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Jours tranquilles à Paris
palais de tokyo
27 mars 2015

Archipel Secret - Palais de Tokyo (hier soir - vernissage)

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ARCHIPEL SECRET

Date:  27/03/2015 - 17/05/2015

Avec : Ahmad Abu Bakar, Reza Afisina, Ruangsak Anuwatwimon, Liu Cheng Hua, Chris Chong Chan Fui, Mideo Cruz, Kawayan De Guia, Dex Fernandez, Azmy Hassan, ISE, Aung Ko, Aye Ko, Zai Kuning, Le Brothers, Gerald Leow, Kamin Lertchaiprasert, Lynn Lu, Tran Luong, Vendy Methodos, Hayati Mokhtar, NADA, Zaki Razak, Tisna Sanjaya, Svay Sareth, Angie Seah, Shirley Soh, Speakcryptic, Rich Streitmatter-Tran, Dennis Tan, Jedsada Ta ngtrakulwong, Ryan Villamael, Lee Wen, Andrée Weschler, Iwan Wijono, Anida Yoeu Ali.

Vernissage : jeudi 26 mars 2015

L’exposition Archipel secret propose une rencontre avec la création contemporaine de l’Asie du Sud-Est, une région en transformation, dont les artistes, enracinés dans des traditions millénaires sont aussi, simultanément, plongés dans l’ultracontemporain. L’exposition explore, au travers d’une quarantaine d’oeuvres en majorité conçues pour l’occasion, les idées et les pratiques d’artistes contemporains originaires d’Asie du Sud-Est, qui n’ont pour la plupart encore jamais été montrés au-delà des frontières de leur pays d’origine. Si de plus en plus d’artistes originaires de cette région apparaissent aujourd’hui au sein des grands événements internationaux de l’art contemporain, le parti pris de cette exposition est de présenter des artistes restés secrets et dans l’ombre des radars du monde de l’art international.

Leurs oeuvres témoignent d’un étirement entre passé et futur, et incarnent une tension féconde entre mémoire et tradition d’une part, et influences contemporaines occidentales d’autre part, tout en apportant à l’art d’aujourd’hui des langages particuliers. Bien que la plupart des artistes aient été initiés à l’art occidental, leurs sensibilités appartiennent à un héritage vernaculaire et se nourrissent de pratiques syncrétiques spirituelles et culturelles. L’exposition reflète cette porosité entre les cultures à l’échelle de l’archipel, ce palimpseste entre les époques, ces passerelles entre les influences spirituelles.

Pluridisciplinaire, l’exposition sera composée d’installations, de vidéos, de sculptures, d’œuvres sonores, mais aussi de performances qui se tiendront de façon aléatoire au coeur de l’espace de l’exposition. Entrer dans le paysage de l’exposition Archipel secret invite à se défaire d’un regard et d’une lecture occidentale de l’art et à découvrir un langage, des codes et des expressions culturelles largement méconnus.

L’exposition Archipel secret est présentée par le Palais de Tokyo en collaboration par le National Heritage Board (Singapour), dans le cadre de Singapour en France – le festival (26.03 2015 – 30.06 2015).

A l’occasion du vernissage de l’exposition et du lancement de Singapour en France - le festival, The Incredible Adventures of Border-Crossers, une performance de Ong Keng Sen, aura lieu les 26 et 27 mars.

Dans le cadre de Singapour en France – le festival, découvrez également Open Sea, une exposition au Musée d’art contemporain de Lyon (17 avril-12 juillet, 2015)

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26 mars 2015

Palais de Tokyo - Vernissage ce soir

VERNISSAGE ARCHIPEL SECRET

Date: 26/03/2015 - 21:00
Tag: Events
Jeudi 26 mars - De 21h à minuit - entrée libre

L’exposition Archipel secret propose une rencontre avec la création contemporaine de l’Asie du Sud-Est, une région en transformation, dont les artistes, enracinés dans des traditions millénaires sont aussi, simultanément, plongés dans l’ultracontemporain. L’exposition explore, au travers d’une quarantaine d’oeuvres en majorité conçues pour l’occasion, les idées et les pratiques d’artistes contemporains originaires d’Asie du Sud-Est, qui n’ont pour la plupart encore jamais été montrés au-delà des frontières de leur pays d’origine. Si de plus en plus d’artistes originaires de cette région apparaissent aujourd’hui au sein des grands événements internationaux de l’art contemporain, le parti pris de cette exposition est de présenter des artistes restés secrets et dans l’ombre des radars du monde de l’art international.

A cette occasion le prestigieux et délirant metteur en scène Ong Keng Sen explore la notion de citoyenneté à travers une performance basée sur l'histoire de Singapour, son passé, son présent et se projetant dans le futur.

26 mars 2015

Vernissage - Palais de Tokyo

VERNISSAGE ARCHIPEL SECRET

Date:  26/03/2015 - 21:00

Tag:  Events

Jeudi 26 mars - De 21h à minuit - entrée libre

L’exposition Archipel secret propose une rencontre avec la création contemporaine de l’Asie du Sud-Est, une région en transformation, dont les artistes, enracinés dans des traditions millénaires sont aussi, simultanément, plongés dans l’ultracontemporain. L’exposition explore, au travers d’une quarantaine d’oeuvres en majorité conçues pour l’occasion, les idées et les pratiques d’artistes contemporains originaires d’Asie du Sud-Est, qui n’ont pour la plupart encore jamais été montrés au-delà des frontières de leur pays d’origine. Si de plus en plus d’artistes originaires de cette région apparaissent aujourd’hui au sein des grands événements internationaux de l’art contemporain, le parti pris de cette exposition est de présenter des artistes restés secrets et dans l’ombre des radars du monde de l’art international.

A cette occasion le prestigieux et délirant metteur en scène Ong Keng Sen explore la notion de citoyenneté à travers une performance basée sur l'histoire de Singapour, son passé, son présent et se projetant dans le futur.

23 mars 2015

Palais de Tokyo

palais tokyo

20 mars 2015

Palais de Tokyo : L’Usage des formes

L’Usage des formes

Du 20 mars → 17 mai 2015

L’exposition L’Usage des formes explore l’ingéniosité humaine et la relation passionnée que les créateurs entretiennent avec leurs outils, en abordant l’instrument comme un élément fondamental du rapport de l’homme au monde. Faisant dialoguer artisans d’art et artistes, l’exposition rassemble les métiers d’art, le design, les arts plastiques et l’architecture dans une scénographie conçue par le designer Robert Stadler et réalisée en collaboration avec des artisans d’art.

D’un racloir paléolithique en cristal de roche provenant de l’abri des Merveilles (Dordogne) aux prothèses bioniques conçues par le FabLab de Rennes sur des imprimantes 3D, en passant par L’Infini, réalisé en feuille de métal martelée par le dinandier Nathanaël Le Berre, l’exposition traverse les époques. Elle révèle l’actualité de la notion de chef-d’œuvre, ce « travail de réception », à la fois objet utilitaire et œuvre d’art, qui incarne l’acquisition et la transmission d’une technicité virtuose.

Le début du parcours invite à plonger dans l’univers de l’atelier. Au sein de cette fabrique, l’outil se donne à voir comme une incarnation de l’Histoire, en ce qu’il correspond fondamentalement à la transmission ou réécriture de la pratique qui lui est associée.

L’exposition aborde ensuite la notion de prise en main de l’outil. L’objet technique est l’instrument de cette préhension qui permet de mettre l’homme en contact avec le monde. Telle une prothèse, l’outil est précisément cette extension du corps qui permet à l’homme d’interagir avec son environnement et de passer ainsi de l’état de nature à l’état de culture. Apprendre à manipuler un outil révèle les propriétés cachées de la matière. L’outil, par conséquent, est un objet qui permet d’extraire de l’information, de mesurer et de quantifier le réel et d’opérer des croisements fructueux entre la science, la technologie et l’artisanat.

L’exposition se clôt sur la double dimension symbolique — voire magique — et utilitaire de l’outil : à l’instar du compas des Compagnons du Devoir, devenu symbole philosophique de la Franc-maçonnerie, ou encore du dodécaèdre gallo-romain, mystérieux objet de divination, présentés dans cette section. Par leur préciosité ou par le sens dont ils ont été investis, ces objets, à l’origine simples instruments, deviennent de puissants symboles de l’humanité et des vecteurs de contemplation.

À l’occasion des Journées Européennes des Métiers d’Art, les 27, 28 et 29 mars, l’accès à l’exposition « L’Usage des formes », est gratuit.

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Robert Stadler, Understand what you loveRésine polyester, acier — 29,5 × 10,5 × 2 cm — Édition de 15, édition galerie de multiplesPhoto © Patrick Gries © ADAGP, Paris 2015

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18 mars 2015

Palais de Tokyo

18 mars 2015

L'USAGE DES FORMES : ARTISANS D’ART ET ARTISTES - PALAIS DE TOKYO

Date:  20/03/2015 - 17/05/2015

Avec : Abdou Fataï ABIOLA, Georges ALLORO, Jean-Marie APPRIOU, Jean-Michel APPRIOU, ARCA, Marc AUREL, Bernard et François BASCHET, Eric BENQUÉ, BERGER&BERGER, Camille BLATRIX, BLESS, Gérard BORDE, Bruno BOTELLA, Linda BROTHWELL, Jacques CARELMAN, Nicolas CECCALDI, Giorgio DE CHIRICO, Gérard DESQUAND, Benjamin DILLENBURGER et Michael HANSMEYER, Aleksandra DOMANOVIC, Charles EAMES, Alexandre ECHASSERIAU, Pierre EMM & Johan DA SILVEIRA & Piotr DA SILVEIRA, Nicolas FARINOTTI, Pierre FAVRE, GLASS FABRIK, GRAMAZIO KOHLER RESEARCH- ETH Zurich, Constance GUISSET, Frédéric HAMEL, Bernard HEIDSIECK, Yngve HOLEN, Franck JALLEAU, Thomas JAMES, Emmanuel JOUSSOT, François JUNOD, Gaël LANGEVIN, Nathanaël LE BERRE, Guillaume LEBLON, Xavier LE NORMAND, LEZARD GRAPHIQUE, Emmanuelle LAINÉ, Marie LUND, Jean-Paul MAHÉ, Benoît MAIRE, Christophe MANKA, Maurice MARINOT, Kristin MCKIRDY, Christophe MICHEL, Christian MORETTI, Jean-Luc MOULÈNE, Sébastien NEDJAR, André NICOLAS, Jean Antoine, NOLLET, Giuseppe PENONE, Daniel POMMEREULLE, François-Xavier RICHARD, Frédéric RICHARD, David ROSENBLUM, Bernard SOLON, Ettore SOTTSASS, Robert STADLER, SYNDICAT, Richard TUTTLE

L’exposition L’Usage des formes explore l’ingéniosité humaine et la relation passionnée que les créateurs entretiennent avec leurs outils, en abordant l’instrument comme un élément fondamental du rapport de l’homme au monde. Faisant dialoguer artisans d’art et artistes, l’exposition rassemble les métiers d’art, le design, les arts plastiques et l’architecture dans une scénographie conçue par le designer Robert Stadler et réalisée en collaboration avec des artisans d’art.

Le début du parcours invite à plonger dans l’univers de l’atelier. Au sein de cette fabrique, l’outil se donne à voir comme une incarnation de l’Histoire, en ce qu’il correspond fondamentalement à la transmission ou réécriture de la pratique qui lui est associée. L’exposition aborde ensuite la notion de prise en main de l’outil. L’objet technique est l’instrument de cette préhension qui permet de mettre l’homme en contact avec le monde. Telle une prothèse, l’outil est précisément cette extension du corps qui permet à l’homme d’interagir avec son environnement et de passer ainsi de l’état de nature à l’état de culture. Apprendre à manipuler un outil révèle les propriétés cachées de la matière. L’outil, par conséquent, est un objet qui permet d’extraire de l’information, de mesurer et de quantifier le réel et d’opérer des croisements fructueux entre la science, la technologie et l’artisanat. L’exposition se clôt sur la double dimension symbolique - voire magique - et utilitaire de l’outil : à l’instar du compas des Compagnons du Devoir, devenu symbole philosophique de la Franc-maçonnerie, ou encore du dodécaèdre gallo-romain, mystérieux objet de divination, présentés dans cette section. Par leur préciosité ou par le sens dont ils ont été investis, ces objets, à l’origine simples instruments, deviennent de puissants symboles de l’humanité et des vecteurs de contemplation.

L’exposition par son commissaire, Gallien Déjean

"En 1930, l’ethnologue Marcel Griaule publie dans la revue Documents un article intitulé « Poterie » dans lequel il dénonce les archéologues et les esthètes qui admirent, dit-il, « la forme d’une hanse » mais se gardent bien « d’étudier la position de l’homme qui boit ». La forme de chaque objet, dans son contexte d’émergence, est liée à un usage – qu’il s’agisse d’un ustensile, d’un objet d’art appliqué ou même d’une oeuvre d’art. Dans ce texte, Griaule déplore le processus de décontextualisation que l’on fait subir aux objets lorsqu’ils intègrent le musée pour acquérir une valeur esthétique. Dévitalisés de leur fonction d’usage dans cette enceinte sacrée, ils deviennent des objets de contemplation qui n’ont pour seule justification que la classification qui les subsume.

« L’Usage des formes » est une exposition qui regroupe des objets et des oeuvres issues d’époques et de domaines variés : métiers d’art, arts plastiques, design et architecture. Chacun de ces artefacts témoigne d’une valeur d’usage. La plupart appartiennent à la catégorie des instruments techniques dont le champ d’action est infini : certains servent à transformer la matière, d’autres à révéler l’invisible, extraire des données, produire de l’information, ou permettent de communiquer. Ils prolongent nos organes dans leur fonction d’appréhension du monde. À travers cette accumulation de prothèses, se dessine en creux le corps humain dans son rapport au réel. Selon le philosophe Gilbert Simondon, les instruments techniques sont des êtres « allagmatiques », c’est-à-dire des éléments d’échange entre l’homme et son environnement ; de cet échange naît la culture.

Deux entités complémentaires incarnent le rapport à l’outil. L’Homo faber construit des instruments pour façonner la matière. L’Homo ludens joue à détourner les outils de production et les instruments de la connaissance créés par l’Homo faber afin de faire surgir de nouvelles possibilités. Parfois, ces deux attitudes coexistent au sein de la pratique d’un même créateur. En exposant les outils et les échantillons prélevés dans les ateliers d’artisans d’art, mis en regard avec ceux des plasticiens et des designers, l’exposition « L’Usage des formes » rend hommage à ces deux conceptions entrelacées de l’invention, du savoir-faire et du rapport du geste créateur au monde qui l’environne.

Dans « Les Gestes », le philosophe Vilém Flusser décrit le moment où, à l’issue d’une production, « les mains se retirent de l’objet, ouvrent leurs paumes en un angle large et laissent glisser l’objet dans le contexte de la culture [...], non quand elles sont satisfaites de l’oeuvre, mais quand elles savent que toute continuation du geste de faire serait insignifiante pour l’oeuvre ». Ce geste est aussi celui du don, affirme-t-il. C’est « le geste d’exposer » que « L’Usage des formes » met en scène au sein d’un espace scénographique où flotte encore la survivance de l’usage des formes présentées."

Commissaire : Gallien Déjean

Scénographie : Studio Robert Stadler

À l’occasion des Journées Européennes des Métiers d’Art, les 27, 28 et 29 mars, l’accès à l’exposition L’Usage des formes, sera gratuit.

17 mars 2015

Palais de Tokyo

Au Palais de Tokyo, l'exposition « L’Usage des formes » rassemble les métiers d'art, le design, les arts plastiques et l'architecture dans une scénographie conçue par le designer Robert Stadler et réalisée en collaboration avec des artisans d'art — Vernissage le jeudi 19 mars

http://slash-paris.com/evenements/lusage-des-formes

12 mars 2015

Actuellement au Palais de Tokyo

5 mars 2015

Palais de Tokyo - vernissage 16 février 2015 - Le bord des mondes

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