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Jours tranquilles à Paris
bachar al assad
15 mars 2014

SYRIE : trois ans de guerre...

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La une de Libération de ce matin

syrie 3 ans

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20 janvier 2014

Syrie : Bachar al Assad

assa

15 novembre 2013

Syrie : la guerre toujours la guerre...

assad
7 octobre 2013

SYRIE : Qui votera pour lui ?

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6 octobre 2013

SYRIE - destruction des armes chimiques ?

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Pourvu que ça dure...

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6 octobre 2013

SYRIE... N'oublions pas !

El-Assad est "machiavélique, menteur et brutal"

http://bit.ly/15SV6Wj

EXCLUSIF - Walid Joumblatt, leader de la communauté druze au Liban et opposant au président syrien, dénonce l'"abandon" dont est victime son pays. Extraits de son entretien à paraître dimanche dans le JDD.

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Walid Joumblatt

Et pendant ce temps là sur le compte Instagram de Bachar al Assad 

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30 septembre 2013

Bachar Al Assad : Qui est assez naïf pour le croire ?

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Le président syrien Bachar al-Assad a affirmé dimanche 29 septembre qu'il se conformerait à la résolution des Nations uniessur les armes chimiques mais a dénié tout rôle à l'Europe dans le règlement de la crise syrienne. "Bien sûr, nous allons la respecter et notre histoire prouve que nous avons toujours honoré notre signature sur tous les traités que nous avons signés", a déclaré Bachar al-Assad au journaliste de la télévision italienne Raï News 24 qui lui demandait si son pays se conformerait à la résolution 2118 de l'ONU adoptée vendredi à l'unanimité.

Il a estimé que "bien évidemment" son pays assurera l'aide et la protection aux experts de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC), dont un responsable a affirmé qu'il n'avait aucune raison de douter des informations fournies par le régime syrien.

Un premier contingent d'une vingtaine d'experts internationaux en armes chimiques est attendu mardi à Damas pour lancer l'une des opérations de désarmement les plus ambitieuses, dans un pays plongé dans la guerre civile.

Il s'agit d'éliminer plus de 1.000 tonnes de produits toxiques (sarin, gaz moutarde) stockés dans tout le pays. L'ONU et l'OIAC cherchent des candidats prêts à travailler d'arrache-pied pour tenir les délais. Tous les sites répertoriés dans la liste remise par la Syrie le 19 septembre à l'OIAC devront avoir été inspectés au plus tard dans 30 jours.

La résolution 2118 du Conseil de sécurité, adoptée après d'âpres négociations russo-américaines, est la première du Conseil de sécurité depuis le début du conflit en Syrie.

Elle fait obligation au régime Assad de détruire la totalité de ses stocks d'ici la mi-2014. Mais les détails du plan élaboré par les Russes et les Américains le 14 septembre pour inspecter et nettoyer 45 sites de stockage restent à préciser, selon des diplomates. Cette résolution fait suite à l'accord russo-américain conclu le 14 septembre afin d'éviter une frappe américaine en Syrie, une menace brandie par Washington en réponse à l'attaque chimique du 21 août.

Moscou et Pékin ont proposé leurs services pour l'opération syrienne. Les États-Unis, l'Allemagne et d'autres pays ont aussi offert leur aide technique ou financière. L'Italie a mis à disposition des appareils militaires C-130 pour transporter depuis les Pays-Bas jusqu'en Syrieles experts en armes chimiques, avec leur matériel.

Le président syrien a par ailleurs jugé "positif" le rapprochement entre les Etats-Unis et l'Iran, son principal allié avec la Russie, amorcé lors de l'Assemblée générale de l'ONU à New York. "Si les Américains sont honnêtes dans leur rapprochement avec l'Iran, les résultats seront positifs en ce qui concerne la crise syrienne et toutes les crises dans la région", a-t-il dit.

Pas de rôle pour l'Europe

En revanche, le président Assad a dénié tout rôle à l'Europe dans la résolution de la crise syrienne, notamment dans le processus de la conférence de paix sur la Syrie, dite Genève 2. "Franchement, la plupart des pays européens n'ont pas la capacité de jouer un rôle dans Genève 2, car ils ne possèdent pas les atouts nécessaires pour réussir dans ce rôle", a-t-il souligné. "Ils ont adopté la politique américaine dans leur relations avec les différents pays" (de la région), a-t-il dit.

Sur le terrain, les violences ne connaissent aucun répit, avec un raid aérien du régime contre un lycée dimanche dans le nord de la Syriequi a fait au moins 16 morts dont dix élèves, et des combats entre rebelles et soldats sur plusieurs fronts, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).

Dans le Sud, à l'issue de quatre jours de combats, au cours desquels 26 militaires et un "très grand nombre" d'insurgés, dont "sept non-syriens", ont été tués, les rebelles se sont emparés d'un poste de douane et occupent désormais une bande de terrain allant de la localité de Deraa vers le plateau du Golan à l'est, a affirmé l'OSDH, qui s'appuie sur un large réseau de militants et de sources médicales à travers le pays.

Transition politique

Un photographe syrien, qui collaborait avec l'AFP, a trouvé la mort lors d'un bombardement dans la ville orientale de Deir Ezzor, a affirmé dimanche un de ses collègues. Mourhaf al-Modahi, surnommé Abou Chouja, a été tué samedi dans des combats opposants les rebelles aux troupes loyales au président Bachar al-Assad, a indiqué ce collègue.

Après deux ans et demi d'un conflit dévastateur qui a fait plus de 110.000 morts et poussé à la fuite des millions de Syriens, Bachar al-Assad et la rébellion sont déterminés à se battre jusqu'au bout malgré les efforts internationaux pour une solution politique.

Le patron de l'ONU Ban Ki-moon, qui a rencontré samedi pour la première fois le chef de l'opposition syrienne Ahmad Jarba, a annoncé qu'une conférence de paix se tiendrait à la mi-novembre pour amorcer une transition politique, mais les protagonistes ont des objectifs différents pour un tel forum maintes fois reporté.

Le ministre syrien des Affaires étrangères Walid Mouallem a jugé qu'une telle conférence ne pouvait décider du sort du président alors que pour l'opposition Bachar al-Assad n'a plus sa place dans la transition. Source : Le Nouvel Observateur

15 septembre 2013

Vidéo à voir pour mieux comprendre les évènements de Syrie - ARTE +7

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Cliquez ICI pour voir la vidéo (attention diffusion limitée dans le temps)

3 septembre 2013

Syrie - Intervenir ou pas ?

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La mise en garde de Bachar el-Assad à la France dans Le Figaro

Source RFI

Alors que les Occidentaux temporisent et cherchent à rallier opinions publiques et soutiens internationaux, le président syrien met en garde contre les conséquences d'une intervention militaire contre son régime. Dans un entretien à lire ce mardi matin dans le quotidien le Figaro, Bachar el-Assad menace directement la France.

Bachar el-Assad s’exprime ce mardi matin dans Le Figaro alors qu'il est en position de force. Après que le président Obama a décidé d’obtenir le feu vert du Congrès - pas avant le 9 septembre, après le « non » des parlementaires britanniques, le président syrien a l’avantage et il s’en sert. Et surtout face à la France, qui se retrouve en première ligne.

Le président syrien est très clair : il y aura des répercussions négatives sur les intérêts de la France si Paris engage une action militaire. La détermination française reste entière, a répété le Premier ministre aux responsables parlementaires lundi. Jean-Marc Ayrault leur a remis une note des services de renseignements, prouvant la responsabilité de Damas dans l’usage d’armes chimiques le 21 août.

Mais au-delà d’une riposte contre la France, C’est la menace d’un embrasement de tout le Moyen-Orient que Bachar el-Assad agite dans les colonnes de nos confrères. « Le risque de guerre régionale existe » dit le président syrien qui compare la région à « un baril de poudre prêt à exploser ». « Si le baril explose, tout le monde perdra le contrôle de la situation », déclare Bachar el-Assad, laissant entendre qu’une déstabilisation de son régime entraînerait le chaos et l’extrémisme.

Cet argument selon lequel une déstabilisation de son régime entraînerait le chaos dans la région n’est certainement pas absent des intenses tractations diplomatiques occidentales.

1 septembre 2013

Syrie : la lettre ouverte de Bayrou à Hollande

TRIBUNE - François Bayrou a décidé d'écrire à François Hollande sur la situation en Syrie. Le président du MoDem juge "impensable" que le Parlement français ne soit pas consulté.

 

"Monsieur le Président,

Votre décision d’engager la France en Syrie est prise et l’attaque est imminente.

Je veux cependant vous dire à quel point cette décision est périlleuse. Cette décision est prise sans consultation du Parlement, à la différence de Cameron qui a respecté le refus des députés britanniques et aussi d'Obama qui a annoncé qu'il consulterait le Congrès.

Un tel pouvoir de décision sans consultation se justifie quand il y a urgence. Il est impensable quand le Parlement ne soit pas consulté.

Il y avait urgence au Mali. Il fallait agir dans la minute : vous l’avez décidé, vous avez bien fait, et je vous ai soutenu publiquement sans hésitation ni réserve.

En Syrie, la situation n’est pas la même. S’il est peu de doute qu’il existe des armes chimiques (les mêmes ont été si largement utilisées pendant la guerre de 14), les preuves indiscutables de la responsabilité de leur utilisation n’ont pas été apportées, comme l’a reconnu M. Cameron. Le fer et le feu continuent à faire des deux côtés de nombreuses victimes.

Vous créez un précédent : vous allez intervenir sans mandat des Nations unies, sans nos alliés européens, sans l’Otan, dans une action bilatérale avec les États-Unis. Ce que la France reprochait en 2003 à Berlusconi, à Blair, à Aznar, elle va l’accomplir aujourd’hui. Comment interdire à d’autres demain des interventions unilatérales?

Vous allez intervenir avec des buts incertains. Vous annoncez que vous ne voulez pas renverser Assad et peser sur l’issue du conflit!… C’est une déclaration diplomatiquement hypocrite et qui n’a pas de crédibilité.

Il ne s’agit pas d’un "avertissement" : il s’agit d’une intervention faite pour mettre à genoux le régime actuel (à bien des égards détestable) et donner la victoire à ses adversaires.

Qui sont ces adversaires? À qui s’apprête-t-on à donner la Syrie et de larges pans de la région? À des forces fondamentalistes engagées dans une entreprise globale d’instauration de l’islamisme politique, au cœur de l’affrontement séculaire et désormais brûlant entre sunnites et chiites.

Qui seront les victimes? D’abord ceux que nous frapperons directement, militaires et parfois civils ; ensuite les communautés minoritaires en Syrie, les différentes communautés chiites, les communautés chrétiennes d’Orient (qui adressent une supplique unanime pour qu’on renonce à cette attaque) ; enfin le Liban, dans l’existence et l’équilibre duquel nous avons une responsabilité historique et où des forces françaises sont engagées - et exposées - dans le cadre de la Finul…

La frappe n’est pas non plus la seule solution.

Il est une gamme de rétorsions, de poursuites et de sanctions, conduisant les coupables jusqu’au Tribunal pénal international, qui auraient le même effet dissuasif sans exposer aux mêmes risques. Et qui pourraient, elles, conduire à la seule solution que l’on doive espérer, négociation et solution politique protégeant toutes les minorités. La France a, vis-à-vis de la Syrie, du Liban et des communautés minoritaires religieuses et ethniques de la région, une responsabilité historique et affective.

Et la France a un devoir vis-à-vis d’elle-même!

Nous avons construit une image de la France au travers des décennies : de de Gaulle à Jacques Chirac lors du drame irakien, nous étions le pays qui parlait avec tous, et protégeait l’essentiel. Et ce n’était pas seulement une image : c’était notre identité et notre réalité. C’était un patrimoine pour notre pays.

Monsieur le Président, nous étions nombreux à avoir mis de l’espoir en votre modération et votre équilibre. Vous engagez la France dans une voie périlleuse.

Je souhaite me tromper, mais je voulais vous dire que vous faites courir un grand risque à l’avenir de la Syrie, aux minorités, au Liban, et à une certaine idée de la France qui ne s’aligne pas.

François Bayrou."

François Bayrou - Le Journal du Dimanche

samedi 31 août 2013

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