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Jours tranquilles à Paris
francois hollande
27 décembre 2014

Philae, le labrador de Hollande, est entré à l’Élysée

Comme nombre de ses prédécesseurs, François Hollande a désormais un chien à l’Élysée : arrivée par avion en provenance de Montréal jeudi, Philae, une jeune femelle labrador noire âgée de près de trois mois, a fait son apparition le jour de Noël au palais présidentiel. C’est la fédération des Anciens combattants français de Montréal qui a proposé ce cadeau au Président. Une façon de le remercier pour les commémorations des deux guerres mondiales qui ont jalonné 2014 et pendant lesquelles François Hollande a largement mis à l’honneur les vétérans canadiens. Le président de la République a décidé d’appeler la petite chienne Philae, en référence au robot européen qui s’est posé sur la comète Tchouri, le 12 novembre.

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9 décembre 2014

François Hollande a encore une chance de réussir

Le retour en grâce de François Hollande dans l’opinion passerait par une baisse « significative » du chômage et, à un degré moindre, par une hausse du pouvoir d’achat et une diminution « sensible » des impôts, selon un sondage Ifop pour le Journal du dimanche . Dans ce même JDD , Jean-Christophe Cambadélis s’est dit confiant dans le fait que, pour François Hollande, qui « a beaucoup semé » depuis 2012, « la récolte viendra à point nommé ». À la question « François Hollande peutil s’en sortir ? », le premier secrétaire du PS a répondu qu’il « s’en sort. Petit à petit, les réformes passent, s’installent sous les lazzis, les critiques, les quolibets ».

7 décembre 2014

François Hollande en chapka

22 novembre 2014

Hollande honore Chirac, Bernadette ignore Juppé

François Hollande a rendu un hommage appuyé à Jacques Chirac à l’occasion de la remise du prix de la Fondation Chirac, hier, au musée du quai Branly, à Paris. Diminué par la maladie, la main sur l’épaule de son garde du corps, M. Chirac, qui aura 82 ans le 29 novembre, est arrivé sous les applaudissements de la salle. Dans son discours, M. Hollande a affirmé son « respect » pour l’ancien président. Devant les caméras, l’épouse de Jacques Chirac, soutien inconditionnel de Nicolas Sarkozy dans la compétition pour 2017, a ostensiblement omis de serrer la main d’Alain Juppé. Bernadette Chirac a toutefois applaudi le discours de l’ex-Premier ministre, entamé par un « chère Bernadette » appuyé. La Fondation Chirac a récompensé l’association Clowns sans frontières et la militante tunisienne des droits de l’Homme Amira Yahyaoui.

 

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6 novembre 2014

Hollande lance la seconde partie de son quinquennat

Le chef de l’État tentera de défendre son bilan à mi-mandat, ce soir, lors d’une émission spéciale sur TF1 et RTL . Il devrait annoncer de « nouveaux chantiers ».

Au plus bas dans les sondages, François Hollande cherche à renouer un lien direct avec les électeurs. Après France 2 , en 2013, il a opté pour un média privé et populaire. Il répondra en direct aux questions de trois journalistes – Gilles Bouleau et Thierry Demaizière ( TF1 ), avec la participation d’Yves Calvi ( RTL ) – et de quatre Français « qui incarnent chacun les grandes questions liées à la crise », selon TF1 . L’émission aura lieu dans un studio de la plaine Saint-Denis, loin des dorures de l’Élysée. Une nouveauté : François Hollande répondra ensuite à cinq questions d’internautes posées sur le site de la chaîne. Cet exercice

« face aux Français »

doit permettre au chef de l’État de retrouver cette proximité qu’il prétendait incarner lors de son élection. Sur le fond, le Président évoquera la politique de la ville, les jeunes, les crispations de la société et s’emploiera à donner du sens aux efforts réclamés aux Français. Quel sera l’impact de l’émission ? Assez limité, prévoient déjà les observateurs. François Hollande réussira peut-être à corriger son image, mais il aura du mal à contrebalancer ses mauvais résultats économiques. Englué dans une impopularité sans précédent, il lui faut désormais trouver la bonne formule pour tenter de rebondir et donner du sens à la seconde moitié du quinquennat. D’après son entourage, le chef de l’État

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28 octobre 2014

François Hollande chahuté par deux Femen

19 septembre 2014

La Presse en parle...

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14 septembre 2014

Un "Mistral" russe sort en mer à Saint-Nazaire

Malgré le feu rouge de l'Elysée à la vente de deux navires de guerre de type "Mistral" à la Russie, le premier bâtiment de type "Mistral" construit à Saint-Nazaire est sorti cette nuit avec des marins russe pour effectuer des essais en mer.

Sa masse grise a défilé lentement devant les quais de Saint-Nazaire, dans le soleil levant. Le "Vladivostok", premier des deux BPC (bâtiments de projection et de commandement) de type "Mistral" que la France a construit pour la Russie a appareillé de Saint-Nazaire ce samedi matin, à 3h30, avant de stationner jusqu'à 7h20 dans la forme-écluse Joubert, à attendre que l'eau soit suffisement haute pour qu'il gagne la pleine mer.

10 jours d'essais en mer

A son bord et pour la première fois, environ 200 des 400 marins russes venus en prendre livraison, installés depuis début juillet à l'embouchure de la Loire. Le Vladivostok doit sortir pour une session d'essais en mer d'une dizaine de jours, avec un programme d'exercices pratiques pour tester ses systèmes et former son équipage. Il reviendra à quai le 22 septembre, pour repartir ensuite jusqu'au 2 octobre.

"Problème technique"

Ces essais en mer, prévus au programme, ont été suspendus pendant quelques jours pour un "problème technique", indique à l'agence de presse Reuters une source proche du dossier, sans rapport, précise-t-elle, avec le contexte politique. Pourtant, l'annonce est tombée alors que partisans et opposants à la vente manifestaient au pied du navire. Les seconds redoutant une évasion pendant les essais en mer. Ils évoquaient l'affaire des "vedettes de Cherbourg", qu'Israël avait détourné dans la nuit de Noël 1969, malgré l'embargo qui frappait l'Etat hébreux pendant la Guerre des Six Jours.

Cette fois, le morceau est tout de même beaucoup plus gros et l'Elysée n'a pas mis de veto définitif à la vente. François Hollande a pris soin de laisser la porte ouverte à l'exécution du contrat si la situation en Ukraine s'améliore. La livraison est en théorie prévue en novembre et d'ici là, le programme se poursuit comme si de rien n'était. Les salariés des chantiers navals STX craignent surtout l'annulation de la construction - en cours - du second navire, le Sebastopol. D'après leurs calculs, une telle hypothèse mettrait 300 salariés au chômage technique et ferait des dégâts chez les sous-traitant. Article de Grégoire Lecalot. Site France Info.

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6 septembre 2014

Quelles sont les conditions de la France pour livrer les Mistral à la Russie

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Paris souhaite un cessez-le-feu appliqué et un accord mettant fin aux conflit entre Ukrainiens et Russes. "La France veut forcer à l'accord de paix" en Ukraine, selon un membre du gouvernement français.

Quelles sont les conditions pour une livraison par la France à la Russie du Bâtiment de projection et de commandement (BPC) de la classe Mistral à la Russie ? Paris souhaite un cessez-le-feu appliqué et un accord mettant fin au conflit entre Ukrainiens et Russes, a expliqué ce jeudi le ministère français des Affaires étrangères. La présidence française a annoncé mercredi la suspension de la livraison du premier de deux porte-hélicoptères  vendus par le groupe naval DCNS à la marine russe, au motif que les "conditions" pour qu'elle se réalise n'étaient pas remplies. "La France veut forcer à l'accord de paix" en Ukraine, a expliqué sur Radio France Internationale le secrétaire d'Etat auprès du Premier ministre, chargé de la Réforme de l'Etat et de la Simplification, Thierry Mandon.

Interrogé lors d'un point-presse pour savoir quelles étaient ces conditions, le porte-parole du Quai d'Orsay, Romain Nadal, a répondu : "Il faut que le cessez-le-feu qui peut-être s'esquisse- la France y est naturellement très favorable - s'applique". Et puis, a-t-il ajouté, citant le chef de la diplomatie Laurent Fabius, il faut "que l'on trouve un accord politique pour qu'il n'y ait pas d'affrontements entre l'Ukraine et la Russie, soit directement, soit par personnes interposées". "Ces conditions ne sont pas réunies à l'heure actuelle, et nous souhaitons qu'elles puissent l'être à l'avenir", a précisé le porte-parole.

Pas une annulation

"Ce contrat n'est pas suspendu ni rompu mais la livraison du bateau sera fonction de ce qui va se passer dans les prochaines semaines. Il est important d'envoyer ce message clair parce que nous voulons qu'il y ait une issue", a expliqué ce jeudi François Hollande lors du sommet de l'Otan à Newport, au Pays de Galles, en présence du président ukrainien Petro Porochenko. "Il ne s'agit pas d'une décision définitive puisque la livraison est prévue le 1er novembre, quatre ans jour pour jour après la signature", a précisé une source diplomatique. Le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, espère que les conditions pour une livraison soient réunies à l'avenir si Moscou s'engage dans une désescalade en Ukraine.

Le président français a par ailleurs déclaré que l'Union européenne prendrait sa décision sur la mise en œuvre de nouvelles sanctions contre Moscou au regard de l'évolution sur le terrain "dans les prochaines heures". "On va demain, au Conseil européen réuni au niveau des ambassadeurs, annoncer des sanctions et les mettre en œuvre s'il n'y avait pas de progrès. Mais tout va dépendre de ces prochaines heures", a-t-il dit.

La Russie critique l'alignement de la France sur les États-Unis

La Russie est convaincue que la France honorera le contrat concernant la livraison de porte-hélicoptères, a déclaré le ministre de l'Industrie, Denis Mantourov, cité jeudi par l'agence de presse Interfax. "La Russie suppose que le contrat sera rempli conformément aux accords", a-t-il estimé.

Cette décision a été toutefois critiquée par des responsables russes, qui y ont vu un alignement de la politique de Paris sur celle de Washington. "Où est passée l'époque où la France ne cédait pas à la pression des États-Unis, sur l'Irak par exemple ?", a écrit la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, sur sa page Facebook. "La réputation de la France en tant que partenaire fiable qui respecte ses obligations contractuelles a été sacrifiée sur l'autel des ambitions politiques américaines", a-t-elle précisé.

Moscou a dans le même temps cherché à minimiser l'impact de la décision du président François Hollande, en faisant valoir que le France en subirait davantage les conséquences économiques que la Russie. "Si le contrat est rompu unilatéralement, l'argent devra être rendu à la Russie et des amendes et pénalités devront être payées", a déclaré Oleg Botchkariov, vice-président de la commission militaro-industrielle du gouvernement, cité par Interfax. Paris aurait du mal à trouver un autre acheteur car le Mistral a été construit en fonction des demandes russes et avec un équipement russe, a-t-il précisé. "Si le contrat est rompu, ce sera plus un casse-tête pour les Français que pour nous", a-t-il insisté. Ce qui n'est pas faux...

Le travail continue à Saint-Nazaire

La suspension de la livraison du premier des deux navires Mistral construits aux chantiers STX de Saint-Nazaire pour la Russie n'affecte pas la vie des chantiers navals, a affirmé jeudi le maire de la ville, tandis que se poursuivait l'assemblage du deuxième bâtiment. "Les contrats sont toujours en cours, le président me l'a confirmé", a déclaré à la presse le maire PS de Saint-Nazaire, David Samzun, qui a eu François Hollande au téléphone mercredi soir.

"La vie des contrats va se poursuivre, les essais en mer dans quelques jours" pour le premier navire, le Vladivostok, "et la poursuite de la construction du second navire qui est cours", a--t-il expliqué. La construction du premier BPC est achevée pour STX France. Le navire est prêt à être livré à DCNS. Le deuxième BPC, le "Sébastopol", a été assemblé cet été : le tronçon arrière, fabriqué à Saint-Pétersbourg, a été rattaché au tronçon avant, réalisé à Saint-Nazaire. Selon la CFDT, "il reste environ un an de travail pour achever le montage et l'armement de ce navire. Environ 300 à 400 personnes, dont beaucoup de sous-traitants de STX, sont concernées".

Et les marins russes se forment

Selon l'AFP, les marins russes, arrivés depuis quelques semaines à Saint-Nazaire,  continuaient jeudi leur formation chez STX sur le premier BPC. D'ici à la livraison du Vladivostok , 400 marins russes, qui représentent les équipages des deux navires, se  forment à leurs maniement. Le Sébastopol est réalisé à plus de 50 % et doit être livré un an plus tard. Le montant du contrat, signé en 2011 sous la présidence de Nicolas Sarkozy, s'élève à 1,2 milliard d'euros.

"Si malheureusement la situation internationale continuait à se dégrader, bien évidemment la livraison de ces navires ne serait plus envisageable" et "dans ce cas, la solidarité nationale et même européenne devrait intervenir pour que notre bassin d'emploi ne souffre en aucune manière sur le plan économique et donc social", a précisé le maire de Saint-Nazaire, David Samzun. Source : site La Tribune.

4 septembre 2014

Paris met le holà à la livraison des BPC russes

La France a annoncé, mercredi, qu’elle suspendait pour l’instant la livraison du premier porte-hélicoptères de type Mistral à la Russie. Le bateau est actuellement en cours d’essais à Saint-Nazaire.

Impact sur le chantier ?

L’intransigeance russe et la duplicité de Vladimir Poutine, les pressions américaines (les États-Unis avaient une nouvelle fois, mercredi, regretté la vente par la France de ces navires de guerre à la Russie) mais aussi européennes et baltes, ainsi que la probable imposition de nouvelles sanctions économiques visant la Russie ont convaincu le gouvernement français d’envisager un report de la livraison du BPC Vladivostok en cours d’essais à Saint-Nazaire. Le contrat avec la Russie, portant sur deux porte-hélicoptères, a été signé en 2011 pour 1,2 milliard d’euros. Le premier navire doit être livré tout début novembre et deux équipages russes (400 marins) sont actuellement en cours de formation dans le port de Loire-Atlantique. DCNS (l’interlocuteur industriel des Russes) et STX (le chantier nazairien qui construit les navires) se sont refusés, hier soir, à tout commentaire. Mais dans ces entreprises et chez leurs sous-traitants (comme DCI qui assure la formation des 400 marins russes), on estime que le chantier du deuxième BPC ne devrait pas être impacté dans l’immédiat et que les prochains essais à la mer du premier BPC auront bien lieu du 10 au 19 septembre. Le syndicat FO est en revanche moins serein :« Si l’annonce du Président se concluait par l’arrêt de la construction, des centaines d’emplois seraient mis en difficulté, aussi bien chez STX que chez les soustraitants. C’est inacceptable, intolérable ».

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