Do it yourself...
Votre photo ? Faites la vous même....
A tous les modèles féminins motivées :
Je vous propose de poser seule en studio (Paris 15). Un vrai studio avec fond papier ou tissu, un éclairage professionnel, un appareil photo sur pied et surtout un déclencheur souple filaire qui vous permettra de prendre la photographie au moment que vous aurez choisi. Ceci est un jeu bien évidemment.... car je reste à votre disposition pour réaliser tout book numérique dont vous auriez besoin.
Pour mieux me connaitre et prendre connaissance des conditions de poses cliquez sur les deux liens ci-dessous.
A bientôt
Jacques Snap
Photographe amateur appliqué
http://www.jacques-snap.book.fr/
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Photos prises directement par le modèle dans mon studio - Paris 15
22 août 1962 = attentat du Petit Clamart
L’attentat du Petit-Clamart, désigné par ses auteurs sous le nom d’opération Charlotte Corday, est le nom d'une action d'un groupe (OAS-Métropole / OAS-CNR) dirigé par le lieutenant-colonel Bastien-Thiry, visant à assassiner le président Charles de Gaulle, le 22 août 1962 à Clamart. Frederick Forsyth a tiré de cette histoire un roman en 1971, The Day of the Jackal, adapté au cinéma en 1973.
Source Wikipédia
Le 22 août 1962, le général de Gaulle, avec son épouse, se rend de l'Élysée à sa résidence de Colombey-les-deux-Églises. De l'Élysée même, un informateur jamais identifié prévient Bastien-Thiry du choix de l'itinéraire fixé au dernier moment par les services de sécurité parmi les trois possibles.
Au Petit-Clamart, dans la banlieue sud de Paris, la DS présidentielle est mitraillée par les six tireurs du commando de Bastien-Thiry. Les tireurs visent principalement les pneus afin d'arrêter la voiture. Mais les pneus résistent aux balles et le grand talent du chauffeur fait le reste.
L'un des tireurs, Georges Watin, dit «la boîteuse», lâche une rafale à la hauteur des têtes des passagers du véhicule. Les impacts de son fusil-mitrailleur - 8 au total - permettront au procureur général Gerthoffer de requérir pour tentative d'assassinat.
Le président et son épouse, assis à l'arrière du véhicule, sont sans doute sauvés par la réaction de leur gendre Alain de Boissieu qui, assis à l'avant, se retourne vers eux et ose ordonner : «Père, couchez-vous !»
Buisines et Bougrenet de La Tocnaye, constatant que la DS poursuit sa route, tentent de la rejoindre en fourgon. Le fourgon heurte le pare-chocs de la DS. Bougrenet ouvre la portière latérale et tend d'une main le fusil-mitrailleur à l'extérieur. Incident de tir ! La rafale ne part pas.
Les tireurs sont bientôt arrêtés. Jean Bastien-Thiry est arrêté à son retour d'une mission scientifique en Grande-Bretagne. Un tribunal d'exception, la Cour militaire de Justice, juge les prévenus.
Le procureur requiert la mort contre Bastien-Thiry, Bougrenet de La Tocnaye et Buisines. Prévost demande la parole et prie le jury de prendre la place de Buisines, affirmant sa responsabilité supérieure. Le tribunal militaire tient compte de cette précision en condamnant à la peine capitale Prévost au lieu de Buisines.
Prévost avait été en 1954 dans le dernier avion qui avait parachuté des soldats au-dessus de la cuvette de Dien Bien Phu. Prévost et les autres hommes de ce vol s'étaient portés volontaires pour rejoindre leurs camarades bien qu'ils fussent convaincus qu'ils ne sortiraient jamais vivants de cet enfer !
Le recours en cassation n'est pas permis aux condamnés. Leur vie repose entre les mains du chef de l'État. L'opinion publique est convaincue qu'il usera de son droit de grâce pour un attentat qui n'a pas entraîné mort d'homme. Le général de Gaulle grâcie effectivement les tireurs mais non leur chef. Jean Bastien-Thiry est fusillé huit jours à peine après le jugement.
Prévost poursuivra une vie d'errance à travers le monde, inguérissable de n'avoir pas accompagné son chef dans la mort. Watin mourra de maladie quelques années plus tard en Amérique latine. Bertin, le plus jeune, fera une très belle carrière dans la banque. Des trois tireurs hongrois, ne survit plus que Lajos Marton, qui fut en 1956 un jeune officier aux côtés de Pal Maleter, le chef de l'insurrection anti-communiste. Buisines a été renversé par un véhicule en plein Paris.
Charles de Gaulle exploita l'émotion causée par l'attentat du Petit-Clamart pour proposer l'élection du président de la République au suffrage universel, par l'ensemble du peuple français, et non plus par une assemblée de notables.
Le projet se heurta à une très forte opposition du Sénat et de la gauche qui craignaient la naissance d'un régime bonapartiste autoritaire. Il fut néanmoins approuvé par référendum le 28 octobre 1962 avec 62,25% de Oui. -
Bachar Al-Assad - Syrie
Le vice-Premier ministre syrien, Qadri Jamil, a laissé entendre que la Syrie serait prête à discuter d'une éventuelle démission de Bachar Al-Assad dans le cadre d'un processus de négociations avec l'opposition.
Pussy Riot
En Russie, le tribunal qui a jugé les Pussy Riot a été victime d'une cyberattaque pendant quelques heures. Une vidéo provocante du chanteur homosexuel bulgare Azis, des images tournant en dérision le système judiciaire russe, de même qu'une nouvelle chanson du groupe Pussy Riot, intitulée Putin lights up the fires (Poutine met le feu), ont été visibles sur le site.