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Jours tranquilles à Paris
festival de cannes
7 janvier 2014

Festival de Cannes 2014

Jane Campion succédera à Steven Spielberg comme présidente du jury à Cannes. Les organisateurs se défendent de l'avoir choisie en tant que femme, alors que la faible présence de réalisatrices sur la Croisette a donné lieu à des polémiques. D'ailleurs, la Néo-Zélandaise est la seule femme à avoir décroché la Palme d'or, en 1993, pour La Leçon de piano.

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21 août 2013

"Jeune et Jolie" - sortie aujourd'hui dans les salles de cinéma

marine

"Jeune et Jolie"

Réalisation : François Ozon
Voir mes précédents billets sur François Ozon

La critique de Premiere

Isabelle Danel

Sensation de vertige. Observée à travers des jumelles, une ravissante demoiselle se dore langoureusement au soleil, en contrebas sur la plage. La piste du voyeurisme, immédiatement désamorcée (le mateur est en effet son petit frère !), reparaîtra à plusieurs reprises. Notamment lors de la scène de dépucelage au cours de laquelle Isabelle se dédouble pour se regarder dans les bras de son premier amant ou dans cette image récurrente à l’hôtel où la belle contemple son reflet dans la glace. La question du regard est réellement centrale dans Jeune & jolie. Objet ? Sujet ? Si « on n’est pas sérieux, quand on a 17 ans », comme l’a écrit Arthur Rimbaud, on n’est, à cet âge charnière où tout semble encore trop immobile, que ce que les autres projettent sur vous : une fille, une soeur, une copine, une petite amie... Isabelle, quant à elle, s’invente un autre rôle, prostituée,

Un autre prénom, Léa, et ce qu’elle en tire de plaisir, de douleur, d’apprentissage reste quelque peu opaque à nos yeux de spectateurs, comme à ceux de son entourage lorsque la vérité éclate brutalement. À travers ce fait de société, François Ozon examine sans juger, d’une caméra à la fois clinique et pudique, ce que grandir signifie. Faits et gestes, mensonges, ironie... Cependant, au fil de quatre saisons, les chansons de Françoise Hardy appuient inutilement le propos. Et le final est par trop artificiel pour suffire à conclure cette histoire qui observe un bouleversement. Mais la plupart du temps, le réalisateur frappe juste. Ça fait mal et c’est beau.

 

Les autres avis de la presse

    Toutlecine.com

    Camille Esnault

Finalement Jeune & Jolie n’est rien de plus qu’un énième récit d’initiation qui nous montre une jeune fleur passer à l’âge adulte au son des chansons de Françoise Hardy. L’addition n’est pas détestable, portée par des plans amoureux de la jeune Marine Vatch à la bouche cerise et à la moue mutine, qui nous renvoient aux égéries androgynes des années Hardy justement. A cela s’ajoute une jolie performance de Géraldine Pailhas en mère impuissante qui offre la scène la plus intense du film. > Ses dernières critiques : (Les Flingueuses) (Conjuring : les Dossiers Warren)

    Evene

    Olivier De Bruyn

Avec une rigueur extrême, sans jamais céder aux surenchères glauques, Ozon, en quatre chapitres et une heure trente tendue à l’extrême, met en scène avec une dérangeante inspiration l’aventure d’une fille qui, au-delà du bien et du mal, éprouve son pouvoir (sur les hommes, ses parents, ceux de son âge) et accomplit un parcours initiatique qui ne l’entrainera pas nécessairement à mieux se connaître. > Ses dernières critiques : (Né Quelque Part) (Belle du Seigneur)

    Libération

    Olivier Seguret

Complice, marionnettiste mais aussi victime reconnaissante, Ozon filme cette Marine-Isabelle littéralement comme un fou. Il se montre toujours aussi soucieux de maintenir cet équilibre entre gravité et divertissement qui caractérise son cinéma, mais semble aussi consentir à sa propre fascination pour l’actrice : à la fois sous hypnose et lucide, avec une concentration de grand maniaque, il la piste comme pour capter un moment animal, cosmique, universel et pourtant unique dans nos vies. > Ses dernières critiques : (Les Apaches) (Je Ne Suis Pas Mort)

    Télérama

    Louis Guichard

 Jeune et jolie s'affirme peu à peu comme une exploration de la solitude adolescente, affective et sexuelle. Une étude pleine d'empathie sur l'envie et l'impossibilité d'aimer – physiquement ou sentimentalement, selon les saisons. > Ses dernières critiques : (Frances Ha) (The Bling Ring)

    StudioCiné Live

    Emmanuel Cirodde

Alors que la Croisette attendait François Ozon sur le mode sulfureux, le réalisateur offre un film à la mélancolie mystérieuse. > Ses dernières critiques : (Les Flingueuses) (Un Nuage dans un Verre d'Eau)

    StudioCiné Live

    Christophe Chadefaud

Jeune & Jolie et l'un des plus beau film de François Ozon depuis Sous Le Sable. (...) Mystère et mélancolie comme écrin à l'éveil du corps d'une jeune fille. > Ses dernières critiques : (Chaque Jour que Dieu Fait) (Jeune & Jolie)

    Le Point

    Thomas Malher

Français François Ozon réussit le tour de force de raconter sans voyeurisme malsain mais avec justesse l'histoire d'une adolescente de 17 ans qui se prostitue comme elle vivrait une autre expérience extrême. > Ses dernières critiques : (The Bling Ring) (The Bling Ring)

    The Atlantic

    Jon Frosch

Un film malicieux, sensible, le portrait merveilleusement filmée d’une prostitué adolescente, de loin le meilleur film de François Ozon depuis « Swimming pool ». > Ses dernières critiques : (Jeune & Jolie) (Cogan, Killing Them Softly)

    Film.com

    Jordan Hoffman

Un film qui expose la vie sexuelle d’une adolescente de 17 ans sans ménagement > Ses dernières critiques : (Jeune & Jolie) (Dans la Tête de Charles Swan III)

    Time Out

    Keith Uhlich

Sur le même modèle que la plupart des films du prolifique Ozon, il y a une qualité éphémère dans « jeune et jolie » qui s’évapore petit à petit au cours du film. > Ses dernières critiques : (Jeune & Jolie) (The Bling Ring)

    Village Voice

    Stephanie Zacharek

Ce film est raisonnablement irrésistible, particulièrement la manière dont Ozon met en scène la relation entre Isabelle et un de ses plus vieux clients. > Ses dernières critiques : (Jeune & Jolie) (Les Stagiaires)

    Daily Teleghaph

    Robbie Collins

Aussi pétillant et désaltérant qu’un verre de limonade. > Ses dernières critiques : (Le Dernier Pub avant la Fin du Monde) (Jeune & Jolie)

    A voir à lire

    Bruno Rit

Si Ozon filme avec perversité le portrait de cette jeune fille aussi belle qu’insaisissable, il ne tombera jamais dans l’excès, ni dans la vulgarité, malgré le regard troublant qu’il donne sur la prostitution. La finesse avec laquelle il explore l’inconscient sexuel de l’adolescence offre alors aux corps et aux esprits les moyens de s’exprimer avec une grâce éloquente. L’incroyable prestation de Marine Vacth ne fera que renforcer ce sentiment, tant celle-ci illumine l’image de sa beauté angélique. > Ses dernières critiques : (Jeune & Jolie) (Michael Kohlhaas)

    Ecran Large

    Stéphane Argentin

Avec une mise en scène et une direction d’acteurs magistrales, Ozon nous livre un remarquable éveil à la sexualité, aussi délicat que sensuel. > Ses dernières critiques : (Jeune & Jolie) (Oggy et les Cafards, le film)

    Excessif / TF1 News

    Romain Le Vern

 Petit Ozon donc mais grande révélation au regard triste et au corps indécis : Marine Vacht. Aussi lumineuse que Ludivine Sagnier dans "Gouttes d'eau sur pierres brûlantes". > Ses dernières critiques : (Jeune & Jolie) (Metro Manila)

    Public

    Florence Roman

Ozon retrouve la veine sulfureuse de ses débuts avec ce portrait trouble d'une lycéenne de 17 ans qui se prostitue sans mobile apparent et y prend goût. Amoral mais captivant. > Ses dernières critiques : (jOBS) (Jeune & Jolie)

    Journal du dimanche

    Barbara Théate

Beauté froide qui souffle le chaud, Marine Vacth joue la nudité avec une pudeur désarmante et fait planer le mystère dans cette chronique qui met mal à l’aise. Dommage qu’à vouloir ne pas juger les pratiques sulfureuses de son héroïne, Ozon manque de point de vue et n’en dise finalement pas assez sur ses motivations. > Ses dernières critiques : (Kick-Ass 2) (Jeune & Jolie)

    Version Femina

    Anne Michelet

Le film peut choquer, mais ne laisse pas indifférent. Cette plongée au cœur des mystères d’une adolescence est très juste et sensible. Et, contre toute attente, souvent drôle ! > Ses dernières critiques : (jOBS) (Jeune & Jolie)

    Télé 7 jours

    Viviane PESCHEUX

C’'est remarquablement mis en scène, d’'un réalisme radical, dénué de jugement, de clichés ou de voyeurisme. Et Marine Vacth, à suivre de très près, se révèle autant dans la douceur et la dureté que troublante dans les scènes de nus. > Ses dernières critiques : (Jeune & Jolie) (Pour une Femme)

    Elle

    Florence Ben Sadoun

Porté par Marine Vatch, dont la beauté envahit l'écran, ce film déroute, démange et dérange longtemps après. > Ses dernières critiques : (Jeune & Jolie) (Le Congrès)

    La Croix

    Arnaud Schwartz

(...), "Jeune & Jolie" frappe par sa maîtrise extrême, y compris dans sa tonalité à la fois proche et distanciée, osant l'humour là où l'on n'aurait pas songé à l'y chercher. > Ses dernières critiques : (Jeune & Jolie) (Imogene)

    Les Fiches du cinéma

    Nicolas Marcadé

Ozon pose une situation, et en déploie les implications morales tout en nous laissant faire le tri. Un film discutable, sans doute, mais faire discuter est bien son mérite. > Ses dernières critiques : (Jeune & Jolie) (40 Ans : Mode d'Emploi)

28 mai 2013

Laetitia Casta au Festival de Cannes

26 mai 2013

"La Vie d'Adèle", d'Abdellatif Kechiche, décroche la Palme d'or du 66e festival de Cannes

521613_director_abdellatif_kechiche_and_cast_members_pose_during_a_photocall_for_the_film_la_vie_d_adele_atLe roi des blockbusters a parlé. Le jury du réalisateur Steven Spielberg a décerné la Palme d'or du 66e festival de Cannes, dimanche 26 mai, à La Vie d'Adèle, d'Abdellatif Kechiche. Un choix qui confirme les rumeurs et une partie des pronostics des critiques de cinéma tout au long du festival. C'est l'actrice fétiche de Quentin Tarantino, Uma Thurman, qui a remis son prix au réalisateur. Le jury récompense ainsi une histoire d'amour fiévreuse entre deux jeunes femmes, qui a ému les critiques lors de sa projection.

26 mai 2013

Festival de Cannes (hier soir) - "La Venus à la fourrure" de Roman Polanski

Pour ce onzième jour de la 66ème édition du Festival de Cannes, de nombreuses personnalités s'étaient réunies sur les marches du Palais autour d’Emmanuelle Seigner et Mathieu Amalric, les acteurs du film La Vénus à la Fourrure de Roman Polanski.

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Roman Polanski, maître ès dérision avec sa “Venus à la fourrure”

Festival de Cannes 2013 | Adapté d'une pièce de Broadway (et non directement du roman de Sacher-Masoch), le film de Roman Polanski met en scène Emmanuelle Seigner en actrice dominatrice et Mathieu Amalric en metteur en scène infatué. “La Venus à la fourrure” était le dernier film présenté en compétition.

Dès les premières secondes, la musique d'Alexandre Desplat, grinçante, grotesque, rappelle celles que composait pour les premiers films de Roman Polanski son compatriote, Krzysztof Komeda ; elle instaure immédiatement un climat de cauchemar, de dérision absolue... Accentuée par une pluie de cinéma et des éclairs de studio qui zèbrent cette rue artificielle et ce théâtre décati dont les portes semblent s'ouvrir toutes seules, comme par magie.

A l'intérieur, un metteur en scène vitupère contre les actrices, ces bêtasses, ces pétasses qui, toute la journée, se sont succédées, plus nulles les unes que les autres. Pas une pour interpréter correctement la Wanda de Sacher-Masoch, l'héroïne de La Vénus à la fourrure, qu'il vient d'adapter pour le théâtre. Et ce n'est pas cette retardataire qui risque de le faire change d'avis. Elle s'appelle Vanda comme l'autre, bon, d'accord, mais elle est excentrique, gouailleuse et grossière. Non, elle est vulgaire, carrément vulgaire. Vulgaire à tomber... Bizarre, tout de même : cette dinde inculte, contrairement à ce qu'elle prétend, a lu le roman de Sacher-Masoch. Pour l'aider à lui donner la réplique, elle l'habille d'une veste – achetée aux Puces – dit-elle – qui semble aussi ancienne que le roman. Et surtout, dès lors qu'elle joue le rôle, elle se métamorphose en créature distinguée, fine, mystérieuse... Comment ? Pourquoi ?

Une fois de plus, Roman Polanski tourne un huis-clos. Répulsion, à ses débuts, Carnage, tout récemment, en étaient de vrais. Mais, lorsqu'il tourne en extérieurs, comme dans Cul-de-sac, jadis, ouThe Ghost Writer, il y a peu, il 'arrange pour raréfier l'espace, pour faire se heurter ses personnages contre des murs invisibles. Triomphe à Broadway, la pièce de David Ives (un affrontement, un rien convenu, entre un metteur en scène et une actrice) ne semble pas terrible : théâtrale au mauvais sens du terme. Mais Polanski s'en sert pour fustiger joliment les petites vanités et les grandes pédanteries de la société du spectacle. Son sujet, il s'en fiche un peu. Ces histoires de SM, cette « vénus à la fourrure » et l'ado Sacher-Masoch jouissant des coups de fouets donnés par sa vieille tante, ça le fait sourire. Visiblement. Mais tout ça conforte l'idée qu'il s'est toujours fait de l'humanité souffrante et de ces êtres vulnérables, fragiles et vaguement ridicules qu'il a peint dans ses comédies satiriques (What !) et ses contes noirs (Le Locataire). Comme tous ses autres personnages, ceux de Lune de fiel ou de La Neuvième Porte, Emmanuelle Seigner et Mathieu Amalric s'affrontent, s'humilient, détonent et s'étonnent, s'offrent et se refusent, changent d'avis, de rôle et de sexe...

Dans Cul-de-sac, déjà, Françoise Dorléac maquillait et travestissait Donald Pleasence ; il finissait le film, recroquevillé en fœtus sur une plage, appelant au secours sa première épouse, sa seconde maman.... Là, un metteur en scène fat et misogyne, se retrouve, travesti, lui aussi, cloué à un poteau de torture, face au personnage qu'il a inventé et qui, soudain, se venge. La misanthropie de Polanski est, donc, intacte. Son sens de la dérision, aussi... Source : site Telerama . Pierre Murat

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Qui va se voir décerner la palme du sexisme? Peut-être François Ozon pour avoir considéré que la prostitution était «le fantasme de beaucoup de femmes». Ou Roman Polanksi, le réalisateur franco-polonais qui, hier, lorsqu'il présentait à la presse son nouveau film, La Vénus à la fourrure, a lui aussi dévoilé «sa» vision des femmes. 


«Je pense que cette tendance à vouloir mettre les hommes et les femmes à égalité est purement idiote, a-t-il déclaré. Je pense que c'est le résultat (...) des progrès de la médecine. La pilule a beaucoup changé les femmes de notre temps, en les masculinisant». Et d'ajouter que «tout cela chasse le romantisme de nos vies, et c’est bien dommage».


Un avis personnel qui a choqué la Croisette et les réseaux sociaux. «La pilule masculinise les femmes dit Polanski. C'est sûr. Le droit de vote aussi d'ailleurs, on devrait le supprimer», ironise même la féministe Caroline de Haas, et ancienne conseillère de la ministre des Droits des femmes Najat Vallaud-Belkacem.


D'autres twittos sont allés plus loin, et comparé la vision du «romantisme» de Polanski à ses déboires judiciaires. Il est poursuivi aux Etats-Unis pour avoir eu des relations sexuelles avec une mineure. Quant à Emmanuel Seigner, sa compagne et muse qui incarne dans La Vénus à la fourrure une actrice sado-masochiste, elle n'a pas encore réagi aux propos de Roman Polanski, qui apprécie visiblement d'être au coeur du scandale.

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26 mai 2013

Festival de Cannes 2013 : les pronostics...

26 mai 2013

Cannes: DSK monte les marches

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L'ancien président du FMI s'est affiché sur les marches du Palais des Festivals, samedi soir, à Cannes, pour la projection du dernier film en compétition. A son bras, sa nouvelle compagne.

DSK créé la surprise. L'ex-président du Fonds monétaire international Dominique Strauss-Kahn a monté les marches samedi soir au festival de Cannes.

Arrivé vers 21h15, l'ancien ministre français était accompagné sur le tapis rouge de Myriam L'Aouffir, présentée par la presse people comme sa nouvelle compagne.

Il montait les marches pour la projection du dernier film en compétition, Only Lovers Left Alive de Jim Jarmusch, qui met en scène des vampires du XXIe siècle, selon l'organisation du festival.

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20 mai 2013

Laury Thilleman - Miss france 2011 - au Festival de Cannes

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Festival de Cannes = une jeune femme s’est particulièrement démarquée. Il s’agit de Laury Thilleman, la Miss France 2011. Dans sa longue robe jaune en satin et tulle, l’ex-reine de beauté a attiré tous les flashs des photographes… sur sa poitrine notamment. On savait déjà qu’elle était dotée de sérieux attributs, elle a décidé de mettre le paquet avec ce décolleté en V particulièrement vertigineux.

15 mai 2013

CANNES 2013 : LA TERRASSE MARTINI SERA UN DES HAUTS LIEUX DE LA FÊTE

Pour la huitième année consécutive, La Terrazza Martini, un des rendez-vous incontournable des stars et people, déploie sa grand-voile pour toute la durée du festival sur la plage de l’Hôtel Gray d’Albion. A l’occasion du 150 anniversaire de la marque, cet espace éphémère voit une fois de plus les choses en grand et propose une programmation détonante. En effet, la planète musique s’y est donné rendez-vous. DJ set et live exclusifs animeront les nuits cannoises, faisant de la Terrazza Martini «the place to be». Dans la catégorie DJ set, Jean-Benoît Dunckel, e l’un des deux membres du groupe AIR, se produira le 18. La benjamine du clan Seigner, Marie-Amélie, animera, elle, un set le 19, quand Philippe Cohen Solal, l’un des fondateurs de Gotan Project, est attendu le 20. Le clou de la semaine aura lieu le 22, avec le phénomène Woodkid qui interprétera en live son premier album, The Golden Age. Côté cinéma, La Queer Palm, premier prix du film LGBT du Festival de Cannes et le Prix de la meilleure musique de film y seront remis le 25.On y court.

La Terrazza Martini, jusqu’au 26 mai, plage de l’Hôtel Gray d’Albion, à Cannes.

15 mai 2013

Festival de Cannes 2013

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