Encore une photo dans un ascenseur !
Photo JS
Pour preuve, les bourgeons aux arbres à l'Institut Pasteur.
Photo JS. Photo prise ce jour avec mon téléphone Nokia.
Georges Pompidou
Président de la République française
Né à Montboudif (Cantal) le 05 juillet 1911
Décédé à Paris le 02 avril 1974
Fils d'instituteurs, agrégé de lettres après un passage par la rue d'Ulm et par l'Ecole des Sciences Politiques, Georges Pompidou rencontre de Gaulle en 1944 ; celui-ci lui confie la direction de son cabinet. Même durant 'la traversée du désert' du général, la collaboration des deux hommes se poursuit. Directeur général de la banque Rothschild la République. Malade
LES ANECDOTES SUR GEORGES POMPIDOU
> Fin lettré
Avant d'être président de la République, reçu premier à l'agrégation de Lettres, il publia l'étude 'Britannicus de Racine', une sélection de textes de Taine et Malraux et composa une 'Anthologie de la poésie française' tout en étant directeur général de la banque Rotschild.
> Un haut lieu à son nom
Son nom reste lié au Centre national d'Art et de Culture, inauguré en janvier 1977, en plein coeur de Paris.
> Petite-annonce
Il a rencontré le général par le biais d'une "annonce" : celui-ci cherchait juste "un agrégé de lettres sachant lire et écrire" pour diriger son cabinet… !
> Remarquable
Il est reçu premier à l'agrégation de lettres en 1934 !
Photo JS - Photo prise au Centre Pompidou ce vendredi 31 mars 2006 - Paris
Dimanche 2 Avril, à Paris, à 14H30
A l'occasion des 1500 jours de prise d'otage d'Ingrid Betancourt et de sa collaboratrice, Clara Rojas, une grande marche de soutien est organisée.
Soyons nombreuses et nombreux à dire que nous en avons assez que les dates anniversaires s'enchaînent sans que les chaînes des otages ne se brisent.
Lors de cette marche, nous proposerons aux participants de se bâillonner, en symbole de l'absence de liberté d'expression d'Ingrid, de Clara et des otages de Colombie.
Seront présents : la famille d'Ingrid, des élus de tout bord, des anciens otages et des personnalités.
Rendez-vous pour cette grande marche à 14H30 sur le Parvis des Droits de l'Homme (Paris 16ème) pour nous rendre au Mur de la Paix.
Accès : Station Trocadéro (lignes de métro 6 et 9, lignes de bus 22, 30,
32 et 63)
http://www.ingridbetancourt-idf.com/base/article.php3?id_article=129
http://www.betancourt.info/indexFr.htm
Photo JS. Photo prise avec mon téléphone Nokia le 31 mars.
Reportage photographique de la manifestation de soutien pour la Libératioin d'Ingrid Betancourt
Photos prises avec mon téléphone Nokia
Edito de Bertrand Delanoë, maire de Paris
Jeanne Moreau, Audrey Tautou, Romy Schneider, Audrey Hepburn, Arletty, Jean-Pierre Léaud, Jean-Paul Belmondo, Jacques Tati, Alain Delon… Dans notre mémoire collective, tous ces artistes sont étroitement associés à la Seine, au boulevard du Crime, à la place Clichy, aux Champs-Élysées, à Montmartre… Mais Paris n’est pas seulement le décor de leurs aventures tragiques, comiques ou romantiques, c’est un personnage à part entière, un complice de tous les instants ! La promenade à laquelle nous vous convions est historique, d’abord, puisqu’elle nous fait parcourir toutes les évolutions du septième art, du cinéma muet au cinéma contemporain. Mais elle est également géographique, nous permettant de redécouvrir, à travers les films, les quartiers de notre Ville lumière. C’est ce double itinéraire, dans le temps et l’espace, que nous souhaitons retracer, grâce à l’exposition PARIS AU CINÉMA qui aura lieu, à partir du 2 mars 2006, dans la salle Saint-Jean de l’Hôtel de Ville, rénovée et agrandie à cette occasion.
Bertrand Delanoë
Maire de Paris
Du 2 mars au 30 juin
Hôtel de Ville
Salle St-Jean
Tous les jours sauf dimanches et fêtes de 10h à 19h
Entrée libre
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Le poisson d'avril est une plaisanterie, voire un canular, que l'on fait le 1er avril de chaque année. Il consiste à accrocher un poisson de papier dans le dos de personnes dont on veut se gausser. Poisson d'avril ! est aussi l'exclamation que l'on pousse une fois qu'une des plaisanteries est découverte.
Une explication totalement légendaire avance que cette tradition trouve son origine en France, en 1564. Jusqu'alors, l'année aurait commencé au 1er avril, mais le roi de France Charles IX décida, par l'édit de Roussillon, que l'année débuterait désormais le 1er janvier, marque du rallongement des journées, au lieu de fin mars, arrivée du printemps. Mais en fait, l'année civile n'a jamais débuté un 1er avril.
Si l'origine exacte de l'utilisation des poissons reste obscure (peut-être l'ictus chrétien), la légende veut que plusieurs de ses sujets se rebiffèrent à l'idée qu'on leur chamboulât le calendrier, et ils continuèrent à célébrer les environs du 1er avril. Pour se payer gentiment leur tête, des congénères profitèrent de l'occasion pour leur remettre de faux cadeaux et leur jouer des tours pendables. Ainsi naquit le poisson, le poisson d'avril, le jour des fous, le jour de ceux qui n'acceptent pas la réalité ou la voient autrement. Cette coutume de faire des plaisanteries s'est répandue dans de nombreux pays, bien que le poisson ne soit pas toujours exporté en même temps :
les Anglais ont conservé leur (April Fool's Day),
les Écossais parlent de Gowk ou de Cuckoo,
les Allemands ont leur Aprilscherz,
la coutume existe aussi en Belgique, au Québec, en Italie, aux États-Unis, en Suisse ou même au Japon.
Cependant, les conjectures demeurent : ou bien on voulait marquer la sortie du signe zodiacal des Poissons, ou bien on voulait prolonger l'épreuve du carême, où il n'était permis de manger que du poisson, ou bien on voulait confondre le benêt en lui offrant un poisson à une époque de l'année, celle du frai, où la pêche était interdite.
Il existe, aussi en Espagne, une fête comparable, qui tombe cependant le 28 décembre. C'est le jour des saints innocents (dia de los santos inocentes ou dia de los inocentes), qui commémore le massacre des Innocents commis, selon la Bible, par Hérode. Croisé avec des rites païens comme la fête des Fous, il est devenu le jour des plaisanteries et des canulars, à la manière de notre premier avril. C'est un petit personnage de papier que l'on accroche au dos des personnes dont on veut se moquer.