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Jours tranquilles à Paris
le parisien
23 mai 2020

Le Parisien du 23 mai 2020

parisien 23 mai

Bonjour, à la une de notre journal ce samedi 23 mai, notre dossier consacré à la météo estivale. Cet été encore, il fera très chaud, mais aussi très sec. C’est « comme si la France était en train de changer de latitude », fait valoir l’un de nos experts, et des épisodes de canicule sont à prévoir. Nous revenons aussi sur l’officialisation du second tour des municipales le 28 juin. Les partis sont divisés face à cette décision du gouvernement, et c’est une drôle de campagne qui nous attend. Des maires demandent des aménagements et certains prônent la mise en place d’un vote par correspondance. À lire également, le témoignage de Vanessa, mère de trois enfants, victime d’un chauffard récidiviste. L’automobiliste qui a percuté sa voiture avait déjà été condamné quatre fois. Côté météo, le temps sera perturbé et sensiblement rafraîchi sur l’ensemble du pays, avec également quelques ondées. Si vous êtes sous la pluie, pensez à notre sélection de séries et autres programmes disponibles sur les plates-formes de streaming. Bonne lecture et bonne fête aux Didier !

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14 mai 2020

L'ÉDITO de Charles de Saint Sauveur – Le Parisien

Petit à petit, Philippe fait son nid     

Pour un Premier ministre, l’«enfer » de Matignon est généralement une essoreuse dont on sort moins blanchi sous le harnais que totalement lessivé. Edouard Philippe donne étrangement l’impression inverse. Au lieu de se ratatiner, il semble prendre de l’épaisseur. Gilets jaunes, retraites, coronavirus... L’invraisemblable série d’épreuves du feu que le Premier ministre traverse depuis 18 mois tient du parcours initiatique. Cet élu que très peu de Français connaissaient quand Emmanuel Macron l’a recruté il y a trois ans, affronte les obstacles avec une certaine constance. Bien ou pas, chacun se fera son avis. Mais on peut lui reconnaître d’avoir imprimé son style, et surtout, de s’y tenir en toutes circonstances. Clarté, fermeté... voire une rigidité que ne renierait pas son mentor Alain Juppé. Cette constance tranche avec le positionnement du président, qui paraît toujours se chercher, entre raideur et rondeur. Le dernier sondage Ifop est-il une traduction chiffrée de ce ressenti ? Le Premier ministre recueille dans cette enquête réalisée début mai 57% (+4 points) de bonnes opinions contre 48% (+2%) pour Emmanuel Macron. Il n’est pas le premier chef du gouvernement à voir sa cote dépasser celle de son chef, et il ne serait pas non plus le premier à glisser sur les marches de Matignon. Mais petit à petit, l’inconnu de Matignon fait son nid. Sans appartenir au parti présidentiel, il s’installe comme l’héritier naturel de la Macronie. Voire, si les circonstances le décidaient, un recours.

10 mai 2020

Le Parisien Dimanche

parisien dimanche

6 mai 2020

LE PARISIEN - L'ÉDITO de Charles de Saint Sauveur

Drôle d’anniversaire à l’Elysée         

Voilà un anniversaire qui est passé à l’as. Jeudi, cela fera donc trois ans jour pour jour qu’Emmanuel Macron emportait la mise, au terme d’un monumental « strike » qui mettait au tapis Républicains et socialistes. Trois ans plus tard, c’est toute sa présidence qui se retrouve chamboulée par la pandémie de Covid-19. Jusque dans son essence même : « La République en Marche ! » stoppée net dans son élan par le confinement, quel cruel symbole ! Avouons que ce 7 mai 2017 nous paraît très lointain. Un président de 39 ans paré de toutes les audaces, y compris de langage, prêt à libérer le pays de toutes ses pesanteurs… Présider la France n’est pas une sinécure, mais le chef de l’Etat ne s’attendait sans doute pas à pareil chemin de croix. Outre les habituelles tempêtes politiques, il a eu droit à son tsunami surprise, comme Nicolas Sarkozy (la crise de 2008) et François Hollande (les attentats de 2015). On passera vite sur le destin de ses deux prédécesseurs dont le quinquennat est resté sans lendemain. Emmanuel Macron, lui, est confronté à un autre problème : le coronavirus balaie totalement son logiciel, celui d’une économie libérée profitant à tous, et d’une confiance résolue en l’avenir. La croissance, la décrue du chômage, les investissements : tous les gains amassés en trois ans de quinquennat sont désormais envolés. Pendant les deux ans qui lui restent, il devra affronter une récession sans précédent, et répondre à toutes les souffrances, toutes les revendications, qui viendront frapper à sa porte. Défi impossible ? A première vue, oui, même si l’homme est un phénix qui a déjà su se renouveler, comme il l’a prouvé en pleine crise des Gilets jaunes, avec le lancement de son Grand débat national. Cette fois, il lui faudra beaucoup plus qu’un « coup » politique pour repartir de l’avant et rassurer le pays. Se « réinventer », comme il l’a lui-même dit, en se payant peut-être de mots. Une chose est sûre : il entre, et avec lui le pays, dans l’inconnu le plus total.   

28 avril 2020

Le Parisien de ce 27 avril 2020

le parisien 27 avril

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26 avril 2020

Le Parisien Dimanche

le parisien dimanche

24 avril 2020

Le Parisien

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23 avril 2020

Le Parisien : L'ÉDITO de Didier Micoine - Compte à rebours

Un déconfinement à la carte, en quelque sorte, avec cette date devenue emblématique du 11 mai, mais des applications qui pourraient être adaptées et différenciées selon les régions, en concertation avec les élus locaux. C’est la piste aujourd’hui privilégiée par Emmanuel Macron, parfaite illustration de son fameux en même temps. Le compte à rebours est enclenché pour la mise en œuvre de ce chantier à hauts risques et sacrément complexe. Alors que les ministres remettaient ce mercredi leur copie en vue du plan global qui doit être annoncé la semaine prochaine par Edouard Philippe, le chef de l’Etat est bel et bien à la manœuvre. Ce mercredi après midi, il était sur le terrain, dans le Finistère, pour échanger avec des agriculteurs et visiter un supermarché de Saint-Pol-de-Léon. Ce jeudi, il dialoguera en visioconférence avec des maires, et pas des moindres : François Baroin, Anne Hidalgo, Gérard Collomb, François Bayrou, Jean-Luc Moudenc, Jean-Claude Gaudin… A ce stade, outre la sempiternelle question des masques ou des tests et le casse-tête des écoles, il reste beaucoup d’inconnues, comme les conditions de circulation entre les régions, ou l’épineuse réouverture des cafés et restaurants. Sur ce point, la pression est forte pour que le président, qui s’entretiendra vendredi avec les professionnels du secteur, annonce des mesures. Mais Macron a tout intérêt à se montrer prudent. Le bilan de la pandémie, notamment en Ile-de-France, reste élevé et des estimations de l’Institut Pasteur indiquent que seuls 6 % des Français devraient avoir été infectés par le virus le 11 mai. C’est peu, et très insuffisant pour éviter le risque d’une deuxième vague épidémique.         

19 avril 2020

Le Parisien Dimanche

parisien dimanche

13 avril 2020

Le Parisien

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