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Jours tranquilles à Paris
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23 janvier 2013

Cinquantenaire du Traité de l'Elysée

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20 janvier 2013

Laurent Fabius Ministre des Affaires étrangères

"Face au terrorisme, il faut être implacable. (...) Il faut avoir à l'esprit que les terroristes, très nombreux, qui ont attaqué ce dépôt gazier sont des tueurs. Ils pillent, ils violent, ils saccagent."

Interrogé ce matin sur Europe1 sur l'intervention des forces spéciales algériennes à In Amenas, le chef de la diplomatie française a indiqué qu'il partageait le point de vue de François Hollande

16 janvier 2013

Voeux à la Presse

François Hollande doit prononcer aujourd'hui ses premiers vœux à la presse. L'occasion pour Le Figaro de revenir sur cet exercice de style que chacun des présidents de la Ve République a dû s'approprier. 

13 janvier 2013

Le plan Vigipirate renforcé

Dans une courte allocution consacrée à l’intervention française au Mali, le président François Hollande a annoncé samedi avoir demandé au Premier ministre Jean-Marc Ayrault un renforcement, "dans les meilleurs délais", du plan Vigipirate.

François Hollande a annoncé avoir demandé au Premier ministre Jean-Marc Ayrault un renforcement, "dans les meilleurs délais", du plan Vigipirate actuellement au niveau de vigilance "rouge". Alors que la France est actuellement engagée militairement au Mali contre des groupes islamistes armés, il faut "prendre toutes les précautions nécessaires ici" face à la menace terroriste, et faire "procéder à la surveillance de nos bâtiments publics et de nos infrastructures de transport", a expliqué le chef de l'Etat.

"Le degré de vigilance du plan Vigipirate reste, à ce stade, au niveau rouge. Plusieurs mesures sont cependant renforcées immédiatement", a indiqué samedi dans la soirée Matignon dans un communiqué. "Ces mesures concernent tout particulièrement les transports publics notamment ferroviaires et aériens, la sécurité des bâtiments recevant du public, la sécurité des rassemblements de personnes." Et de poursuivre : "Le Premier ministre a donné instruction à l’ensemble des ministres concernés pour une mise en application sans délai de ces dispositions", peut-on lire.

12 janvier 2013

Terrorisme : au Mali, la France entre en guerre

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La une de Libération ce matin

 

Le président de la République, François Hollande, a confirmé hier vendredi 11 janvier, que la France était engagée aux côtés des troupes gouvernementales maliennes pour mener une contre-offensive destinée à chasser les troupes islamistes armées qui menacent de fondre sur la capitale Bamako. Que sait-on vraiment ?

Pourquoi la France intervient ?

"Il en va donc aujourd'hui de l'existence même de cet Etat ami, le Mali". Lors d'une courte allocution télévisée, François Hollande a confirmé que la France apportait depuis vendredi une aide militaire à l'armée malienne pour repousser les groupes islamistes armés. Le chef de l'Etat considère que la poussée jihadiste vers le sud du pays nécessite une riposte rapide et déterminée. "Les forces armées françaises ont apporté cet après-midi leur soutien aux unités maliennes pour lutter contre les éléments terroristes", a annoncé le chef de l'Etat, en réponse "à la demande d'aide du président du Mali, appuyé par les pays africains de l'ouest". Cette opération, a ajouté le chef de l'Etat, "durera le temps nécessaire", pour repousser les combattants islamistes, assurer la sécurité de la population malienne et celle des 6.000 ressortissants français présents dans le pays. Mais le président français n'a pas précisé quelles étaient la nature et l'ampleur des forces françaises déployées au Mali contre les groupes islamistes armés, parmi lesquels Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), qui contrôlent le nord du Mali.

Quel rôle sur le terrain ?

Y a-t-il eu une intervention aérienne de la France ? Dans la soirée, le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, a confirmé que l'aviation aérienne française avait été saisie "d'une demande d'appui aérien et militaire" par le Mali. "Les troupes maliennes sont là. Elles ont demandé l'appui de la France. La Cédéao aussi. L'Union Africaine a demandé cet appui. Mais actuellement ce sont les Français qui sont en soutien des troupes maliennes", a ajouté le chef de la Diplomatie.

Dans quel cadre la France agit-elle ?

Paris, qui plaidait pour une intervention d'une force africaine avec le soutien de la France et de la communauté internationale, a décidé de s'engager directement pour stopper l'avancée islamiste. Mais François Hollande l'assure : la France agit "strictement" dans le cadre des résolutions de l'ONU. La décision d'intervenir, selon le président Hollande, a été prise vendredi matin "dans le cadre de la légalité internationale", et "en accord avec le président malien Dioncounda Traoré". Dans une déclaration unanime, le Conseil de sécurité de l'ONU avait demandé jeudi soir un "déploiement rapide" de la force internationale prévue au Mali mais dont l'intervention devait prendre des mois.

Les Etats-Unis, le Royaume-Uni et Berlin derrière la France

Washington, Londres et Berlin approuvent l'intervention française. Le Royaume-Uni "soutient la décision française d'apporter une assistance au gouvernement malien face aux rebelles", a déclaré vendredi le ministre britannique des Affaires étrangères, William Hague, sur son compte Twitter. Il s'agit "seulement d'un soutien politique", a cependant indiqué une source gouvernementale britannique. Même approbation de l'autre côté du Rhin où le ministre allemand des Affaires étrangères Guido Westerwelle a souligné que Paris "agi à la demande" de Bamako, selon un communiqué. "La France agit à la demande du gouvernement malien. La France agit sur la base du (droit international)", a réagi le chef de la diplomatie allemande après l'intervention télévisée du président français François Hollande. Aux Etats-Unis, la Maison Blanche a affirmé qu'elle partageait les objectifs de la France au Mali. "Nous avons pris note du fait que le gouvernement malien avait demandé de l'aide, et nous partageons l'objectif français d'empêcher des terroristes de bénéficier d'un sanctuaire dans la région", a déclaré Tommy Vietor, porte-parole du Conseil de sécurité nationale.

Et les Otages ?

Les familles des 8 otages français retenus au Sahel craignent que l'intervention militaire de la France ne fasse courir un danger pour leur vie. Mais Paris se veut confiant : la France fera "tout pour sauver" ses otages au Mali, a réaffirmé ce vendredi soir le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius. "Ces sont les mêmes groupes qui sont à la fois les preneurs d'otages et les groupes terroristes qui descendent vers le sud du pays", a précisé le chef de la diplomatie française. "En empêchant la progression des groupes terroristes vers le sud, en leur répondant de façon ferme, nous pensons que c'est la même cause que nous servons pour libérer nos otages", a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse organisée peu après l'annonce présidentiel de François Hollande. A plusieurs reprises, les ravisseurs ont menacé de tuer leurs otages en cas d'intervention militaire française au Mali.

Le Parlement consulté, Ayrault va recevoir

Les différentes forces politiques françaises seront consultées en début de semaine prochaine sur la situation au Mali. Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault recevra lundi "l'ensemble des responsables politiques", a annoncé dans la soirée le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius. "Le Premier ministre recevra lundi avec le ministre de la Défense et moi-même l'ensemble des responsables politiques", a indiqué le chef de la diplomatie lors d'une conférence de presse. "Le Parlement pourra nous entendre" à son gré, a-t-il ajouté, indiquant que la commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale a évoqué la date de mercredi pour une telle audition. Le président Hollande a par ailleurs indiqué que "le Parlement sera saisi dès lundi" de cette décision.

Soutien quasi-unanime de la classe politique française

Droite et gauche font front commun... ou presque. A l'UMP, Jean-François Copé et François Fillon ont approuvé la décision présidentielle. "Il était grand temps d'agir" pour "entraver l'établissement d'un Etat narcoterroriste", a déclaré Jean-François Copé dans un communiqué, tandis que, pour François Fillon, "la lutte contre le terrorisme exige l'unité de la Nation au-delà des clivages partisans". Si Marine Le Pen et le PS ont également apporté leur soutien, ce n'est pas le cas de Jean-Luc Mélenchon, qui juge "discutable" une telle initiative. Source : Le Nouvel Observateur - G.S avec AFP

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7 janvier 2013

François Hollande souhaite que les anciens chefs de l'Etat ne soient plus automatiquement membres du Conseil Constitutionnel

Les anciens présidents de la République ne seront plus automatiquement membres du Conseil Constitutionnel à l'issue de leur mandat. François Hollande a annoncé lundi 7 janvier vouloir supprimer le titre de membre de droit du Conseil Constitutionnel accordé aux anciens chefs de l'Etat, reprenant ainsi une préconisation du rapport Jospin sur la modernisation de la vie politique publié à l'automne.

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La porte d'entrée du Conseil Constitutionnel

3 janvier 2013

François Hollande au premier Conseil des Ministres 2013

"Un gouvernement, ce n'est pas une addition d'individualités, c'est un ensemble qui a son identité, son image, sa personnalité. Et aussi son chef. C'est ainsi que vous devez agir. En équipe."

C'est le message adressé par le chef de l'Etat au gouvernement lors du premier Conseil des ministres de 2013, selon son discours transmis à la presse. François Hollande a également formulé "trois voeux", ou "trois objectifs" : "Inverser la courbe du chômage d'ici la fin de l'année", "préparer l'avenir" via "une stratégie d'investissements, publics comme privés" et enfin "mettre la jeunesse au coeur de nos priorités".

31 décembre 2012

Les Voeux du Président de la République pour 2013

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François Hollande a consacré l'essentiel des ses premiers voeux de président de la République à la situation économique et au chômage, à un moment où les chiffres des demandeurs d'emploi atteignent des sommets.

"Toutes nos forces seront tendues vers un seul but: inverser la courbe du chômage d'ici un an. Nous devrons y parvenir coûte que coûte", a dit le chef de l'Etat, lors d'une allocution d'une dizaine de minutes, enregistrée dans l'après-midi. Il a notamment évoqué à cet effet les négociations en cours entre les partenaires sociaux - négociations qui devront concilier les désirs de sécurité des employés et de souplesse des employeurs. Si un accord n'intervient pas dans les délais fixés, le chef de l'Etat "assumera" les réformes nécessaires.

Autres sujets abordés, les réformes sociétales, au premier rang desquelles le "mariage pour tous", le non-cumul des mandats et l'aménagement de la fin de vie, qui devront aboutir dans l'année.

Enfin, la présence internationale de la France, réduite à un satisfecit: le départ des troupes françaises d'Afghanistan, dont il a salué "le courage" et tenu à rappeler qu'elles avaient payé un lourd tribu à la paix, 88 morts dont il a rappelé le souvenir - comme il a rappelé que des Français étaient encore retenus en otage en Afrique. Source : AFP

Voir le site de la Présidence

20 décembre 2012

François Hollande en Algérie

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17 novembre 2012

SYRIE : une coalition unie contre Bachar al-Assad

Le Président a reçu le chef de la Coalition de l’opposition syrienne, Cheikh Ahmad Moaz al-Khatib

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