Jours tranquilles à Paris

Le 20 juillet 1944, il y a 64 ans, Hitler échappait à la bombe qui devait le tuer dans son repaire de la Tanière du Loup («Wolfsschanze»), en Prusse orientale.

L'attentat avait été préparé par de hauts gradés parmi lesquels le comte Claus von Stauffenberg (36 ans).

Issu d'une vieille famille de l'aristocratie souabe, celui-ci avait découvert en Russie la brutalité des SS et s'était convaincu de l'utilité d'assassiner Hitler pour retourner l'armée contre le régime.

Les conjurés avaient été rejoints par le prestigieux maréchal Rommel et son chef d'état-major, l'un et l'autre conscients que la guerre était perdue et désireux de traiter une paix séparée avec les Occidentaux.

Le moment venu, tandis que Hitler examine des cartes avec ses généraux, Stauffenberg en personne dépose une valise piégée sous la table. Puis il quitte la pièce sous le prétexte de donner un coup de fil...

En poussant du pied la valise qui le gênait, un officier allait faire capoter l'attentat...(en savoir plus en cliquant ICI)

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20 juillet 1944

Tentative d'assassinat contre Hitler

Assistant à une réunion au quartier général de Rastenburg, le "Führer" échappe à une tentative d'assassinat fomentée par la noblesse militaire allemande. Le comte Claus von Stauffenberg, chef d'état-major des armées de l'Intérieur, organise l'attentat dans le but de restaurer la monarchie ou du moins de mettre en place une dictature conservatrice. Il dépose lui-même une valise piégée sous la table de réunion et quitte la salle. Mais la valise est fortuitement déplacée. Elle explose vers midi, loin d'Hitler. Il n'est que légèrement blessé. Stauffenberg sera exécuté le soir même et remplacé par Himmler.

Les photos de Jam Abelanet font un véritable "buzz sur la toile". C’est discrètement que ce jeune photographe a exposé ses photos au Musée de l’Erotisme pendant une semaine. Cependant son idée originale – photographier des modèles nus dans le métro – a séduit plus d’un internaute. Son livre s’est vendu comme des petits pains et à un moment sa maison d’édition était en rupture de stock. J’ai eu la chance de réagir immédiatement dés la parution de cet album photo peu ordinaire et d'en obtenir rapidement un exemplaire. Depuis le 26 juin (date du vernissage) le succès ne se dément pas et la presse s’est emparée de ce sujet. En feuilletant cet album j’ai eu l’agréable plaisir de reconnaitre un de mes modèles et un autre modèle originaire de Bretagne. Excellente idée que d’utiliser le métro parisien pour décor de ces photos érotico-SM. Un grand bravo à Jam Abelanet qui a su utiliser ces lieux communs, que nous fréquentons quotidiennement, pour nous faire fantasmer. Désormais nous ne regarderons plus de la même façon le métro, espérant chaque matin, voir au détour d’un couloir de faïence une "jeune femme bondagée" ou simplement nue dans une pose acrobatique.

Fantaisies souterraines
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Les photos de Jam Abelanet font un véritable "buzz sur la toile". C’est discrètement que ce jeune photographe a exposé ses photos au Musée de l’Erotisme pendant une semaine. Cependant son idée originale – photographier des modèles nus dans le métro – a séduit plus d’un internaute. Son livre s’est vendu comme des petits pains et un moment sa maison d’édition était en rupture de stock. J’ai eu la chance de réagir immédiatement dés la parution de cet album photo peu ordinaire et d'obtenir rapidement un exemplaire de cet album photo. Depuis le 26 juin (date du vernissage) le succès ne se dément pas et la presse s’est emparée de ce sujet. En feuilletant cet album j’ai eu l’agréable plaisir de voir un de mes anciens modèles et un modèle originaire de Bretagne qui ne manque pas de personnalité. Excellente idée que d’utiliser le métro parisien pour décor de ces photos érotico-SM. Un grand bravo à Jam Abelanet qui a su utiliser ces lieux communs, que nous fréquentons quotidiennement, pour nous faire fantasmer. Désormais nous ne regarderons plus de la même façon le métro, espérant chaque matin, voir au détour d’un couloir de faïence une "jeune femme bondagée" ou simplement nue dans une pose acrobatique.

Fantaisies souterraines
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Le site de l'école St Cyr Coëtquidan en cliquant ICI

Le Triomphe des écoles de Saint-Cyr Coëtquidan, est une manifestation traditionnelle qui trouve son origine dans une visite du duc d'Orléans à Saint-Cyr, le 27 juillet 1834. Aujourd'hui, il clôt les cycles de scolarité des élèves en dernière année (ESM1, EMIA1 et EMCTA) tout en associant les autres recrutements (OAEA, OAES, rang, BSTAT, EOR) et c'est enfin à cette occasion que les nouvelles promotions (ESM3 et EMIA2) reçoivent solennellement leur nom de baptême. C'est également une fête commune à l'ensemble des écoles de Saint-Cyr Coëtquidan (élèves, personnels civils et militaires du cadre) consolidant le lien armée-nation et qui engage la participation et les moyens de toutes les écoles et de nombreux extérieurs.

Souvenir....lorsque j'étais EOR.

Golden League 2008. 4e étape. Meeting de Paris - Saint Denis. Au Stade de France. Sur la piste du Stade de France, Ladji Doucouré, sur 110 m haies, est motivé à améliorer ses performances à l'approche des JO. Dans l'épreuve reine du 100 m, les deux Tricolores en lice sont Ronald Pognon (toutefois incertain) et Martial Mbandjock. Le meeting de Saint-Denis est l'ultime étape de la Golden League avant les JO de Pékin, sachant que la prochaine manche se déroulera le 29 août à Zurich. La crème de l'athlétisme mondial est donc attendue dans la capitale française. La piste du Stade de France est le théâtre du dernier sommet préolympique où les stars et les valeurs montantes de l'athlétisme viennent répéter leurs gammes ou faire valoir leur potentiel.

http://www.meetinggazdefrance.com/

Le quartier était bouclé pour l'évènement. La fourrière passait depuis ce midi et les forces de l'ordre se préparaient à encadrer les spectateurs qui arrivaient en cars ou par le RER D.

Photos prises dans la soirée avec mon téléphone mobile

Photo prise en 1889