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Jours tranquilles à Paris
terry richardson
1 juin 2019

Terry Richardson shoots Zahia for Hyperbolic (2013)

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27 mai 2019

Zahia - Extrait d'un shooting avec Terry Richardson

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24 mars 2019

Miley Cyrus: zoom sur le sulfureux clip "Wrecking Ball"

Après "Hannah Montana", Miley Cyrus devait casser son image. Et être nue semblait être une bonne idée. Dans "Wrecking Ball", elle relève le défi et s'affiche sans complexe. Ou presque…

Une nouvelle Miley Cyrus

On est en 2013 et Miley Cyrus va encore et toujours plus loin. "Wrecking Ball" est un hit de l'album "Bangerz", le 5e de la chanteuse, et il est temps pour Miley de faire oublier la petite fille qu'elle était. Pari gagné ! C'est une Miley au corps sculpté qu'on voit apparaître après un gros plan sur son visage. Une boule de démolition, un mur et une massue sont les seuls accessoires de ce clip vu plus de 900 millions de fois. Miley, cheveux très courts, est en petite tenue, puis nue...

Quelques regrets

Si en 2013, Miley Cyrus avait besoin de changer de cap, depuis elle a parfois quelques regrets, car elle estime que cela a nui à sa crédibilité de chanteuse et l'a réduite à son attitude sexy. Nue sur la boule de démolition, léchant une massue, la jeune femme est vraiment très provocante. Elle sait maintenant doser le glamour avec beaucoup plus de subtilité et se montre plus naturelle, plus femme fatale, sans être trop dans la démonstration.

14 janvier 2019

Terry Richardson

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3 novembre 2018

Kate Moss photographed by Terry Richardson, 1997

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23 juillet 2018

Miley Cyrus photographiée par Terry Richardson

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5 janvier 2018

Le controversé photographe Terry Richardson sous le coup d'une enquête pour agressions sexuelles

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Le New York City Police Department a ouvert une enquête le 2 janvier suite aux dernières accusations en date.

HARCÈLEMENT- Les accusations s'enchaînent et ne s'arrêtent pas pour le sulfureux photographe de mode, Terry Richardson évincé le 23 octobre dernier de son groupe de médias, Condé Nast. Alors que depuis 2013, le photographe ne cesse d'être sous le feu des projecteurs pour des affaires d'agressions et d'harcèlements sexuels, le New York City Police Department (NYPD) ouvre finalement ce mardi 2 janvier une enquête à l'encontre du photographe, selon The Daily News.

C'est suite aux révélations chocs, de deux mannequins, Lindsay Jones et Caron Bernstein à la fin du mois de décembre dernier, que le NYPD a décidé de s'intéresser au cas Richardson. Les faits se déroulent respectivement en 2007 pour Lindsay Jones et 2003 pour Caron Bernstein.

Selon The Daily News, alors que Caron Bernstein shoot seins nus pour le photographe, celui-ci l'a alors forcé à prendre son pénis en bouche, avant d'éjaculer sur sa poitrine et de reprendre quelques clichés. Elle déclare, toujours au Daily News: "Mon cerveau s'est mis en pause. Je ne faisais plus rien. Je n'étais plus une mannequin. J'étais comme un chevreuil devant les phares d'une voiture".

En ce qui concerne Lindsay Jones, il s'agit dans les grandes lignes du même genre d'agression comme elle le confiait au HuffPost américain en décembre dernier. En vue d'un possible photoshoot, la mannequin décide de rencontrer celui que le Times surnomme désormais comme étant "le Harvey Weinstein de la mode". Seulement, quand elle toque à la porte, elle raconte au HuffPost que Terry Richardson l'a mise à genoux immédiatement, sortant son pénis en lui lançant: "suce ma bite" ou "avale comme une gentille fille".

Bien que le photographe ait toujours démenti en estimant que les mannequins étaient "consentantes" , les deux femmes entendent bien faire entendre leur version sur cette affaire et doivent rencontrer les agents chargés de l'enquête très prochainement.

23 novembre 2017

Terry Richardson, la mode et le harcèlement sexuel

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Le Weinstein de la mode. Voilà comment est aujourd’hui surnommé Terry Richardson. Photographe de renom, il a travaillé pour les plus grands magazines (Vogue, Vanity Fair, GQ…) et photographié nombre de modèles et de célébrités.

Et comme Weinstein, tout le monde dans l’industrie savait ou avait eu vent de son comportement

Le cas Richardson

Une pétition circulait pourtant déjà contre lui en 2013. Mise en ligne sur le site change.org elle a pour titre : « Big brands: Stop using alleged sex offender & pornographic Terry Richardson as your photographer ». Signée des milliers de fois, elle n’a pourtant eu aucun effet.

Pour toute défense, l’accusé invoque son style : « Des photos de mode qui mélangent l’art et la photographie érotique ».  Car Terry Richardson est le Roi du porno chic. Ses photos vont de l’érotisme subtil aux poses carrément provocantes, fleuretant dans certains cas avec la pornographie.

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Emily Ratajkowski posant pourTerry Richardson

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Lady Gaga posant pour Terry Richardson

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Miley Cyrus posant pour Terry Richardson

Avec le #metoo et la libération de la parole qu’il a permis, de nouveaux témoignages sont venus s’ajouter. Et cette fois, des sanctions ont été prises. Terry Richardson a été blacklisté par le groupe Condé Nast (propriétaire de Vogue, Glamour, GQ…) et plusieurs marques ont annulé les campagnes qu’elles avaient en cours avec lui.

« Tout shooting qui aurait été planifié ou déjà effectué par Terry Richardson, mais pas encore publié [soit] supprimé ou remplacé par d’autres contenus »

Mais le mal est fait et Terry Richardson n’est sans doute que le sommet de l’iceberg car la mode est un univers particulier, où les photographes ont un ascendant énorme sur les mannequins, grâce à leur influence dans le milieu.

Un domaine propice aux abus

Dans un métier où le corps est un outil de travail, où il s’expose pour le bien d’une photo, la limite entre demande artistique et proposition inappropriée et/ou dégradante est difficile à établir. Ajouter à cela la vulnérabilité des modèles, souvent mineures, et vous obtenez des situations au rapport de force totalement inégal. Voilà comment le photographe a pu sévir en toute impunité pendant des années.

Autre problème : le manque de crédibilité dont souffrent certaines victimes. Justement à cause de la nature parfois jugée ‘’provocante’’ des photos.

C’est ce que dénonce une autre mannequin dans un témoignage : « Si on dit qu’on s’est mise toute nue pour une séance photo, même si c’est professionnel, les gens se disent que ce qui nous est arrivé est de notre faute, qu’on l’a bien cherché »

Voilà pourquoi Cameron Russell, mannequin, a décidé de lancer le #MyJobShouldNotIncludeAbuse et de diffuser sur son compte Instagram les témoignages de victimes qui le souhaitent.

Lancez le 12 octobre dernier, elle a ainsi publié plus de 70 histoires.

Beaucoup de témoignages sont ceux de mannequins débutants, sans expérience et désespérés de percer. Des cibles faciles, manipulables, sans réelle structure vers laquelle se tourner, puisqu’il n’existe pas, par exemple, de syndicat.

Que faire ?

LVMH et Kering ont récemment annoncé la création d’une « charte sur les relations de travail et le bien-être des mannequins.» Une des mesures prévue est la suivante : « Les mannequins doivent avoir la possibilité de formuler directement une réclamation en cas de litige avec une agence de mannequins, un directeur de casting ou une marque (par exemple via une personne référente désignée ou la mise en place d’une hotline téléphonique) »

Mais cette charte ne concerne que les marques des deux groupes. Et donc ni les agences, ni les magazines, ni les directeurs de castings ni sont soumises.

Or, comme l’explique Carolyn Kramer ancienne directrice de casting à Self Magazine, le problème est global: « On en revient toujours à l’argent. Si une agence voit du potentiel chez une fille de 15 ans, alors ce qui peut se passer dans les coulisses ne leur importe pas, tant que la fille peut avoir une campagne. Je me donne un C- pour ce que j’ai pu accomplir pour protéger mes filles. Nous avons tous vendu nos âmes au diable pour que le mannequin devienne célèbre.»

Le designer Prabal Gurung confirme : tout le monde savait et personne n’a rien fait...

Il y a peu à parier que des posts Instagram et des pétitions suffiront à mettre fin à une omerta qui dure depuis des années. Il ne reste plus qu’à espérer que les publicitaires, magazines, stylistes, directeurs d’agences arrêtent de faire appel à des personnes dont ils connaissent les pratiques. L’extravagance et le talent n’excusent pas tout. Même dans la mode.

6 novembre 2017

Terry Richardson (photographe)

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28 octobre 2017

"Pornographe", "pervers", "louche"... Qui est Terry Richardson, le photographe désormais banni des magazines de mode ?

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Texte : Franceinfo

Le puissant groupe Condé Nast a décidé de cesser ses collaborations avec le photographe américain, rattrapé par plusieurs accusations de harcèlement et d'agression sexuels. Franceinfo dresse le portrait du très controversé Terry Richardson.

Il est "le pervers préféré de la mode", titre le New York Post (en anglais). Le photographe Terry Richardson a été blacklisté par plusieurs magazines, lundi 23 octobre, dans la foulée de l'affaire Weinstein. Dans un mail interne obtenu par le Telegraph (en anglais), le puissant groupe de presse Condé Nast annonce qu'il veut désormais se passer des services de l'artiste new-yorkais. "Tous les shootings qui ont été commandés ou tous les shoots réalisés mais pas encore publiés doivent être supprimés et remplacés par du nouveau contenu", précise le vice-président du groupe, James Woolhouse. Et ce dernier de demander aux différentes publications (dont Glamour, Vogue ou encore GQ) de "confirmer que cette directive va être appliquée immédiatement". Les maisons Bulgari et Valentino ont emboîté le pas à Condé Nast et annoncé, mardi, qu'elles ne collaboreraient plus avec l'Américain de 52 ans, rapporte le Guardian (en anglais). Franceinfo vous explique comment le sulfureux Terry Richardson, désormais qualifié de "Weinstein de la mode" par le Sunday Times (en anglais), est devenu persona non grata.

Il a photographié Miley Cyrus, Beyoncé et Obama

Terry Richardson est l'un des photographes les plus acclamés de ces dernières années. Fils du photographe de mode Robert Richardson et de l'actrice Norma Kessler, il obtient son premier gros contrat avec le magazine Vibe, en 1994. Ses portraits de célébrités pris au flash, devant un fond blanc, deviennent une de ses marques de fabrique. Tout comme sa tendance à se mettre en scène à leurs côtés. Toujours dans le même attirail : chemise à carreaux, grosses lunettes noires, rouflaquettes fournies et moustache. Résultat, le visage de Terry Richardson est aujourd'hui presque aussi connus que ses clichés.

Dès le début, son travail s'arrache. L'Américain est choisi pour réaliser les campagnes publicitaires de plusieurs marques de luxe, dont Tom Ford, Yves Saint-Laurent et Marc Jacobs. De nombreux magazines, comme Harper's Bazaar ou Rolling Stone, font régulièrement appel à lui pour leur couverture. Presque toutes les stars de la mode, de la musique et du cinéma se succèdent devant son objectif. Même Barack Obama s'est prêté au jeu pour le magazine Vibe, en 2007, rappelle le New York Mag (en anglais). Le CV de "l'oncle Terry", comme il aime se faire appeler, ne s'arrête pas là. Le quinquagénaire tatoué a ainsi publié un livre avec la chanteuse Lady Gaga (Lady Gaga x Terry Richardson) et réalisé des clips de Beyoncé (XO) ou Miley Cyrus (Wrecking Ball). Cette dernière vidéo, vue plus de 900 millions de fois sur YouTube depuis sa publication en 2013, a marqué la transition de l'ancienne star de Disney Channel vers un style plus sulfureux. Et provoqué de vives critiques. Miley Cyrus y apparaît nue sur une boule de démolition ou léchant des outils. La chanteuse regrette aujourd'hui d'avoir tourné ce clip provocateur, selon Vogue (en anglais). "Je serai nu et tu prendras les photos"

"Oncle Terry", lui, ne regrette sans doute pas. Et pour cause : il a construit sa carrière sur ce style "porno chic". Pour les juteuses campagnes publicitaires comme pour les portraits de people, le photographe privilégie souvent les clichés suggestifs, voire ouvertement sexuels. Et il assume son goût pour la provoc'. L'artiste ne se limite pas aux images suggestives. Il se met en scène, nu, dans plusieurs shootings pornographiques. Le photographe assure qu'il se déshabille pour mettre à l'aise ses modèles. "Beaucoup de ces [séances] commencent avec moi qui demande à une fille : 'Tu veux faire des photos de nu ?' Et elles disent qu'elles ne veulent pas, raconte Terry Richardson à The Observer (en anglais) en 2004. Alors je réponds : 'Je serai nu et tu prendras les photos. Tu peux avoir l'appareil. Tu peux avoir le phallus.'"

Les séances vont régulièrement plus loin que les photos de nu. Des clichés de femmes en train de lui faire une fellation ont ainsi été dévoilés lors de l'exposition "Le Monde de Terry" à New York, en 2004. Terry Richardson s'en amuse et assume. "[Dans ce milieu], ça ne dépend pas de qui tu connais, mais de qui tu suces. Ce n'est pas pour rien si j'ai un trou dans mon jean", affirme-t-il trois ans plus tard, selon des propos rapportés par Complex (en anglais).

"Il manipule des jeunes filles pour qu'elles enlèvent leurs vêtements"

Sur l'un des clichés exposés en 2004 figure son assistante de 19 ans, Alex Bolotow. La jeune femme est capturée en pleine fellation, alors qu'elle est assise dans une poubelle. Sur son front, le mot "salope". La jeune femme, désormais mariée au photographe et mère de ses jumeaux, "adore cette photo". "Je me dis toujours 'qu'est-ce que je suis canon !'", s'enthousiasme-t-elle dans les pages du New York Mag. A l'inverse, d'autres modèles goûtent guère les méthodes de shooting de Terry Richardson. En 2010, la mannequin danoise Rie Rasmussen le prend à partie lors de la Fashion Week à Paris, qualifiant son travail de "complètement dégradant pour les femmes". "Il prend des jeunes filles, les manipule pour qu'elles enlèvent leurs vêtements et prend des photos dont elles auront honte, estime-t-elle quelques jours plus tard dans un entretien à Page Six (en anglais). Elles ont peur de dire non parce que leur agence leur a trouvé ce shooting et qu'elles sont trop jeunes pour se défendre."

Fellation et masturbation pendant les shootings

Ces déclarations poussent Jamie Peck à prendre la parole quelques semaines plus tard. Le mannequin donne des détails troublants sur le déroulement des séances photo avec Terry Richardson. Elle raconte au site féministe Jezebel (en anglais) avoir posé nue pour lui lorsqu'elle avait 19 ans. "J'ai dit que je voulais garder mes sous-vêtements parce que j'avais mes règles et il m'a demandé d'enlever mon tampon pour qu'il puisse jouer avec." Jamie Peck décline l'offre. "C'est là qu'il a décidé se mettre nu." Terry Richardson aurait alors proposé au mannequin de prendre des photos de lui puis de toucher son pénis.

La jeune femme accepte finalement de le masturber, sous les encouragements de l'assistant du photographe et du reste de l'équipe. "Je me souviens de faire ces choses mais, même sur le moment, j'avais l'impression de regarder quelqu'un d'autre le faire, poursuit Jamie Peck. Quelqu'un qui ne pouvait pas être moi parce que je ne toucherais jamais le pénis d'un photographe louche."

Dans les années qui suivent, au moins six autres modèles accusent Terry Richardson. En novembre 2014, une femme, jamais identifiée, dénonce même une agression sexuelle. Sous le pseudonyme d'Anna, elle raconte à Jezebel (en anglais) avoir posé dénudée pour le photographe, avant qu'il ne donne l'appareil à son assistant et ne la rejoigne face à l'objectif. "J'étais accroupie. (...) Soudainement, j'ai senti un pénis contre mon visage, affirme la jeune femme. Il a pressé [son sexe] contre mes lèvres. Il voulait clairement une fellation et que ce soit pris en photo." Craignant que la situation ne dérape, elle prétexte avoir un engagement et fuit l'appartement de Terry Richardson.

Une réputation ternie depuis quelques années

A cette période, les différentes déclarations de mannequins commencent à ternir la réputation d'"oncle Terry". Une pétition en ligne, lancée en 2013 par une adolescente britannique, demande aux grandes marques de ne plus employer le "pornographe et agresseur sexuel présumé". Elle recueille plus de 40 000 signatures. Le mannequin Emma Appleton écorne un peu plus son image, en 2014. Elle publie une capture d'écran d'un message qu'un certain Terry Richardson lui a envoyé sur Facebook : "Si je peux te baiser, je t'engagerai pour un shooting pour Vogue à New York." L'artiste crie au faux compte, ce que Facebook confirmera quelques jours plus tard, rappelle Complex (en anglais).

Le monde de la mode commence toutefois à prendre ses distances avec Terry Richardson. Interpellée sur Twitter quelques jours après l'affaire Appleton, la marque H&M répond que "si ces accusations sont fondées, [le comportement du photographe] est inacceptable". La firme suédoise, suivie par d'autres marques comme Target et l'édition américaine du magazine Vogue, décide de ne plus travailler avec le New-Yorkais. Terry Richardson tente de rassurer ses clients. Dans une tribune publiée par Le Huffington Post (en anglais), il assure avoir "collaboré avec des femmes adultes consentantes qui étaient pleinement conscientes de la nature du travail". "Comme c'est le cas pour tout projet, tout le monde a signé des autorisations, poursuit le photographe. Je n'ai jamais utilisé une offre de travail ou une menace de réprimande pour contraindre quelqu'un à faire quelque chose qu'il ne voulait pas faire."

"Terry a déjà répondu à ces vieilles histoires"

Trois ans plus tard, l'affaire Weinstein pousse de nombreux mannequins à dénoncer le harcèlement sexuel dans le milieu de la mode. Le nom de Terry Richardson, ainsi que les anciennes accusations qui pèsent sur lui, sont une nouvelle fois mentionnés sur les réseaux sociaux. Dans un article daté du 22 octobre, le Sunday Times s'interroge : "Pourquoi Terry Richardson demeure-t-il prisé des fashionistas ?" Le message du journal britannique semble avoir été entendu : c'est désormais la totalité du groupe Condé Nast qui tourne le dos au photographe.

Terry Richardson conserve, lui, la même ligne de défense. "Terry est déçu d'apprendre l'existence de cet e-mail [du vice président du groupe], d'autant plus qu'il a déjà répondu à ces vieilles histoires, a affirmé son agent auprès de plusieurs médias, dont le Daily Beast (en anglais), mardi 24 octobre. C'est un artiste connu pour son travail explicitement sexuel. Plusieurs de ses interactions avec ses modèles étaient sexuelles, mais ils ont tous consenti à participer." A ce jour, le photographe n'a jamais été poursuivi pour une agression ou un harcèlement sexuels.

https://www.instagram.com/terryrichardson/

http://jourstranquilles.canalblog.com/tag/terry%20richardson

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Terry Richardson avec sa compagne dont il a eu des jumeaux

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