Charlie Hebdo (bientôt nouveaux locaux)
Le dessin choisi par Aymeric Caron dans #CharlieHebdo #ONPC pic.twitter.com/UXAmvjdjJb
— On n'est pas couché (@ONPCofficiel) 1 Mars 2015
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L’actrice iranienne Golshifteh Farahani se met à nu dans la revue Egoïste. Un scandale annoncé à la Charlie
Revoilà Golshifteh Farahani. Pas au cinéma mais en une de l’irrégulomadaireEgoïste. La chicissime revue en deux volumes, qui parait quand elle veut, est imprimée en noir et blanc et en format XXL. La jeune actrice iranienne s’y dévoile intégralement. Des photos d’avant "Je suis Charlie" qui expriment, à sa façon, sa liberté d’expression. Dans le récit qui accompagne les clichés de Paolo Roversi, elle confie à Serge Bramly que Paris "est le seul endroit de la planète où les femmes ne se sentent pas coupables". "En Orient, tu l’es tout le temps. Dès l’instant où tu ressens tes premières pulsions sexuelles. La France m'a libérée", poursuit-elle
Star de la scène cinématographique en Iran, la jeune femme qui vit à Paris depuis quatre ans a quitté son pays en 2009, après la sortie du film américain Mensonges d’Etat de Ridley Scott avec Leonardo DiCaprio, où elle apparaissait sans voile et en a fait une star planétaire. Sans avoir perdu une once de popularité dans la République islamique où elle passe pour une rebelle, elle s’affranchit une fois de plus par l’image. Une expression de vérité et une énième provocation envers le pays des Mollahs et les pays musulmans où la nudité affichée est une offense capitale.
Ce n’est pas la première fois que Golshifteh Farahani s’expose. Elle avait fait scandale en jouant en tenue d’Eve dans le court métrage Corps & âme ou en se montrant topless en 2012 parmi les révélations des César pour son rôle dans le film Si tu meurs je te tue. Mais c’était hors contexte. Nous l’avions rencontrée en décembre 2013 pendant le Festival du film de Marrakech pour parler de la façon dont s’exprime l’intime dans les films iraniens. Il ne faisait déjà pas de doute qu’elle était prête à passer à l’acte. Elle avait alors déclaré au JDD : "Si pour raconter une histoire, il faut être nue, j’y suis prête."
Ils sont jeunes, ils vont tout changer, et vous donnent RDV dans ELLE spécial #GénérationZ http://t.co/lbM6d9JxKT pic.twitter.com/PpqIq39HCu
— ELLE (@ELLEfrance) 27 Février 2015
Merkel il y a 20 ans à la Une de Vanity Fair France (avec une ampoule Coup d’Eclat pour ce teint lumineux) pic.twitter.com/WzrMMKOTO9
— Gilles Klein (@GillesKLEIN) 25 Février 2015
Être libre de ce qu'on fait de son corps : la liberté d'expression passe aussi par là. L'actrice iranienne Golshifteh Farahani s'expose nue sur la couverture du magazine Egoïste. Une manière à elle de se « libérer ». « Paris est le seul endroit de la planète où les femmes ne se sentent pas coupables, explique-t-elle dans la revue. En Orient, tu l’es tout le temps. Dès l’instant où tu ressens tes premières pulsions sexuelles. La France m'a libérée. »
Si les clichés datent d'avant les attentats en France, dont celui à Charlie Hebdo, la pose de Golshifteh Farahani, star dans son pays, pourrait faire des remous en Iran, pays où elle a déjà une sulfureuse réputation.
Selena Gomez fait la une de l'édition du mois de mars de V Magazine. Visage poupon, yeux écarquillés et petit nœud dans les cheveux, la pop star, certes âgée de 22 ans, renoue avec ses années Disney, le côté malsain en plus. Topless et vêtue d'un poum poum short qui ferait pâlir d'envie Daisy Duke, Selena Gomez semble tout droit sortie d'un concours pour mini-miss. Toute la série de photos joue sur une sorte d'hypersexualisation de l'enfant, entre son visage angélique et ses courbes de femme.
Voir mes précédents billets sur SELENA GOMEZ.
Selena Gomez par Terry Richardson 18/03/2013
Selena Gomez par Terry Richardson 15/03/2013