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Jours tranquilles à Paris
13 mars 2014

ERDEVEN : Une association lance le nettoyage régulier des plages

Une toute nouvelle association a vu le jour à Erdeven courant décembre. Elle s’appelle Les mains dans le sable. Fondée par trois amis, elle a pour but de mettre en place des nettoyages réguliers des plages :« Notre but est de développer le nettoyage manuel des plages du littoral. Et de sensibiliser le grand public à la problématique des déchets dans l’environnement, afin que chacun mesure la portée de ses gestes » , explique Lauriane Durand, secrétaire. Une initiative qui a coulé de source pour les trois compères :« On a toujours été sensible à notre environnement et on participe au nettoyage annuel de la Surf ride foundation. Mais malheureusement, il a une portée symbolique, qui sensibilise mais qui n’est pas assez efficace, relate Guillaume Durand, président. Avec des nettoyages réguliers, qu’on aimerait instaurer un dimanche sur deux, on souhaite rassembler les gens convaincus et convaincre les autres ».

Avec le Grand site dunaire

Pour les appuyer dans leur démarche, l’association s’est rapprochée du syndicat mixte du Grand site dunaire Gâvres-Quiberon :« On agira en concertation avec le Grand site, pour aider les gardes du littoral. Ils vont nous appuyer en fournissant les sacs et s’occuper de les récolter » , précise Guillaume Durand. L’association Ansel de Concarneau les soutient aussi :« En quelques jours on a reçu une vingtaine de likes sur notre page facebook, c’est encourageant » , indique le président. Les mains dans le sable compte bien se rapprocher des autres associations et des acteurs locaux comme les campings, les commerces, les écoles de surf et à terme le public scolaire.« On aimerait que le ramassage des déchets devienne un réflexe. Ça ne coûte rien de se balader avec un sac pour ramasser quelques cochonneries en passant. À la plage mais aussi dans nos campagnes. 80 % des déchets viennent de la terre, pas de la mer » ,rappellent les trois amis.

Initiatives océanes

Le premier ramassage aura lieu dimanche 16, à 14 h, sur la plage de Kerhillio à Erdeven, dans le cadre des initiatives océanes de la Surf ride foundation :« Ce sont des opérations de sensibilisation à la problématique des déchets aquatiques couplées à une opération de nettoyage. Elles sont organisées chaque année depuis 18 ans. En 2012, 50 000 participants se sont réunis sur plus de 1 230 opérations. On pilote la journée appuyés par la fondation » , détaille Lauriane. Le rendez-vous est fixé à l’entrée principale de la plage.« La durée du nettoyage est libre, plus que le temps d’action c’est le geste qui compte. Amenez vos gants ! » , souligne-t-elle.

Pratique :

tél. 07 81 12 64 02, lesmainsdanslesable@yahoo.fr ou facebook/lesmainsdanslesable.

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13 mars 2014

GOTLIB au Musée d'Art et d'Histoire du Judaïsme (vu hier)

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Cette exposition met à l’honneur une figure majeure de la bande dessinée française, le dessinateur Marcel Gotlieb, dit Gotlib.

Rassemblant près de deux cents planches originales (publiées mais jamais exposées), ainsi que des archives photographiques, écrites et audiovisuelles, l’exposition fait converser l’artiste, le juif athée et l’anticonformiste.

Combinant approche chronologique et approche thématique, ce portrait, porté par la généreuse complicité de Gotlib, retrace son parcours d’homme et d’artiste.

Né à Paris le 14 juillet 1934, Marcel Mordekhaï est le fils du peintre en bâtiment Erwin Tzvy Gottlieb et de la couturière Régine Berman, immigrés juifs de langue hongroise. L’artiste Gotlib est resté ce galopin qui a grandi entre les rues Ramey et Ferdinand-Flocon dans le XVIIIe arrondissement. Enfant caché pour échapper à la persécution antisémite dans la France occupée – son père, déporté, est assassiné à Buchenwald en février 1945 –, Gotlib sera marqué par cette expérience traumatisante.

Mais, fort des acquis de l’école française, il trouvera sa voie dans le métier de dessinateur.

En 1962, il fait ses débuts dans la bande dessinée au journal Vaillant ; trois ans plus tard, il entre à Pilote. Avec René Goscinny, son père spirituel, il crée « Les Dingodossiers », puis il mènera seul sa « Rubrique-à-Brac ».

En 1972, avec Claire Bretécher, il rejoint Nikita Mandryka pour publier L’Écho des Savanes.

À partir de 1975, il fonde son propre journal, Fluide Glacial.

En 1991, il reçoit le grand prix du Salon international de la bande dessinée d’Angoulême.

Dans ses dessins comme dans ses textes, Gotlib oscille du dérisoire à l’absurde. Son goût pour l’autoportrait, les gags, la satire, l’humour noir et les jeux de langage est le moteur d’une superbe maîtrise du récit, qu’il testera également au cinéma.

Ses personnages – Isaac Newton, la Coccinelle, Gai-Luron, le professeur Burp, Superdupont, Hamster Jovial, Bougret et Charolles – composent une distribution singulière au sein du paysage de la bande dessinée française. Gotlib, non sans tendresse, place le lecteur face aux excès de l’homme, être mélancolique et fragile, souvent pris aux pièges de ses désirs et de son instinct. Dans L’Écho des Savanes puis à Fluide Glacial, l’artiste explore les territoires de la sexualité et défie la religion, tandis que le personnage de Superdupont lui sert à dénoncer et à moquer les aspects étriqués d’une France repliée sur elle-même. Sortant du répertoire plastique de la bande dessinée des années 1960 et 1970, Gotlib fait exploser le cadre conventionnel de la case, tout en donnant une place essentielle au traitement du texte et de la lettre – ce qui n’est pas sans rappeler le rôle de ces derniers dans la culture juive. Son œuvre fait de lui un des accoucheurs du renouveau de la bande dessinée, désormais affranchie de l’école belge et de la ligne claire.

Au fil de l’exposition, on croisera ses maîtres (René Goscinny, Harvey Kurtzman, André Franquin et les Marx Brothers) ainsi que ses complices (Alexis, Fred, Reiser, Mandryka, Bretécher, Lob, Solé, Patrice Leconte et les Monty Python...).

L’exposition est accompagnée d’un catalogue et d’un programme dans l’auditorium du musée (table ronde, lectures, films et concert).

Commissariat de l’exposition : Anne Hélène Hoog et Virginie Michel

Conseiller scientifique : Michel Lieuré

Avec la contribution de Marcel Gotlieb

Cette exposition a bénéficié du soutien de la direction régionale des Affaires culturelles – ministère de la Culture et de la Communication, de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah, de l’Alliance israélite universelle, du Fonds Harevim et de la Fondation Pro Mahj

En partenariat avec Les Inrockuptibles, Libération et France Culture

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http://www.mahj.org/fr/index.php

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13 mars 2014

"Monuments Men" de George Clooney. Avec George Clooney, Matt Damon, Bill Murray

En pleine Seconde Guerre mondiale, sept hommes qui sont tout sauf des soldats – des directeurs et des conservateurs de musées, des artistes, des architectes, et des historiens d’art – se jettent au cœur du conflit pour aller sauver des œuvres d’art volées par les nazis et les restituer à leurs propriétaires légitimes. Mais ces trésors sont cachés en plein territoire ennemi, et leurs chances de réussir sont infimes. Pour tenter d’empêcher la destruction de mille ans d’art et de culture, ces Monuments Men vont se lancer dans une incroyable course contre la montre, en risquant leur vie pour protéger et défendre les plus précieux trésors artistiques de l’humanité…

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Des œuvres spoliées par les nazis restituées

Trois tableaux, arrachés à des collectionneurs par les nazis, ont été restitués, hier, par Aurélie Filippetti, ministre de la Culture, aux descendants de leurs propriétaires légitimes. Ces peintures font partie des 2 000 œuvres sans propriétaire identifié que garde l’État, en attendant leur réclamation. Comme à chaque fois, ils révèlent des bouts d’histoires de cette époque tragique.À gauche, un Portrait de femme datant du XVIIIe siècle. L’œuvre appartenait à Rosa et Jakob Oppenheimer, marchands d’art à Berlin. Ils avaient fui leur pays en 1933 pour se réfugier en France. Le tableau avait été mis aux enchères en 1935 dans le cadre d’une vente publique forcée de biens juifs. La toile a été rendue à Anne Oppenheimer, la petite fille du couple.Au centre, un Paysage montagneux du peintre flamand Joss de Momper. Il appartenait au baron Cassel van Doorn, banquier belge d’origine juive qui avait fui l’Europe en 1940 pour les États-Unis. Il possédait des résidences en France et une très grande collection de peintures confisquée par les nazis en 1943. La toile a été récupérée par la petite-fille du baron, Jacqueline Domeyco, qui vit au Chili avec ses deux cousines.À droite, une Vierge à l’enfant , œuvre de l’entourage de Lippo Memmi, appartenait au banquier roumain Richard Soepkez. Ambassadeur de Roumanie à Londres juste avant la guerre, il a démissionné lorsque son pays a rejoint le camp de l’Allemagne et il est resté en Grande-Bretagne.« Il n ’était pas juif mais il a peut-être été spolié parce qu ’il était opposé au régime nazi » , explique M. Florescu, son arrière-petit-fils, venu avec un cousin texan.

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La une du Nouvel Observateur de cette semaine

13 mars 2014

Photo volée...

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13 mars 2014

François LASSERE expose à la Concorde Art Gallery - vu récemment

François Lassere

Peintre

François Lassere caresse la vie dans l'art

Quelles sont les plus belles traces de l'humanité ? Quelles sont les premières traces de notre humanité ? La peinture.... Où sont les les racines de notre monde, les empreintes de notre société ?

Sur les pierres, sur le bois, sur les murs, les arbres, sur les toiles aussi, dans la peinture... Toutes témoignent de la lumière et de la nuit; du bonheur et des angoisses, du vide.. et des couleurs. Toutes symbolisent et racontent, toutes témoignent  des communautés et des individus, de leurs passions, de leurs différences, de leurs haines...un dernier mot que François Lassere a oublié et c'est tant mieux !

Sa main douce et précise et son oeil vif ont capté sensations, contraires, oppositions, contradictions mais toujours des émotions, pour mettre  la vie en page , tel un savant de la simplicité dont on ne peut qu'admirer la justesse et l'évidence du trait . C'est pour cela qu'il me touche, c'est pour cela que je me suis approprié sa peinture, que ses tableaux sont autant de miroirs dans lesquels il est si bon de se plonger.

Il signe une peinture qui me renvoie des milliards d'informations... François Lassere tient un pinceau qui me tient  lui-même en éveil, qui jamais ne me dérange, qui me révèle peut-être...Dans sa peinture je me glisse comme dans des draps soyeux, mes rêves s'y répandent, j'y retrouve une sorte d'équilibre... entre le jour et la nuit, entre toutes nos ...oppositions ! Aujourd'hui je connais l'homme et dans son regard, j'ai reconnu tous mes voyages et mes racines .

Laurent Bignolas

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12 mars 2014

Ma journée du 12 mars en une photo patchwork

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12 mars 2014

Au Cent Quatre cet aprés-midi

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12 mars 2014

Paris autrefois...

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12 mars 2014

BRETAGNE : A la barre d’Étel, la digue ne protège plus la ria

Les tempêtes répétées des deux derniers mois ont éventré une bonne partie de l’ouvrage. Le maire de Plouhinec, où la digue est située, a alerté le sous-préfet.

« On a pu constater une petite érosion en décembre. Et la marée de 115 de début mars a fini le travail. » Josiane Péné, la chef du sémaphore planté sur la dune face à la barre d’Étel, a donné l’alerte. Car la digue éventrée par les vagues ne remplit plus sa mission d’origine : protéger l’entrée de la ria.

Un diagnostic, « vite ! »

Adrien Le Formal, maire de Plouhinec, s’est emparé du dossier. Car la digue est construite sur sa commune. Sur le domaine public maritime de sa commune, pour être exact.« J’ai écrit au sous-préfet de Lorient pour qu’un diagnostic soit réalisé le plus vite possible , précise l’élu.On ne peut pas laisser les choses en l’état. On ne sait pas non plus si la dégradation entraînera ou pas des modifications structurelles en amont et en aval de la ria. » Déjà le sable, poussé par les vents d’ouest, passe par-dessus la digue rabotée. Le granulat s’entasse sensiblement à l’entrée de la rivière, rive droite comme rive gauche. La marée montante et les vagues qui déferlent accentuent le phénomène.« La digue ne casse plus la houle » , atteste Josiane Péné depuis son poste de surveillance. La digue a été construite au début des années 1960.« En même temps que le sémaphore » , rappelle Josiane Péné. Les assauts de l’océan, soulevé par les tempêtes des deux derniers mois, ont eu raison de l’ouvrage. Des blocs de pierre, d’une centaine de kilos au moins, ont été arrachés et projetés à plusieurs mètres en contrebas.

Des pics en fer

Et les pics en fer, qui aidaient au maintien des rochers ? Désormais ils se dressent, pointus, droit au ciel. Un vrai danger pour les promeneurs aventuriers. Dimanche dernier, premier week-end ensoleillé depuis des lustres marins, les visiteurs ont afflué sur le site. Un accident serait vite arrivé, craint-on. Un habitant de Plouhinec l’a signalé à la mairie, photos à l’appui. Le sous-préfet de Lorient a pris note. Sans pouvoir, hier, avancer de réponse précise.« Un fonds d’urgence a été mis en place pour soutenir les travaux de reconstruction à la suite des tempêtes » , rappelle Jean-Francis Treffel. La digue de Plouhinec devra de toute façon être réhabilitée, sous sa forme d’origine ou non. Quand ? Aucun calendrier n’est fixé. Mais les grandes marées, elles, reviennent à la fin du mois. Article de Charles JOSSE.

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12 mars 2014

Autoportraits dans mon studio

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