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Jours tranquilles à Paris
francois hollande
27 juin 2012

Aung San Suu Kyi est à Paris

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Voir mes précédents billets sur Aung San Suu Kyi en cliquant ICI

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14 juin 2012

Scène de ménage...

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13 juin 2012

Twitter bouscule la vie politique (et privée) du couple présidentiel

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Le dessin de Plantu dans le Monde de cet après-midi

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La saga Trierweiler sur Twitter continue ce mercredi. Un message lapidaire, composé d'un lien, a été posté en fin d'après-midi sur le compte de la compagne de François Hollande. Mais peu avant 19h, celle-ci a affirmé que son compte avait été "apparemment piraté".

Le lien renvoyait vers un article de Rue 89 qui expliquait que Valérie Trierweiler avait demandé le retrait de photos publiée sur "le Monde". Il s'agissait de clichés pris lors de la séance photo officielle de François Hollande avec Raymond Depardon. Sur deux d'entre eux, la première dame apparaît dans le coin droit du cadre, loin dans le fond. Elle a été "ulcérée" que ces photos soient publiées sans son accord. Choquée par cette demande, la rédaction du "Monde" ne les a pas retirées de son site.

La rédaction de "Voici" affirme que l'entourage de Trierweiler a contacté le journal pour démentir les infos du "Monde". Elle n'aurait pas demandé le retrait de ces photos. Pourtant la rédaction du journal du soir maintient bien avoir reçu un coup de fil agacé de la première dame. Et lui conseille même, dans son éditorial, d'arrêter de tweeter.

13 juin 2012

Le tweet de Valérie Trierweiler trouble la presse

Le soutien de Valérie Trierweiler à l'adversaire socialiste dissident de Ségolène Royal à La Rochelle est considéré par les éditorialistes de la presse mercredi comme un "règlement de comptes" entre femmes et le "premier couac de la présidence normale" de François Hollande.

"Avec Cécilia, puis Carla Sarkozy, on avait connu l'Élysée bling-bling. Avec Valérie Trierweiler, voilà l'Élysée bourre-pif", écrit Patrick Fluckiger dans "L'Alsace".

Selon lui, la passe d'armes entre la nouvelle compagne du président et sa devancière "détruit, en quelques lignes, des mois d'efforts de François Hollande pour apparaître fort, serein et rassurant".

Règlement de comptes entre femmes ?

Pour Bruno Bécard de "La Nouvelle République du Centre-Ouest", le compte Twitter n'est pas "le léger gazouillis frais et innocent d'un moineau au printemps. C'est un Scud adressé par Valérie Trierweiler à Ségolène Royal".

Un Scud qui a des "allures de règlements de comptes", ajoute Daniel Ruiz dans "La Montagne", et qui est "l'illustration du niveau zéro de la politique et cause grand tort à celui qui aspire à la simplicité".

Patrice Chabanet du "Journal de la Haute-Marne" estime que la prise de position de la compagne du président de la République fait entrer "le fiel des inimitiés personnelles entre femmes dans le chaudron politique", ce qui affaiblit "forcément François Hollande en rallumant un doute épais sur sa capacité à contrôler la situation".

Barrière floue entre vie privée et vie publique

Le tweet de soutien au dissident Olivier Falorni a ceci de "déprimant qu'il nous ramène à certains errements du sarkozysme", affirme Paul Quinio dans "Libération" pour qui "le mélange des genres entre vie privée et vie publique revient par la fenêtre".

Pour Bruno Dive de "Sud-Ouest", il s'agit là d'"un vaudeville, premier couac de la présidence normale". "On croyait en avoir fini du mélange sulfureux entre politique et vie privée après les débuts de la présidence Sarkozy, et voilà que ça recommence !", s'exclame-t-il.

Rémi Godeau dans "l'Est Républicain" souligne que François Hollande prétendait "s'affranchir des pratiques de son prédécesseur" et que le voilà pris "en flagrant délit de franchissement de ligne public-privé".

"Drôle d'image qui nous est offerte d'un président pris en sandwich entre deux femmes de caractère", constate Philippe Waucampt dans "Le Républicain Lorrain". Une "rivalité publique", d'après l'éditorialiste, qui semble accréditer "la réputation de flou" que Martine Aubry voulait "épingler au revers de François Hollande lors de la primaire socialiste".

Qualifiant ce tweet de "venin", Hervé Chabaud dans "L'Union/L'Ardennais" précise que la compagne de François Hollande, en s'en prenant à la mère des enfants du chef de l'Etat garantit "le buzz dense de cynisme et d'ironie". Source : Le Nouvel Observateur avec AFP

12 juin 2012

Un vaudeville à la tête de l'Etat !

« L’affaire » Valérie Trierweiler-Olivier Falorni- Ségolène Royal (lire ici), commence a faire chauffer les esprits à gauche… D’autant plus que François Hollande vient d’apporter publiquement son soutien à son ex-femme Ségolène Royal.

Vu dans Le Parisien :
« Première dame ou pas, elle n’a rien à dire là-dessus. Ce n’est pas une question politique, c’est une question de civilité. Sa démarche est inutile et pas bien du tout », ajoutant que les sorties de Madame Valérie Trierweiler sur son rôle public commençait à lui taper sur les nerfs…

 Cohn-Bendit :
« Ce sont des choses qui ne se font pas ! Il n’y a pas à parler d’indépendance là, c’est un coup indécent. Royal est la mère des quatre enfants de Hollande. Que Valérie Trierweiler ne l’oublie pas, Il faut avoir la décence, au moins, de ne pas égratigner celle qui est la mère des enfants de son compagnon François Hollande. Je le répète, c’est indécent de sa part ».
Bonjour l’ambiance…

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Sur son compte Twitter, la « Première dame de France », Valérie Trierweiler apporte son soutien à Olivier Falorni (PS- ennemi juré de Ségolène #Royal), adversaire de Ségolène Royal dans la circonscription de La Rochelle.

Voici le Tweet de Valérie Trierweiler :

« Courage à Olivier Falorni qui n’a pas démérité, qui se bat aux côtés des Rochelais depuis tant d’années dans un engagement désintéressé », écrit la Première dame sur son compte Twitter ».

Pourtant, la majorité des responsables du PS soutiennent Ségolène Royal dont Martine Aubry en tête venue spécialement à La Rochelle aidée S. Royal.

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12 juin 2012

Vu dans la rue...

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5 juin 2012

La photo officielle du Président de la République - le making of

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5 juin 2012

La photo officielle du Président de la République

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30 mai 2012

"Moi, Président"

"Moi, président de la République, je ne serai pas le chef de la majorité, je ne recevrai pas les parlementaires de la majorité à l'Elysée. Moi, président de la République, je ne traiterai pas mon Premier ministre de collaborateur.Moi, président de la République, je ne participerai pas à des collectes de fond pour mon propre parti dans un hôtel parisien. Moi, président de la République, je ferai fonctionner la justice de manière indépendante, je ne nommerai pas les membres du parquet alors que l'avis du Conseil Supérieur de la Magistrature n'a pas été dans ce sens. Moi, président de la République, je n'aurai pas la prétention de nommer les présidents des chaînes publiques, je laisserai ça à des instances indépendantes. Moi, président de la République, je ferai en sorte que mon comportement soit à chaque instant exemplaire. 

Moi, président de la République, j'aurai aussi à coeur de ne pas avoir de statut pénal du chef de l'Etat, je le ferai réformer de façon à ce que si des actes antérieures à ma prise de fonction venaient à être contestés je puisse dans certaines conditions me rendre à la convocation de tel ou tel magistrat ou m'expliquer devant un certain nombre d'instances. Moi, président de la République, je constituerai un gouvernement qui sera paritaire, autant de femmes que d'hommes. Moi, président de la République, il y aura un code de déontologie pour les ministres qui ne pourraient pas rentrer dans un conflit d'intérêt. Moi, président de la République, les ministres ne pourraient pas cumuler leurs fonctions avec un mandat local parce que je considère qu'ils devraient se consacrer pleinement à leurs tâches. Moi, président de la République, je ferai un acte de décentralisation parce que je pense que les collectivités locales ont besoin d'un nouveau souffle, de nouvelles compétences, de nouvelles libertés. 

Moi, président de la République, je ferai en sorte que les partenaires sociaux puissent être considérés aussi bien les organisations professionnelles que les syndicats et que nous puissions avoir régulièrement des discussions pour savoir ce qui relève de la loi, ce qui relève de la négociation. Moi, président de la République, j'engagerai de grands débats, on a évoqué celui de l'énergie. Et il est légitime qu'il puisse y avoir sur ces thèmes là de grands débats. Moi, président de la République, j'introduirai la représentation proportionnelle pour les élections législatives pour celles de 2017 car je pense qu'il est bon que l'ensemble des sensibilités politiques soient représentées. 

Moi, président de la République, j'essaierai d'avoir de la hauteur de vue pour fixer les grandes orientations, les grandes impulsions mais en même temps je ne m'occuperai pas de tout et j'aurai toujours le souci de la proximité avec les Français."

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30 mai 2012

Le photographe Raymond Depardon auteur du portrait officiel de François Hollande

Le portrait officiel de François Hollande en tant que président de la République a été réalisé par Raymond Depardon. "La photo a été prise ce matin [le 29 mai]", écrit Libération. Europe 1 avait rapporté le choix du photographe français quelques heures avant. Une information confirmée par l'Elysée, selon Renaud Revel, journaliste à L'Express. La radio rappelle que le photographe avait confié il y a quelques semaines qu'il n'était pas "tellement un portraitiste". Mais il avait indiqué qu'il accepterait de faire ce cliché du nouveau président si on le lui demandait.

Quel décor pour ce portrait qui, comme le veut la coutume (et non pas l'obligation), trônera dans toutes les mairies ? D'après Libération, Hollande a choisi, comme l'avait fait Chirac, de poser dans les jardins de l'Elysée. Pourtant, Depardon avait fait savoir qu'il préférait l'emblématique bibliothèque de l'Elysée.

Deux autres noms circulaient pour réaliser le cliché présidentiel : celui de Stéphane Ruet, photographe au quotidien Libération qui prépare un livre de photos sur la campagne présidentielle de François Hollande, et celui de Marc Chaumeil, également auteur d'un recueil de clichés sur le nouveau président, selon Le Parisien. Source : FTVi

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Les photographes des autres présidents

Avant Raymond Depardon pour François Hollande, plusieurs photographes plus ou moins célèbres avaient été choisis pour faire le portrait officiel des présidents de la Ve République :

- Charles De Gaulle (1958) : Jean-Marie Marcel, alors à la retraite, a immortalisé le premier président de la Ve République arborant la panoplie complète du chef de l'Etat, dans la bibliothèque de l'Elysée.

- Georges Pompidou (1969) : François Pages, reporter à Paris-Match - il avait couvert notamment le conflit en Algérie à la fin des années 1950 - a également photographié le président dans la bibliothèque.

- Valéry Giscard d'Estaing (1974) fait appel à un grand nom de la photographie, Jacques-Henri Lartigue, qui rompt avec l'esthétique classique. Il fixe l'image du "candidat de la modernité" devant un drapeau français en mouvement, regardant les Français dans les yeux et esquissant un léger sourire.

- François Mitterrand (1981) choisit Gisèle Freund, âgée alors de 87 ans et portraitiste de grands écrivains (André Malraux, Jean-Paul Sartre, Marguerite Yourcenar, Samuel Beckett). Elle semble l'avoir surpris en pleine lecture ("Les Essais" de Montaigne) dans la bibliothèque de l'Elysée.

- Jacques Chirac (1995) fait un choix audacieux, Bettina Rheims, réputée pour ses nus provocants de strip-teaseuses ou de jeunes androgynes. Pour la première fois, le chef de l'Etat est photographié à l'extérieur, les mains dans le dos, les jardins de l'Elysée en arrière plan.

- Nicolas Sarkozy (2007) : Philippe Warrin, connu pour ses clichés de stars, avait réalisé l'affiche "Ensemble tout devient possible" du candidat. Pour le cliché officiel, réalisé en 20 minutes, Nicolas Sarkozy retrouve le cadre de la bibliothèque élyséenne, posant debout près des drapeaux français et européen.

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