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Jours tranquilles à Paris
premiere guerre mondiale
1 septembre 2014

Moi à l'exposition pour le centenaire de la Première Guerre Mondiale sur les Champs Elysées

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26 août 2014

L'exposition « Merci ! 100 photos pour un Centenaire » sur les Champs Elysées

17 août 2014

Impressionnant, 888.246 coquelicots rouges envahissent la Tour de Londres en hommage aux victimes de la Première Guerre Mondiale

Pour le centenaire de la Première Guerre Mondiale, la Tour de Londres sera entourée d'une véritable mer de coquelicots de céramique. Les artistes Paul Cummins et Tom Piper veulent ainsi commémorer les  888, 246 victimes britanniques de ce conflit.

 La première fleur a été plantée le 5 août, qui marque l'entrée en guerre de la Grande bretagne. La dernière sera placée le 11 novembre, jour du souvenir de la fin de la Guerre pour les Anglais.

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6 août 2014

Exposition : 14-18 et les peintres de la Bretagne au Faouët

Le musée du Faouët, où est né Jean Corentin Carré, « le plus jeune Poilu de France », accueille jusqu’au 11 novembre l’exposition La Première Guerre mondiale vue par les peintres de Bretagne. A l’issue d’un travail de collectage d’une année, cette exposition met en valeur des œuvres qui proviennent à 60 % de collections privées. Les auteurs présentés ne sont pas tous bretons, mais tous ont peint la Bretagne à un moment de leur vie. Combattants ou simples témoins, les peintres restituent la violence du front, le quotidien des Poilus, la guerre vécue depuis l’arrière… Parmi les artistes mobilisés, le Lamballais Mathurin Méheut (1882-1958) rejoint le front en 1914. « Les missions aux armées » constituent un autre volet de ce voyage à travers la Grande Guerre. Ces artistes d’âge mûr étaient tous volontaires. Les tableaux présentés sont parfois cocardiers, souvent documentaires, mais de véritables talents artistiques se révèlent. 

Au musée du Faouët tél. 02 97 23 15 27. http://www.museedufaouet.fr/

6 août 2014

Exposition à Vannes, les hôpitaux de 14-18

Le château de l’Hermine à Vannes héberge l’exposition « Vannes, Ville hôpital et solidaire ». Entre 1914 et 1918, Vannes a en effet accueilli nombre de convois de blessés. Les bâtiments scolaires de l’époque étaient alors réquisitionnés pour devenir des hôpitaux temporaires. L’exposition retrace au travers d’images des archives municipales de Vannes ou des archives hospitalières de Limoges, le passé sanitaire de la ville durant cette période.

Au château de l’Hermine, « Vannes, ville hôpital et solidaire », jusqu’au 19 octobre. Tous les jours de 14 h à 18 h. Entrée libre.

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6 août 2014

Exposition : Les Filles de Jésus au chevet des Poilus

L’histoire est peu connue. À Plumelin, près de Locmine, la congrégation des Filles de Jésus a accueilli pendant la grande guerre de nombreux poilus. Ces sœurs, qui comptaient de nombreuses infirmières, ont accueilli dans leur pensionnat de Kermaria, transformé en hôpital, plus de 1 300 soldats blessés ou malades. Une remarquable exposition retrace l’engagement méconnu des religieuses au service des victimes civiles et militaires de la Grande Guerre.

« Dans la guerre, les filles de Jésus 1914-1918 », à Kermaria, à Plumelin. Le samedi et le dimanche, ainsi que le mercredi, de 14 h à 18 h. Réservée aux groupes le mardi et le jeudi, de 10 h à 17 h, sur réservation.

4 août 2014

Première Guerre Mondiale : 100 photos pour le centenaire sur les Champs-Élysées

Ce sont des documents photographiques exceptionnels qui sont présentés jusqu’au 20 septembre au rondpoint des Champs-Élysées, à Paris. 100 photos pour un centenaire, provenant des collections de l’Établissement cinématographique et photographique des armées (ECPAD) et du fonds du journal Excelsior, un quotiden de l’époque. Elles ont été choisies par l’ex-journaliste de TF1 Jean-Claude Narcy et Jean-Pierre Verney, historien. Des clichés de soldats, bien sûr, mais aussi de civils et beaucoup de femmes : infirmières sur le front de Champagne, « munitionnettes » dans les usines, paysannes qui labourent les champs… Les tirages sont superbes et présentés en grand format (2,5 x 1,2 m)

1 août 2014

France : le tocsin pour annoncer 3 jours de commémoration, 100 ans après le début du conflit

 

1 août 2014

Grande Guerre : le message de François Hollande

Dans un message adressé à la presse quotidienne régionale, François Hollande présente les leçons que la Première Guerre mondiale lui inspire pour 2014 . «

Le samedi 1er août 1914, il y a cent ans aujourd’hui, la France déLe samedi 1 août 1914, il y a cent ans aujourd’hui, la France décrétait la mobilisation générale. Ce matin-là, à la une des journaux, s’affichait la nouvelle de la mort de Jean Jaurès, celui qui, depuis des mois, portait la voix de la paix. Plus rien ne semblait pouvoir entraver la marche inexorable du continent vers l’abîme. À 16 heures, dans toutes les villes, dans tous les villages, le tocsin se mit à sonner. Sur toutes les places, le tambour retentit. Toute la France s’arrêta et comprit : c’était la guerre ! Elle devait être rapide et limitée. Elle fut longue et mondiale. Rien qu’en France, elle ôta la vie à plus d’un million et demi de personnes et laissa un long cortège de blessés, de veuves et d’orphelins.

Le jour où le destin des Français a basculé

Le 1 août 1914 est resté dans la mémoire nationale comme le jour où le destin de presque toutes les familles françaises a basculé. Les laboureurs sont partis en pleine moisson ; les travailleurs ont quitté leurs ateliers ; les rues des villes se sont vidées et dans les gares les trains se sont remplis d’hommes jeunes qui rejoignaient leur unité. Des millions d’enfants ont vu partir leur père, des millions de femmes leur mari, des millions de parents leur fils et pour certains ce fut la dernière fois qu’ils le voyaient. Par le récit d’un grand-parent, par des lettres ou un carnet retrouvés, une photo précieusement conservée, beaucoup d’entre nous gardent le souvenir de la Grande Guerre. D’autres l’ont découverte dans les livres d’histoire. Nous pouvons mesurer l’horreur de ce conflit et les terribles conditions de vie de ses soldats jetés sous la mitraille ou tassés dans les tranchées. Ils ont fait preuve d’un courage inouï. Les Français de 1914 se sont levés pour défendre leur Patrie et pour l’idée qu’ils se faisaient de la République. Soldats, ils venaient de toutes les provinces de l’Hexagone, des outre-mer, et même d’Afrique. L’arrière aussi était mobilisé. Les femmes ont démontré leur dévouement et leur aptitude à faire tourner l’économie. Sans être encore des électrices, elles étaient déjà des citoyennes. Pendant quatre années, la France a souffert, non pour conquérir ou pour asservir, mais pour rester libre.

Les braises du ressentiment

Cette guerre ne fut pas la dernière. Et vingt ans après, le souffle de la haine attisa les braises du ressentiment et l’intolérance se fit meurtrière à une échelle inouïe, et il fallut un nouvel effort gigantesque pour terrasser la barbarie. Nous l’avons commémoré le 6 juin dernier en Normandie, avec toutes les nations et les derniers combattants du Débarquement. Au cours du XX siècle la France a été capable de traverser de grandes épreuves. Jamais elle ne s’est résignée. Elle a toujours su trouver en elle-même la force de continuer à porter son message. Et sur les ruines d’un continent dévasté, elle a été capable de choisir la paix et de faire l’Europe. Aujourd’hui notre pays fait face à d’autres menaces. À l’est de l’Europe, en Ukraine, un avion civil a été abattu par un missile sur une zone où se produisent, encore en ce moment, des affrontements meurtriers. De l’autre côté de la Méditerranée, la Syrie vit un cauchemar avec 180 000 morts depuis trois ans. En Irak, les chrétiens d’Orient sont persécutés. En Afrique le terrorisme frappe jusqu’à s’en prendre à des jeunes filles innocentes. À Gaza, les victimes civiles par centaines paient le prix d’un conflit qui n’en finit pas. La France, membre permanent du Conseil de sécurité de l’Onu, doit faire entendre sa voix. C’est en étant elle-même forte qu’elle pèsera sur le destin du monde. C’est pourquoi, cent ans après face à l’intolérance, l’injustice et l’inacceptable, nous devons toujours nous mobiliser. Pour la Paix, pour l’Europe, pour la France. François HOLLANDE.

31 juillet 2014

Commémoration : le tocsin sonnera vendredi

Le gouvernement invite les maires de toutes les communes de France à faire sonner le tocsin vendredi à 16 h, pour commémorer le centenaire de la « mobilisation générale » d’août 1914 et le début de la Première Guerre mondiale. Il s’agit, selon Kader Arif, secrétaire d’État aux Anciens combattants, de commémorer la Grande Guerre « dans chaque commune, chaque famille, chaque foyer, en y associant le plus grand nombre de Français ». Le 1er août 1914 à la même heure, trois millions de réservistes étaient invités à rejoindre dès le lendemain les 800 000 soldats en service actif.

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