Terry Richardson’s first solo exhibition in Los Angeles, titled TERRYWOOD, presents over 25 of his latest photographs. Inspired by the multiple facets of Hollywood life, TERRYWOOD unveils a series of images of the famous locale, as seen through Richardson’s eyes. Terryworld meets Hollywood, as the local characters, familiar landscapes, and architectural details, now verge on having a new identity. With images such as Untitled (Hollywood), and Untitled (Nude), both photographs of the proverbial chintzy signs that are ubiquitous throughout Hollywood, Richardson illustrates his proclivity for branding whatever subject matter he approaches. Through a medium not typically understood as effective in translating an artist’s personality, Richardson manages to make his hand evident within his photographs. His identity is unmistakably present here, as if he created the very objects and scenes his camera captures. An artist often attributed with changing the field of photography, Richardson also defies the ideological limitations of the practice, while redefining an epitome. TERRYWOOD takes all that Hollywood represents – the celebrity, broken dreams, kitsch, and sorted history – but, just as with all of Richardson’s well-known work, he re-contextualizes familiar imagery, re-identifying it with characteristics reflective of his own persona, imparting them with a different narrative.
A partir de demain, au Jeu de Paume : Ai Weiwei
Le Jeu de Paume, à Paris, exposera jusqu’au 29 avril les œuvres du dissident chinois Ai Weiwei. C’est la première rétrospective du travail de l’artiste présentée en France.
Demain : Conseil Constitutionnel
Le Conseil constitutionnel rendra sa décision concernant l’anonymat des 500 parrainages requis pour être candidat à la présidentielle. Une demande faite notamment par le FN.
L'Iran coupe son pétrole
L'Iran a cessé de vendre du pétrole aux compagnies pétrolières françaises et britanniques, a déclaré le porte-parole du ministère iranien du Pétrole, Alireza Nikzad. "A la suite de la décision officiellement annoncée par le ministère des Affaires étrangères, le ministère du Pétrole a cessé ses ventes de pétrole aux compagnies britanniques et françaises", a-t-il ajouté.
Deuxième pays de l'Opep, l'Iran produit 3,5 millions de barils de pétrole par jour et en exporte 2,5 millions. Il vend un peu plus de 20% de son pétrole aux pays de l'Union européenne (soit environ 600.000 barils/jour), essentiellement à l'Italie, à l'Espagne et à la Grèce. Téhéran exporte 70% de son pétrole vers les pays d'Asie. La France, pour sa part, importait en 2011 quelque 58.000 barils/jour de brut iranien, ce qui couvre 3% de ses besoins d'or noir.
L'Iran a annoncé mercredi qu'il allait revoir à la baisse ses ventes de pétrole aux pays européens, sans les interrompre "pour l'instant", rétorquant ainsi à l'embargo graduel sur le pétrole iranien décidé par l'Union européenne, qui a relativisé l'impact de cette décision.
Exposition Terry Richardson à Los Angeles (si vous y êtes ???)
Terry Richardson
TERRYWOOD
February 24 - March 31, 2012
937 N. La Cienega Blvd., Los Angeles, CA 90069
Ai Weiwei : «La force, c'est d'être seul»
Ai Weiwei: «Je suis fier de la reconnaissance dont je jouis à l'étranger.» Photo : Gao Yuan
Ses photos sont exposées à Paris, au Jeu de paume, à partir de lundi.
Rencontre avec l'artiste qui dérange le gouvernement chinois.
On en parle : "Obscenity" - à la Fresh Gallery de Madrid
Pour les associations catholiques, c'est une nouvelle provocation, du pur blasphème. Dans le milieu de l'art, on tentera d'y voir, comme y invite l'auteur, une manière de "redéfinir la nature du fétiche et du tabou" et d'illustrer "la convergence divine entre le sacré et le profane".
L'objet de toutes ces controverses est l'exposition "Obscenity" qui s'est ouverte jeudi 16 février à la Fresh Gallery de Madrid. Sur les murs de cette petite galerie se succèdent une cinquantaine de photographies : un acteur nu posant avec une image du Christ en croix de Velazquez sur ses parties intimes, des artistes connues figurant des nonnes sexy en talons aiguilles... Parmi elles, on retrouve notamment Rossy de Palma, actrice fétiche du réalisateur espagnol Pedro Almodovar. Elle est photographiée en nonne sexy vêtue de noir et blanc, le regard langoureux, un chapelet entre les dents et affublée d'un corset transparent avec décolleté plongeant.
L'auteur de ces œuvres, coutumier des controverses, est le spécialiste canadien du film trash et du porno gay, Bruce LaBruce (son site Internet, interdit aux moins de 18 ans). L'artiste se met lui-même en scène avec son mari, Mario Vaquerizo, à la manière de la Pietà de Michel-Ange, le visage posé sur la poitrine proéminente d'une Vierge en talons aiguilles. Le Canadien de 48 ans a été de nombreuses fois victime de la censure : son exposition de 400 polaroids exposés en été 2001 à la Gallery Wrong Weather au Portugal avait été saisie et interdite à l'entrée de son pays. Mais rien de provocateur selon lui dans "Obscenity", car "les vies des saints sont pleines d'actes extatiques et de sexualité sublimée qui s'expriment dans des formes plus perverses et sexuelles".