"Starko" bientôt sur vos écrans
Starko! Making of du doublage
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Envoyé par 13rue sur wat.tv
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Voir le site spécialement dédié à cette traversée en cliquant ICI
Extrait du mail que j'ai reçu :" Après trois semaines d’escale forcée à Safi au Maroc, Jean-Gabriel Chelala qui s’est élancé le 13 janvier de Paris à vélo, puis le 7 mars de Lagos au Sud du Portugal à bord de son cyclomer, a donné cette nuit de nouveaux coups de pédales en direction de la Floride. Excité, un peu anxieux, le jeune Franco-Libanais connaît désormais la difficulté des premières 24h, toute la concentration et l'énergie que cela demande. Il est un peu comme le skieur ou le pilote de F1 qui doit reprendre la ligne de départ. Une chose est certaine, Jean-Gabriel est bien décidé à ne plus toucher terre avant d’avoir bouclé la première étape maritime de son tour du monde à la seule force humaine qui comporte au total trois étapes terrestres et deux étapes en mer."
Rappel :
Mon billet du 8 mars en cliquant ICI
Bonne chance au Breton !
Vu hier 11 avril :
30 ans emotions
envoyé par Snap
30 ans d'émotions
Par CYRIL DROUHET, COMMISSAIRE DE
L'EXPOSITION, RÉDACTEUR EN CHEF PHOTO DU FIGARO MAGAZINE
Depuis sa création, en 1978, Le
Figaro Magazine n'a jamais cessé de faire la part belle à la photographie. La
photo qui informe. La photo qui éclaire. La photo qui parle au coeur le langage
universel de l'émotion... Jour après jour, les équipes du service photo du
Figaro Magazine traquent l'image qui saura le mieux saisir un événement,
illustrer une tendance nouvelle, raconter l'histoire de ces hommes et de ces
femmes qui font l'actualité. Trente années passées à visionner plusieurs
dizaines de millions de clichés pour publier plus de 250 000 photographies en
près de 1 500 numéros. Trente années durant lesquelles les grandes signatures
du photoreportage ont saisi, pour nos lecteurs, la brutalité et les tragédies
de l'époque, mais aussi ses moments de bonheur et ses ferments de progrès.
Parce que trente ans, c'est le
bel âge pour faire la fête et exprimer sa personnalité, Le Figaro Magazine
prend la parole dans la rue pour y afficher son goût du reportage photo et sa
passion de l'actualité. Du 15 avril au 15 juillet, plus de un million de
visiteurs - lecteurs du Figaro Magazine, Parisiens ou touristes - pourront
ainsi découvrir, sur les grilles du Sénat, à Paris, une exposition de 80
photographies exceptionnelles, ouverte gratuitement 7 jours sur 7 et 24 heures
sur 24 : « Avec Le Figaro Magazine, 30 ans d'émotions ».
En exposant ces instantanés d'un
monde en marche, nous souhaitons rendre hommage à tous les photojournalistes de
courage et de talent qui, pour nos lecteurs, courent la planète à la recherche
de l'image vérité. Nous voulons surtout partager avec le promeneur du
Luxembourg quelques moments de vie, d'espoir ou tout simplement de beauté. Le
Sénat, qui offre depuis huit ans le cadre prestigieux de ses grilles à « l'art
passant », nous en donne l'occasion en même temps qu'il témoigne de son
ouverture sur la société. Notre partenaire Canon, leader mondial de la
photographie, fidèle à sa vocation de promouvoir la création, manifeste à nos
côtés sa volonté de « faire descendre la photo dans la rue ». Qu'ils en soient
ici remerciés.
Quelques photos :
Reportage photographique : JS
Hier soir je suis allé voir "La Reine morte" de Montherlant. C'était dans un petit théâtre municipal dans le 14ème arrondissement. La pièce était interprétée par la troupe de Jean-Laurent Cochet qui lui même jouait le rôle du Roi. Parmi les comédiens un collègue de travail, comédien amateur, qui jouait pour la première fois avec une troupe de professionnels. Un grand bravo à Christophe !
Une soirée agréable, un public attentif aux jeux des comédiens. Merci à la Compagnie Jean-Laurent Cochet pour cette très belle prestation.
Si vous aimez le théâtre dépêchez-vous, la dernière représentation est le 19 avril et il vaut mieux réserver sa place bien à l'avance car hier la salle était comble.
Voir mon billet du 17 mars en cliquant ICI
LA REINE MORTE
« Avoir écrit la Reine Morte suffit à justifier une vie» Maurice Maeterlinck
Henry de Montherlant
Né à Paris, le 30 avril 1895. Descendant d'une famille de la
noblesse catalane, Henry de Montherlant fit ses études à Jeanson-de-Sailly,
puis au collège de Sainte-Croix de Neuilly dont il devait s'inspirer pour
Auteur fécond, il produisit une œuvre importante, dans
laquelle le théâtre tint une place importante. Citons ses pièces les plus
célèbres:la Reine morte, Fils de personne, Malatesta, le Maître de Santiago, Port-Royal, Don
Juan, le Cardinal d'Espagne. Il est également l'auteur d'essais. Ceux que lui
inspirèrent la défaite de 40 et les années de l'Occupation: l'Équinoxe de
septembre, le Solstice de juin, Textes sous une occupation -1940-1944, Carnets
- 1940-1944, furent assez discutés. On lui reprocha un certain écart entre les
attitudes héroïques dont il s'était fait spécialité dans ses ouvrages
antérieurs et son comportement moins engagé et moins glorieux durant ces années
d'épreuves. Sur la fin de sa carrière, Montherlant revint à la veine romanesque
avec le Chaos et la Nuit, les Garçons, Un assassin est mon maître.
Écrivain sans cesse en quête de perfection esthétique, d'un
style brillant et aéré, Henry de Montherlant est le créateur d'une œuvre où se
font écho en s'opposant la morale chrétienne et la morale profane, le culte de
l'héroïsme et celui de l'hédonisme. Il fut élu à l'Académie française le 24
mars 1960, au fauteuil d'André Siegfried.
Atteint de cécité et voyant ses facultés décliner, Henry de
Montherlant choisit de se donner la mort à l'âge de soixante-seize ans. Ce qui
avait souvent paru attitude théâtrale, chez ce grand admirateur des exemples
antiques, reçut ainsi une tragique justification. Mort le 21 septembre 1972.
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Mot du metteur en scène
En 1941, Vaudoyer, administrateur de la Comédie Française,
demande à Henry de Montherlant, romancier fort célèbre, de faire l'adaptation
d'une pièce de Guevara, auteur du siècle d'or espagnol. Montherlant la lit, la
trouve superficielle, sans caractère et sans importance humaine. Il accepte en
en conservant l'armature, mais en changeant personnages et dialogues, d'en
faire une œuvre personnelle, et c'est la création de la Reine Morte.L'auteur nous dit « Si le monde pouvait se douter de quoi et
comment est faite une œuvre! Mais qui donc verse en lui ce qu'il reverse en
nous? se demande Hugo, de Palestrina. Et c'est ici qu'il faut toucher un mot de
cette particularité de la vie créatrice: l'unité de l'émotion. La colère
ressort en cris de tendresse; la douleur en cris de plaisir; peu importe de
quelle espèce est votre émotion; l'essentiel est qu'il y ait bouillonnement ».
Et il ajoute:la Reine
Morte est - avec les Olympiques - celui de mes ouvrages
auquel je suis le plus attaché ».
Une des plus hautes et des plus fortes œuvres du répertoire
théâtral universel. Jean-Laurent Cochet
Jean-Laurent COCHET Ferrante,
roi de Portugal
Xavier DELAMBRELe Prince
Don Pedro, son fils
Pierre DELAVÈNE Egas
Coelho, premier ministre
Frédéric GUIGNOT Alvar
Gonçalvès, conseiller
Christophe BOUTELLIER Don
Christoval, gouverneur du Prince
William BEAUDENON Dino
dei Moro, page du roi
Thierry BERTOMEU Don
Manoël Ocayo
Axel BLIND Le
Capitaine Batalha
Antoine AGRANGE Un
Valet
Catherine GRIFFONI lnès
de Castro
Elisabeth VENTURA L'Infante
de Navarre
Mise en scène de Jean-Laurent Cochet
La
Compagnie Jean-Laurent Cochet a créé la Reine Morte de Henry
de Montherlant en collaboration avec le Festival de Terre-¬Neuve, organisé par
le Conseil Général de la Vendée le 23 juillet 2007.
Selon un témoin, lorsque le président Nicolas Sarkozy a reçu pour la première fois les familles des otages à l'Elysée, le 8 avril, il leur a déclaré : " On a affaire à des malfrats. Ils veulent du fric, on va le leur donner, et après, c'est mon affaire. "
Lire le récit de la libération des otages en cliquant ICI ou encore ICI
Le site de la compagnie des îles du Ponant en cliquant ICI
Photos prises par Philip Plisson - Photographe à La Trinité sur Mer
Voir également mon billet du dimanche 29 octobre 2006.
Transhumance 2007
envoyé par Snap
Voir mon billet du 9 avril en cliquant ICI
Photos prises le vendredi 11 avril au jardin du Luxembourg