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Jours tranquilles à Paris
elections presidentielles
9 février 2012

Elections Présidentielles : les QG des candidats

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8 février 2012

A la UNE du Canard Enchainé de ce matin

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8 février 2012

Une nouvelle plateforme web pour les "volontaires de Bayrou"

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7 février 2012

François Bayrou au 20h de TF1: "Le bateau coule. il est temps de dire: les naufrageurs, dehors!"

François Bayrou était l'invité de Laurence Ferrari, au 20h de TF1, mardi 7 février.

François Bayrou a d'abord condamné les propos de Claude Guéant sur les civilisations et la réplique du député Serge Letchimy (app-PS) évoquant le nazisme, regrettant que PS et UMP perdent "un temps précieux" avec ce débat au lieu de s'occuper des problèmes de la France.

"Je condamne les uns et les autres", a-t-il lancé sur le plateau du 20h, alors que Laurence Ferrari l'interrogeait sur les propos de Claude Guéant et Serge Letchimy. "Cela fait des jours et des jours que l'on assiste à une escalade qui est indécente. Les propos que M. Guéant a eus sont extrêmement choquants parce que, quand on appelle à la hiérarchie des civilisations, on appelle en fait à une guerre des civilisations", a-t-il fait valoir.

"Et l'on voit bien comment ces propos sont ressentis par tous ceux qui ont eu à souffrir", a dit François Bayrou, en évoquant le Moyen et Proche-Orient et certains de "nos concitoyens français". "Pour répondre à cela, outrage contre outrage, évoquer régime nazi et camps de concentration, c'est purement et simplement inacceptable", a-t-il également dénoncé. Pour François Bayrou, "il y a dans cette escalade quelque chose de profondément troublant et mauvais pour la France".

"Alors que le bateau coule, les membres d'équipage PS et UMP se battent les uns contre les autres"

"Je pense que le PS est ravi qu'il y ait une provocation et que l'UMP aussi parce que leur espoir c'est qu'on puisse ainsi s'enfermer dans le débat des deux camps. Eh bien, ce débat nous fait perdre un temps précieux", a-t-il lancé.

Evoquant les mauvais chiffres du commerce extérieur (70 milliards de déficit en 2011), le leader centriste a qualifié de "naufrageurs" ceux qui, parmi l'équipage, se battent "les uns contre les autres en s'insultant" pendant que "le bateau coule". "Il y a un moment où il est important de dire qu'il y en France un peuple républicain qui a besoin que l'on tourne la page sur ces attitudes indécentes. Alors je dis: "les naufrageurs dehors".

"Il ne peut pas y avoir de candidat officiel de l'Allemagne dans l'élection présidentielle française"

Le candidat centriste François Bayrou a jugé mardi "gênant" le soutien apporté par la chancelière Angela Merkel au président Nicolas Sarkozy et expliqué qu'il ne pouvait "y avoir un candidat officiel de l'Allemagne dans l'élection présidentielle française". "J'ai trouvé qu'il y avait dans cette émission quelque chose de gênant. Et, quand on réfléchit de près, on voit très bien d'où vient cette gêne", a expliqué le député des Pyrénées-Atlantiques à propos du soutien apporté par Mme Merkel à Nicolas Sarkozy.

"Que Mme Merkel s'exprime en tant que chef de parti de la droite allemande, elle a le droit de le faire. Mais qu'elle vienne à l'Elysée en tant que chancelière, chef du gouvernement allemand et qu'elle adoube M. Sarkozy, il y a là quelque chose de déplacé parce qu'il ne peut pas y avoir de candidat officiel de l'Allemagne dans l'élection présidentielle française", a dénoncé François Bayrou. "Et Nicolas Sarkozy ne devrait pas se prêter à une telle mise en scène", a-t-il ajouté.

Interrogé sur la date de la déclaration de candidature de Nicolas Sarkozy, le leader centriste a expliqué que le président n'avait "pas besoin de se déclarer" puisqu'il était déjà "candidat". "On l'a bien vu hier soir (lundi soir, ndlr), ce qui fait qu'il y a une mascarade. Et tout cela se fait avec l'argent de l'Etat et ses interventions sur toutes les chaînes de télévision provoquent un déséquilibre extrêmement fort" entre les candidats, a-t-il dit. "On essaye de nous enfermer dans un deuxième tour écrit à l'avance et bien les Français le refuseront", a-t-il conclu. Source : Bayrou.fr

7 février 2012

La UNE de Charlie Hebdo de demain

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 «Contrairement à ce que dit l’idéologie relativiste de gauche, pour nous, toutes les civilisations ne se valent pas. Celles qui défendent l’humanité nous paraissent plus avancées que celles qui la nient. Celles qui défendent la liberté, l’égalité et la fraternité nous paraissent supérieures à celles qui acceptent la tyrannie, la minorité des femmes, la haine sociale ou ethnique. En tout état de cause, nous devons protéger notre civilisation.» Claude Guéant

Lire ICI et ou encore ICI et encore

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6 février 2012

Cote de popularité

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Source : Metro

5 février 2012

Sarkozy 2007-2012

4 février 2012

Bayrou veut installer le verbe «instruire» dans la campagne

François Bayrou a indiqué samedi avoir l’intention d’installer le verbe «instruire» au coeur de la campagne électorale, comme il a installé le verbe «produire», en se référant à son slogan «Produire en France».

Le président du MoDem s’est exprimé en ouverture du deuxième des quatre forums de sa campagne consacrés à son projet politique, lors duquel il doit présenter ses propositions pour l’éducation.

Le premier forum était consacré au «produire en France» et les deux derniers auront pour thème le «contrat social» (11 février) et «la démocratie» (25 février).

La rencontre de ce samedi «est très importante pour nous parce que nous avons l’intention d’installer le verbe "instruire" au coeur de la campagne électorale comme nous avons installé le verbe "produire"», a déclaré M.Bayrou.

Le candidat centriste a fixé trois priorités pour sa campagne, la lutte contre les déficits publics, la production en France, dont il a détaillé les points forts mercredi, et l’éducation.

«Nous considérons que les deux verbes produire et instruire sont intimement liés, c’est-à-dire qu’il n’y a pas de "réarmement" productif du pays si, en même temps, il n’y pas un " réarmement" éducatif», a expliqué M. Bayrou, ancien ministre de l’Education.

«L’un soutient l’autre et l’un et l’autre sont liés comme une condition nécessaire pour la réussite du projet», a-t-il insisté, en disant ne pas pouvoir accepter les échecs actuels du système éducatif français «avec 40% d’enfants qui ne maîtrisent pas la lecture à la sortie de l’école primaire, 15% qui ne savent pas déchiffrer comme il le faudrait et 150.000 jeunes qui sortent sans formation du système scolaire».

«Il y a là, donc, un problème vital pour la société française, pour notre pays (…) pour ce que nous voulons et devons faire pour lui rendre la force de sa vitalité», a-t-il conclu.

Furieux contre «le monopole médiatique»

François Bayrou a de nouveau dénoncé «la monopolisation de toutes les émissions et de toutes les ondes» par les deux candidats du PS et de l’UMP, en expliquant que «les Français ne se laisseront pas enlever leur liberté de choix».

L’eurodéputée Marielle de Sarnez, directrice de campagne de M. Bayrou, a écrit au CSA fin janvier pour lui demander de faire respecter les règles d’équité entre les candidats, après avoir constaté «un déséquilibre flagrant» dans les temps d’antenne en faveur de François Hollande et Nicolas Sarkozy.

«Je remercie les chaînes d’être là et d’avoir pris en compte la remarque que Marielle de Sarnez a faite en mon nom», a lancé M. Bayrou en ouverture d’un forum consacré à l’éducation.

«Equité, cela veut dire "équilibre et justice"», a-t-il poursuivi en expliquant que «la monopolisation de toutes les émissions et de toutes les ondes par deux candidats et deux seuls, le candidat du PS et celui de l’UMP, ce n’est pas l’équilibre ni la justice».

«Il y a des règles et nous avons bien l’intention de les faire respecter», a souligné M. Bayrou, en dénonçant l’expérience des scrutins présidentiels précédents.

On a essayé «de faire croire aux Français qu’en fait, il n’y avait pas de premier tour, que le premier tour était une formalité et que c’était seulement l’affrontement que l’on prédit ou que l’on prévoit (…) c’est-à-dire l’affrontement entre le candidat PS et celui de l’UMP», a-t-il dit.

«Et bien cela, ce n’est pas le pluralisme et les Français ne se laisseront pas enlever la liberté de choix, qui est leur véritable pouvoir sur cette élection, comme disent les plus jeunes d’entre nous, "même pas en rêve"», a-t-il conclu.

(AFP) source site Libération

 


4 février 2012

Avec son nouveau site, François Hollande veut ouvrir 5 millions de portes

tous_hollande

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3 février 2012

Enfarinage

enfarinage

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