu’a tenu l’ancien Président ne froissera personne. Il part d’un constat simple, voire simpliste : "La guerre est mère de toutes les pauvretés ". En 2002, devant l’ONU, on avait retenu le fameux « notre maison brûle et nous regardons ailleurs ». Cette fois, Jacques Chirac aura lancé « notre monde est grand et terrible », dénonçant tout de même, au passage, la « communauté internationale (qui) s’accommode de conflits ouverts ou larvés ». Face à la crise « qui accroit les risques et inégalités » surtout « dans les pays pauvres » ou encore la guerre « qui n’est pas un phénomène du passé », Jacques Chirac a voulu « honorer » « les militants de la paix » qui « combattent le mal ». Ces « vigiles de la paix », insiste le Président, « issus de la société civile » qui ont « la force de la parole et de la main tendue ». Car si « l’action politique exige une vision et une hauteur de vue, estime Jacques Chirac, elle a besoin de relais ».

INVITATION

Vernissage
de la nouvelle exposition de photographies du Japon de
FRANCIS LOUP

"JAPON KAWAI"

Samedi 7 novembre 2009
à partir de 19h00

Dans le cadre du "Japan week-end" de la Bubble Factory,
Francis Loup expose une nouvelle sélection de ses photographies de la jeunesse excentrique japonaise,
photos réalisées lors de ses nombreux voyages au Japon depuis 10 ans.
Réalisant systématiquement des photos carrées, Francis Loup cadre et décentre
les délires vestimentaires des différentes tribus nipponnes sous un angle délibérément oblique.
Le rose prédomine, les soubrettes se font coquines et les poses se font délicieusement artificielles. C'est un autre monde.

BUBBLE FACTORY - 224 rue de Charenton - 75012 Paris
Métro : Dugommier

Voiture de pompier du futur ?

La future concurrente  de la Smart ?

Under construction (Saïgon). Notwithstanding c'est une intervention virtuelle... Robert Gligorov (photographié ici devant l'agrandissement photographique) garde son attention à la récente chronique, à notre histopire récente mais aussi à l'actualité. il travaille sur les symboles... Dans ses dernières oeuvres, on voit beaucoup plus de travail symbolique qu'avant... La question de l'artiste est la suivante : "Comment regarder l'image historique". La plupart du temps, on regarde les images historiques sans aucune émotion. Son point de vue est que nous ne pouvons pas être indifférents à notre histoire et que nous devons être influencés par elle. Les choses passées sont beaucoup plus proches qu'elles n'y paraissent (dictature, massacres). Pour ce photomontage, Robert Gligorov s'est mis en scène en prêtant son corps aux personnes. Sous l'uniforme il ya un homme... un homme nu et fragile. Ceci explique pourquoi l'artiste a souhaité poser torse nu devant ce photomontage.

Photo originale de Eddie Adams

Smash. La mouche a été trouvée morte... Robert Gligorov pense au désir des Etats-unis de détruire avec intelligence les armes. Chaque image de la mort peut être formellement parfaite (si on pense aux décapitations de Caravage ou aussi au christ en croix)... Nous les admirons mais ce n'est qu'un trompe l'oeil.

New order. Chaque idéologie est une dictature. Les costumes ont changé... mais...Les nazis travaillaient aussi pour la solution finale, pour "l'amour" de la race arienne... mais sous l'uniforme il y avait des hommes fragiles.

Galerie Pascal Vanhoecke
21, rue des Filles-du-Calvaire
75003 Paris 3e
T. 33 1 40 27 09 27

contact@galeriepascalvanhoecke.com
www.galeriepascalvanhoecke.com

                
Robert Gligorov

Paris 3e. Galerie Pascal Vanhoecke
L'exposition du photographe Robert Gligorov marque un tournant: elle met en scène l'enterrement symbolique de la transgression et de la violence. En renonçant à pousser plus loin le jeu de la subversion et du passage à la limite, elle s'ouvre sur une nouvelle dimension poétique de l'image où le sentiment de deuil reste en attente d'une nouvelle annonciation.

Voir mon précédent billet en cliquant ICI

Galerie Pascal Vanhoecke
21, rue des Filles-du-Calvaire
75003 Paris 3e
T. 33 1 40 27 09 27

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