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Jours tranquilles à Paris
fete nationale
14 juillet 2018

Zahia - Pierre et Gilles

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14 juillet 2018

Sur France 2 ce soir à la télévision : le concert de Paris et le feu d'artifice

Pour la sixième année consécutive, France 2 est heureux d'offrir aux téléspectateurs deux moments d'exception lors d'une même soirée : le concert de Paris et le feu d'artifice de la Ville de Paris. Sous la direction du chef d'orchestre François-Xavier Roth, l'Orchestre national de France, le Choeur et la Maîtrise de Radio France, ainsi que les plus grands solistes internationaux nous offriront un concert de rêve, avant d'entonner une vibrante Marseillaise. Le feu d'artifice de la Ville de Paris embrasera, comme c'est dorénavant la tradition, la tour Eiffel. «Le Paris de l'amour» sera le thème du feu d'artifice de cette année.

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14 juillet 2018

Fête Nationale - 14 juillet

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14 juillet 2018

Aujourd'hui Fête Nationale

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14 juillet 2018

Les blessés, une « sous-marinière », un astronaute et l’Asie à l’honneur du défilé du 14-Juillet

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L’édition 2018 du défilé du 14-Juillet va mobiliser plus de 4 000 militaires, 220 véhicules, 250 chevaux et 30 hélicoptères, dans un ballet qui ne laisse aucune place à l’improvisation.

Comme chaque année depuis 1790 – à quelques exceptions près pendant la Révolution, puis la Restauration ou l’occupation –, les « Français, au-delà des clivages, des origines, des différences » vont se rassembler « pour célébrer ce qui les fédère, la République » à l’occasion du 14-Juillet, rappelle Florence Parly, la ministre de la défense, dans le document présentant l’édition 2018 du défilé.

Comme chaque année, celui-ci ne laisse aucune place à l’improvisation : « Cela fait plusieurs mois que le défilé est en cours d’élaboration. C’est un ballet extrêmement dense et compliqué à coordonner. On l’organise comme une opération militaire, avec la quasi-totalité des moyens des armées en termes de préparation, de logistique, d’accompagnement », résume le général Bruno Le Ray, le gouverneur militaire de Paris, à qui il revient de l’organiser.

Le thème : la « Fraternité d’armes sous l’uniforme »

L’édition 2018 du défilé va mobiliser plus de 4 000 militaires, 220 véhicules, 250 chevaux et 30 hélicoptères. Avant le défilé à pied, 64 avions traverseront le ciel parisien, dont les neuf Alpha Jet de la Patrouille de France, à bord desquels voleront trois blessés de guerre – un marin, un aviateur et un soldat de l’armée de terre – issus des forces spéciales françaises.

Cette initiative fait écho au thème du défilé cette année, « Fraternité d’armes sous l’uniforme : l’engagement d’une vie ». Le 1er régiment de spahis basé à Valence, qui a perdu le 21 février deux de ses hommes au Mali dans l’explosion d’une mine artisanale, sera présent dans le cortège à pied, mené par leur chef de corps, lui-même blessé au cours de cette attaque.

Cette année, le 14-Juillet mettra aussi à l’honneur les forces envoyées au secours des populations locales, après le passage dévastateur, en septembre 2017, des ouragans Irma et Maria dans les Antilles françaises. Parmi eux défileront des jeunes du service militaire adapté (SMA) de Guadeloupe, de Guyane et de Martinique. Ce système d’insertion professionnelle avec un encadrement militaire est destiné à des jeunes d’outre-mer en décrochage scolaire, chômeurs ou en risque de désocialisation.

Une « sous-marinière » et un astronaute

L’une des quatre premières femmes officiers à avoir servi à bord d’un sous-marin nucléaire français défilera au côté de son équipage. La capitaine de corvette Karen, 41 ans, ingénieure atomicienne, était chef du service réacteur pendant la dernière patrouille du sous-marin nucléaire lanceur d’engins (SNLE) Le Vigilant. Elle et ses trois consœurs sont des pionnières : la marine française vient seulement d’ouvrir au personnel féminin cette filière très fermée. L’année 2018 marque aussi la 500e patrouille de la force océanique de la dissuasion française depuis ses débuts, en 1972.

Dixième Français à être allé dans l’espace, l’astronaute Thomas Pesquet volera au-dessus du public à bord d’un Rafale.

Singapour, le Japon et la Belgique à l’honneur

En 2017, le président américain Donald Trump était l’invité du président de la République. Cette année, la France ayant entrepris de renforcer ses liens militaires en Asie-Pacifique, le premier ministre singapourien, Hsien Loong, et le ministre des affaires étrangères japonais, Taro Kono, seront les invités d’honneur du chef de l’Etat. Depuis vingt ans, des pilotes de chasse singapouriens sont formés sur la base française de Cazaux, en Gironde, et plus de cent quatre-vingts d’entre eux y ont été brevetés. L’année 2018 marque parallèlement le 160e anniversaire des relations diplomatiques entre la France et le Japon.

Sans rancune après la défaite de leur équipe mardi face aux Bleus en demi-finale de la Coupe du monde de football, des soldats belges du bataillon de chasseurs ardennais descendront les Champs-Elysées à bord de blindés Piranha, aux côtés des Français du 152e régiment d’infanterie de Colmar, surnommés… « les Diables rouges », comme les joueurs de l’équipe nationale belge.

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Les chiffres

Le traditionnel défilé du 14-Juillet est « une démonstration de force », qui « dépasse la simple commémoration », estime le chef d’état-major des armées, le général François Lecointre, dans un entretien à paraître samedi dans le magazine Famille chrétienne.

Les avions : 64 appareils

53 de l’armée de l’air,

6 de la marine nationale,

2 de la sécurité civile,

3 étrangers.

Les hélicoptères : 30 appareils

18 de l’aviation légère de l’armée de terre,

5 de l’armée de l’air,

2 de la marine nationale,

3 de la gendarmerie nationale,

2 de la sécurité civile.

120 pas par minute

4 290 hommes et femmes. La cadence de base d’une unité qui défile à pied est de 120 pas par minute, soit 88 mètres/minute (5,28 km/h). La légion étrangère a une vitesse plus lente : sa cadence de défilé n’est que de 88 pas/min., soit 66 m/min. (3,96 km/h). Les bataillons de chasseurs alpins ont la cadence la plus rapide de 144 pas/min., soit 99 m/min (5,94 km/h). Toutefois, pour s’intégrer au défilé, ils adoptent la cadence classique de 120 pas/min.

220 véhicules dont 62 motos. Chaque véhicule a une vitesse précise à respecter, aux alentours de 14 km/h, sous peine de causer des écarts disgracieux.

250 chevaux.

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Le déroulé de la journée

Entre 9 h 20 et 9 h 45 : fin de la mise en place des troupes sur le rond-point de l’Etoile et les Champs-Elysées.

Entre 10 heures et 10 h 20 : arrivée du président de la République, accueil par le chef d’état-major des armées, honneurs rendus par le 1er régiment d’infanterie de la garde républicaine.

Entre 10 h 35 et 12 heures : défilé, avec passage des avions à 10 h 35, puis défilé des troupes à l’honneur (10 h 45), des troupes à pied (11 heures), des hélicoptères (11 h 25), des troupes motorisées (11 h 30) puis des troupes montées (11 h 40), avant une animation de clôture (11 h 45) et le départ du président de la République.

L’animation finale se fera en musique, l’orchestre et chœur militaire seront accompagnés par la cantatrice Julie Cherrier, qui interprétera L’Hymne à l’amour et La Marseillaise.

Entre 13 h 30 à 18 heures, sur l’esplanade des Invalides, le public pourra rencontrer les militaires défilant et voir de près leurs matériels – hélicoptères et blindés –, ou encore tester leur endurance au fil d’un parcours du combattant… gonflable. Les volontaires pourront également donner leur sang au profit du centre de transfusion des armées.

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14 juillet 2018

Fête Nationale - Crazy Horse

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14 juillet 2017

Feu d'Artifice 2017 - Paris

14 juillet 2017

Concert de Paris et Feu d'Artifice à Paris

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14 juillet 2017

Trump-Macron : à qui profite le show ? – Source : Libération

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Trump-Macron : à qui profite le show ?

Côté américain

Les relations entre les Etats-Unis de Donald Trump et la France d’Emmanuel Macron ont commencé, lors du G7 en Sicile le 25 mai, par une virile poignée de main. Un bras de fer, même, commenté par les médias internationaux, qui avaient trouvé leur champion : «Il n’a fallu que six secondes à Macron pour prendre Trump à son propre jeu et montrer au monde qu’il y a un nouveau leader sur la scène internationale», assénait Bloomberg.

Avant cela, il y a eu le «Paris n’est plus Paris» martelé par Trump, lors des références fréquentes à son mystérieux «ami Jim» qui n’irait plus en France à cause de l’insécurité et du terrorisme. En face, il y a eu la pichenette du «Make our planet great again» de Macron, pastiche du slogan du candidat républicain et critique explicite de la position de Trump sur le réchauffement, après la sortie des Etats-Unis de l’accord de Paris. Mal parties, les relations franco-américaines ? Alors que le président américain est en France pour deux jours, les deux hommes pourraient cependant s’accorder sur certains sujets.

«Cette visite, c’est l’occasion pour Trump d’atténuer sa rhétorique anti-France, quand il décrivait Paris comme une ville dangereuse, avec des quartiers régis par la charia, note l’écrivain et journaliste Alexander Stille, professeur de politique internationale à l’Université de Columbia (New York). Il s’est beaucoup servi de la France et de la réponse politique française au terrorisme comme d’un repoussoir.» Donald Trump avait tout intérêt à accepter cette invitation d’Emmanuel Macron. Elle offre une diversion bienvenue aux révélations sur les interférences russes dans la campagne américaine (lire pages 6-7), ou aux difficultés des républicains, qui rament à sécuriser une majorité sur l’assurance santé. Le tout pour un événement consensuel et symbolique : assister au défilé militaire du 14 Juillet, et célébrer le centenaire de l’engagement des soldats américains dans la Première Guerre mondiale. «Trump n’a franchement pas besoin de nouveaux ennemis, avance Stille. C’est l’occasion d’une belle photo, de poignées de main et de discours faciles sur la paix et la liberté.»

«Potentiel de déboires»

Comment Donald Trump aurait-il pu refuser ? Selon le Washington Post, c’est même la promesse d’assister au spectacle d’un défilé militaire grandiose - 211 véhicules, 341 cavaliers et 63 avions - qui aurait décidé le président américain, visiblement féru d’uniformes, à venir. «La France est le plus vieil allié des Etats-Unis, rappelle Nicholas Dungan, directeur de recherches à l’Iris et spécialiste de la relation transatlantique. Macron va le promener aux Invalides, le faire dîner à la tour Eiffel, lui montrer les Champs-Elysées et un défilé militaire comme il n’en a jamais vu… L’intérêt pour Macron, qui d’ailleurs n’invite pas Trump en tant que Trump mais en tant que président des Etats-Unis, est clair : s’il arrive à apprivoiser Trump dans une certaine mesure, il limite le potentiel de déboires à venir.»

Les deux hommes sont, à l’évidence, très différents. «Ils ont accédé à la présidence en prônant des visions du monde opposées : Macron est un proeuropéen, partisan du libre-échange, tandis que Trump est pour la fermeture des frontières, "l’Amérique d’abord" et le protectionnisme», déroule la revue Foreign Policy. Mais les parallèles ne manquent pas : personne ne les a vus venir, ils sont novices en politique, issus du secteur privé… L’hebdo conservateur The Washington Examiner en fait même de «bons amis», citant les «longues séquences en privé prévues avec Macron».

Vaseline

Les deux pays entretiennent depuis toujours d’étroites relations dans le renseignement, le terrorisme et le commerce. «Ce sont des intérêts de très long terme, qui dépassent largement les personnalités au pouvoir», remarque Alexander Stille. «Macron et Trump sont parfaitement alignés sur la question syrienne et sur celle du terrorisme», ajoute Dungan. Macron avait d’ailleurs applaudi les frappes de l’administration Trump contre la base aérienne d’Al-Shayrat après l’attaque chimique de Khan Cheikhoun par l’armée de Bachar al-Assad. Au défilé, la poignée de main entre les deux hommes sera en tout cas déterminante «pour rendre sa grandeur à l’Amérique», raille Newsweek, qui a donné quelques conseils à Trump, tels que s’enduire les mains de vaseline. «Idéal pour décontenancer Macron : quand il voudra serrer la main du Président avec son énergie habituelle, il se retrouvera avec une main aussi fuyante qu’un poisson mort. 1-0 pour l’Amérique.»

Côté français

Versailles pour Poutine, les honneurs militaires et «un dîner entre amis» à la tour Eiffel pour Trump. Quand il s’agit de recevoir les croque-mitaines de la scène internationale, Emmanuel Macron ne s’interdit rien. Le timing et le décorum de la visite du président américain se justifient officiellement par le centenaire de l’engagement des Américains dans la Grande Guerre. Quiconque conteste la présence «naturelle», dixit Macron, du magnat de l’immobilier en France, à l’instar de Jean-Luc Mélenchon ou du hollandais Stéphane Le Foll, ne fait qu’alimenter «une polémique un peu indigne», de l’avis du porte-parole du gouvernement, Christophe Castaner.

Concassage

Emmanuel Macron s’est, lui, «étonné» de ces «protestations», rappelant le «partenariat multiséculaire» qui unit les deux puissances. S’il reconnaît des «désaccords» sur le climat (évoqué «très brièvement» a insisté Trump) et le commerce, les deux hommes ont surligné leur «point de convergence essentiel», soit «l’éradication du terrorisme», lors de leur conférence de presse commune jeudi soir. Quitte, dans le cas de Macron, à s’aligner sur la doctrine trumpiste, notamment sur «l’abandon du départ de Bachar al-Assad comme condition préalable à l’intervention de la France» dans les discussions sur la Syrie.

La visite de Trump est surtout «l’occasion de parler des terrains d’intervention extérieure», en Syrie, mais aussi en Libye, explique le ministre des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian. Pour le reste, «il y a une dimension psychologique, presque une manipulation, dans le traitement de Trump par l’Elysée»,remarque la chercheuse Laurence Nardon (Ifri). Il y a d’abord eu, lors du sommet de l’Otan fin mai, ce concassage de phalanges en guise de «moment de vérité», comme l’a qualifié Macron dans le JDD, façon de manifester son «refus de la plus petite concession, même symbolique». Un numéro qui avait ulcéré la Maison Blanche, la presse américaine y voyant même l’une des raisons ayant précipité la sortie du pays des accords de Paris sur le climat. Décision à laquelle Macron avait répondu par son «Make The Planet Great Again», parodie du slogan de campagne trumpiste. Après ces deux épisodes, le président français a opéré un revirement. Lors du sommet du G20, il a multiplié les effusions avec son homologue américain devant les caméras. Jeudi, en sortant de sa limousine aux Invalides, Trump a eu droit à une poignée de main de bon copain et aux bises de Brigitte Macron. Pour le locataire de la Maison Blanche, Macron est désormais «un super président, un dur».

Cour de récré

Dans une première phase, «Macron a cherché à établir son autorité face à Trump le «bully», le petit caïd, comme le surnommait Hillary Clinton, en reprenant ses codes, rappelle Laurence Nardon. Là, nous sommes dans le deuxième temps : Macron veut passer du «bully» au «buddy» [le copain, ndlr]». Une stratégie de cour de récré assumée par Castaner : «Soit on dit «il est pas sympa», on l’aime pas et on lui parle plus», soit on le «ramène dans le cercle». Une diplomatie du «j’humilie puis je cajole» , qui ne convainc pas tous les spécialistes : «Trump est très difficile à raisonner, et travailler avec son administration est extrêmement compliqué car même eux se méfient de lui», rapporte un ex-conseiller de Macron.

Aussi, «Macron risque d’abîmer son capital image en s’affichant avec Trump passant les troupes en revue», analyse Laurence Nardon. Toujours plus isolé, Trump est un actif diplomatique «racheté à la baisse», pour reprendre la formule de l’éditorialiste Bernard Guetta. «Macron prend avantage d’une situation inédite, en bon pragmatique, remarque le politologue Denis Lacorne. Il a compris que si, idéologiquement, quasiment tout l’oppose à Trump, ce dernier admire les «gagnants», et c’est là-dessus qu’il veut jouer.» La conviction d’être un winner, voilà qui parle aux deux hommes.

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  • emmanuelmacron Durant notre histoire, nous avons toujours trouvé des alliés sûrs, des amis, qui sont venus à notre secours.
    Les Etats-Unis d’Amérique sont de ceux-ci. 
    C’est pourquoi, rien ne nous séparera jamais.
    La présence à mes côtés du Président des Etats-Unis, Monsieur Donald Trump et de son épouse, est le signe d’une amitié qui traverse les temps.
    Merci aux États-Unis d’Amérique pour le choix fait il y a cent ans.

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    fn33

  • https://www.pscp.tv/w/1ypJdlbNBrnJW

13 juillet 2017

14 Juillet...Sortez, dansez et vibrez !

Bals, concerts, retraites aux flambeaux, feux d’artifice... Cette année encore, la fête va battre son plein pour le 14-Juillet.

Par  Nicolas Maviel - Le Parisien

Même si la grisaille est toujours bien présente aujourd’hui, les conditions météorologiques devraient être plus clémentes. Ouf, car un bal du 13 juillet (ou du 14) et un feu d’artifice sous la pluie, ça perd de son charme ! Pas facile de danser en bottes et vêtements, ou assister à un festival de couleurs dans la nuit, caché sous un parapluie et emmitouflé dans un manteau.

Qui dit bals, dit forcément pompiers. Ainsi à Paris, mais aussi en Seine-Saint-Denis, dans le Val-de-Marne ou les Hauts-de-Seine les hommes de la BSPP ouvrent leurs casernes (41 au total) pour que chacun vienne célébrer la Fête nationale. Plusieurs milliers de participants sont attendus pour danser, chanter et boire (avec modération bien évidemment) jusqu’au bout de la nuit.

La java dans tout paris

Mais n’ayez crainte, si des pompiers se feront un plaisir, même un devoir, de vous servir de cavaliers et de vous recevoir dans la joie et la bonne humeur, d’autres seront toujours de garde pour veiller sur la population mais aussi au bon déroulement des feux d’artifice. D’ailleurs, c’est l’autre grande attraction de ces deux jours dédiés à la Fête nationale. Pour ceux qui souhaitent fêter la prise de la Bastille à Paris, rendez-vous, au pied de la tour Eiffel (VII e) demain, mais aussi sur le Champ-de-Mars (VII e) et au Trocadéro (XVI e) dès 23 heures, pour le spectacle pyrotechnique en musique (privilégiez les transports en commun). D’autres lieux peuvent vous permettre de passer une soirée avec plein d’éclats de couleurs dans les yeux, sans forcément avoir les « boum boum » dans les oreilles.

De la butte Montmartre (XVIII e), au parc de Belleville (XIX e), en passant par les ponts de la Seine comme celui d’Alma (VII e, VIII e, XVI e), Alexandre-III (VII e-VIII e) ou du pont Neuf (I er), les occasions sont nombreuses d’assister pleinement au spectacle donné sans débourser le moindre centime. Après, il y a aussi les options plus coûteuses mais plus intimistes comme le Perchoir au BHV-Marais (IV e), à l’hôtel Péninsula (XVI e, avenue Kléber) mais aussi en haut de la tour Montparnasse (XV e). Enfin, il est également possible d’assister au festival de la belle bleue et de la belle rouge sur un bateau… La note est toutefois plus salée.

14 juillet

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