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Jours tranquilles à Paris
26 mars 2014

Il était une fois l’Orient Express, à l’Institut du Monde Arabe

L’Orient Express fait une escale à Paris en 2014 : plus de 140ans après son inauguration, le célèbre Train transcontinental revit grâce au partenariat entre l’IMARABE et la SNCF… Pendant quatre mois, nous aurons la chance de monter dans trois voitures prestigieuses de l’Orient-Express, présentées sur le Parvis de l’Institut du Monde Arabe, avant de retrouver l’ambiance et l’histoire du train dans un Musée de l’Orient Express installé au sein de l’Institut du Monde Arabe. Ce musée présente alors les objets et documents qui font encore le mythe de l’Orient Express, dans une scénographie qui reproduit les célèbres wagons : vaisselles et pièces d’argenteries, lits et salons, menus de restaurants…

Exposition visible du 1er Avril au 3 Août 2014

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25 mars 2014

Xi Jinping en visite officielle en France

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25 mars 2014

Vanity Fair (France)

25 mars 2014

Une œuvre coup-de-poing devant le Grand Palais (vu ce soir)

Le sculpteur chinois Liu Bolin a installé son œuvre « Iron fist » devant le Grand Palais, à Paris, à l’occasion du salon Art Paris. Un poing tourné vers le bas, haut de 3,60 mètres et pesant sept tonnes, contre les conditions de vie et le climat politique en Chine.

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Photo prise ce soir devant le Grand Palais

http://www.liubolinart.com/

25 mars 2014

La Une de Libération ce matin

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25 mars 2014

M. Xi, l’insaisissable prince rouge débarque en France

Président aux allures simples mais à la poigne de fer, héraut d’une lutte anticorruption dont la famille jouit d’une suspecte fortune… En visite officielle en France à partir de demain pour le cinquantenaire des relations diplomatiques des deux pays, le numéro un chinois intrigue.

À Nanluoguxiang, allée commerçante de Pékin, la scène est dans toutes les mémoires.« Le mois dernier, en plein pic de pollution, le président Xi Jinping a déambulé dans notre rue » , se souvient une vendeuse de bijoux fantaisie. Fin décembre, déjà, le numéro 1 chinois s’était arrêté déjeuner dans un bouiboui, s’acquittant lui-même de sa note de 21 yuans (2,50 €). De quoi en faire un « président normal » à la chinoise ? Depuis son premier discours comme chef du Parti, en novembre 2012, Xi Jinping, 61 ans, joue d’un bagout inédit à ce poste. Mais si la figure de ce fan de foot est joviale, la poigne reste de fer. L’homme, pétri de contradictions et à la tête d’un régime opaque, est insaisissable. « Prince rouge », né dans le sérail communiste, Xi Jinping a la rébellion dans le sang. Soupçonné d’être « un ennemi du Parti », son père, Xi Zhongxun, ancien compagnon de Mao et vice-Premier ministre, connaît une purge en 1962. Son fils trinque. En 1968, le jeune Jinping est envoyé en « rééducation » à la campagne, proteste, est interné six mois dans un camp de travail. Autre signe de son fort caractère : dans un régime puritain, qui dédaigne le show-biz, Xi Jinping n’hésite pas à épouser, en 1987, la populaire chanteuse Peng Liyuan, en secondes noces de surcroît. Mais le rebelle est aussi ambitieux. Il grimpe tous les échelons du Parti, qu’il a rejoint en 1974. Protégé de l’ancien président Jiang Zemin (1993-2003), Xi est tour à tour vicemaire, secrétaire de province, puis membre du Comité permanent du Bureau Politique, cœur du pouvoir chinois. En 2012, il est promu numéro 1 du Parti. Celui qui, pour le grand public, n’était encore que « Monsieur Peng » accède alors à la notoriété nationale. Peng Liyuan, cette Première dame cantatrice, devient la Carla Bruni chinoise. Depuis, le pouvoir de Xi Jinping est immense.« Il est devenu le dirigeant chinois ayant accumulé le plus de pouvoir et d’autorité personnelle depuis Mao », affirme le sinologue François Godement dans La Chine de Xi Jinping . Une « rupture » donc, d’autant plus frappante que« le pouvoir était très collégial sous Hu Jintao (son lisse et monolithique prédécesseur),qui n’était que le premier parmi des égaux » , ajoute Willy Lam, universitaire hongkongais. Contrairement à Hu Jintao, Xi a tout de suite dirigé la puissante Commission militaire centrale. Il a récemment créé un nouvel organe de surveillance d’Internet. Xi Jinping est aussi le premier chef d’État chinois à envoyer sa fille étudier aux États-Unis, tout en relançant un inquiétant nationalisme. Dans le but de susciter, à l’instar d’un Poutine, la nostalgie d’un Empire révolu ? « La renaissance est, dans les temps modernes, le plus grand rêve de la nation chinoise » , proclame-t-il. Fini donc le profil bas cher à Deng Xiaoping, dans les années 1980 ! Au placard « le développement pacifique » de Hu Jintao ! Sous l’ère Xi, la deuxième économie mondiale assume ses ambitions… Au risque de faire du pays un ennemi, aux yeux de ses voisins, quand il affirme que« les pays étrangers ne doivent pas attendre que la Chine fléchisse sur ses intérêts cruciaux (de souveraineté territoriale). »

Incorruptible ou parrain ?

François Hollande est prévenu. Avec de juteux contrats en vue, il devrait demain aborder du bout des lèvres les questions sensibles. Dernier paradoxe, selon la presse américaine, la famille de Xi aurait amassé l’équivalent de 518 milliards d’euros. Or, dès 2004, lui-même avait enjoint ses collègues à« serrer la bride aux conjoints, enfants, proches, amis et au personnel ». Arrivé au sommet du Parti, Xi Jinping a lancé une lutte anti-corruption tous azimuts, visant« les mouches et les tigres » qui« menacent la survie même du Parti. » Tentative sincère d’assainissement de la classe politique ? Étape nécessaire pour redynamiser l’économie chinoise ? Habile campagne de communication en vue d’apaiser des administrés excédés par les injustices ? Ou obscurs règlements de compte afin d’asseoir son pouvoir ? Sans doute tout cela. Pour l’heure, Xi Jinping a dans le collimateur les caciques mafieux du Parti. Les dissidents tremblent aussi. Admirateur revendiqué du film Le Parrain , il les réprime avec la poigne d’un Don Corleone. Ainsi, l’éditeur Yao Wentian, 73 ans, prévoyait, depuis Hongkong, de publier en avril le brûlot Xi Jinping, le Parrain . Las ! Victime en octobre d’un guet-apens qui l’a conduit en terres chinoises, le vieil homme croupit aujourd’hui dans les geôles de la Chine de Xi Jinping… Article de Edgar DASOR.

1953

. Naissance à Pékin.

1974

. Entrée au Parti communiste.

1987

. Mariage avec Peng Liyuan.

2007

. Membre du Comité permanent du Bureau politique.

2012

. Secrétaire général du Parti communiste.

2013

25 mars 2014

Robert Mapplethorpe (photographe) - Exposition à partir de demain au Grand Palais

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Robert Mapplethorpe est l’un des plus grands maîtres de la photographie d’art. C’est avec un noir et blanc extrêmement stylisé qu’il réalise portraits, nus, et natures mortes. Au-delà de la puissance érotique qui fait la célébrité de l’oeuvre de Mapplethorpe, l’exposition présente la dimension classique du travail de l’artiste et sa recherche de la perfection esthétique, à travers plus de 200 images qui couvre toute sa carrière du début des années 1970 à sa mort précoce en 1989.

Cette exposition est réalisée par la RMN – GP, avec la coopération de la Fondation Robert Mapplethorpe, New York

Commissaire général : Jérôme Neutres, conseiller du président de la Réunion des musées nationaux - Grand Palais / Commissaires associées : Joree Adilman, conservateur de la fondation Robert Mapplethorpe, Hélène Pinet, conservatrice au Musée Rodin et Judith Benhamou-Huet, journaliste critique d’art

L’exposition est réalisée grâce au mécénat d’Aurel BGC. - See more at : http://www.grandpalais.fr/fr/evenement/robert-mapplethorpe

Robert Mapplethorpe est l’un des plus grands maîtres de la photographie d’art. C’est avec un noir et blanc extrêmement stylisé qu’il réalise portraits, nus, et natures mortes. Au-delà de la puissance érotique qui fait la célébrité de l’oeuvre de Mapplethorpe, l’exposition présente la dimension classique du travail de l’artiste et sa recherche de la perfection esthétique, à travers plus de 200 images qui couvre toute sa carrière du début des années 1970 à sa mort précoce en 1989.
Cette exposition est réalisée par la RMN – GP, avec la coopération de la Fondation Robert Mapplethorpe, New York
Commissaire général : Jérôme Neutres, conseiller du président de la Réunion des musées nationaux - Grand Palais / Commissaires associées : Joree Adilman, conservateur de la fondation Robert Mapplethorpe, Hélène Pinet, conservatrice au Musée Rodin et Judith Benhamou-Huet, journaliste critique d’art
L’exposition est réalisée grâce au mécénat d’Aurel BGC. - See more at: http://www.grandpalais.fr/fr/evenement/robert-mapplethorpe#sthash.CcF4wyns.dpuf
Robert Mapplethorpe est l’un des plus grands maîtres de la photographie d’art. C’est avec un noir et blanc extrêmement stylisé qu’il réalise portraits, nus, et natures mortes. Au-delà de la puissance érotique qui fait la célébrité de l’oeuvre de Mapplethorpe, l’exposition présente la dimension classique du travail de l’artiste et sa recherche de la perfection esthétique, à travers plus de 200 images qui couvre toute sa carrière du début des années 1970 à sa mort précoce en 1989.
Cette exposition est réalisée par la RMN – GP, avec la coopération de la Fondation Robert Mapplethorpe, New York
Commissaire général : Jérôme Neutres, conseiller du président de la Réunion des musées nationaux - Grand Palais / Commissaires associées : Joree Adilman, conservateur de la fondation Robert Mapplethorpe, Hélène Pinet, conservatrice au Musée Rodin et Judith Benhamou-Huet, journaliste critique d’art
L’exposition est réalisée grâce au mécénat d’Aurel BGC. - See more at: http://www.grandpalais.fr/fr/evenement/robert-mapplethorpe#sthash.CcF4wyns.dpuf

 

Robert Mapplethorpe est l’un des plus grands maîtres de la photographie d’art. C’est avec un noir et blanc extrêmement stylisé qu’il réalise portraits, nus, et natures mortes. Au-delà de la puissance érotique qui fait la célébrité de l’oeuvre de Mapplethorpe, l’exposition présente la dimension classique du travail de l’artiste et sa recherche de la perfection esthétique, à travers plus de 200 images qui couvre toute sa carrière du début des années 1970 à sa mort précoce en 1989.
Cette exposition est réalisée par la RMN – GP, avec la coopération de la Fondation Robert Mapplethorpe, New York
Commissaire général : Jérôme Neutres, conseiller du président de la Réunion des musées nationaux - Grand Palais / Commissaires associées : Joree Adilman, conservateur de la fondation Robert Mapplethorpe, Hélène Pinet, conservatrice au Musée Rodin et Judith Benhamou-Huet, journaliste critique d’art
L’exposition est réalisée grâce au mécénat d’Aurel BGC. - See more at: http://www.grandpalais.fr/fr/evenement/robert-mapplethorpe#sthash.CcF4wyns.dpuf
25 mars 2014

Save the date : Crazy Horse de Paris...

Fabuleux Crazy Horse: « Qui es-tu derrière ces lumières ?»

Exposition photographique de Riccardo Tinelli

Du 2 au 11 avril 2014

Adresse : 54 rue de Paradis, 75010 Paris.

La galerie est ouverte au public du lundi au vendredi de 10h à 18h, sauf événement privé et exceptionnel.

Renseignements : 01 48 78 77 13 - contact@le-purgatoire-paris.fr - www.le-purgatoire-paris.fr

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Les photos sont de Riccardo Tinelli

25 mars 2014

13 Year Old Model Thylane Blondeau Covers Jalouse, Called New Kate Moss

Thylane Blondeau on Jalouse–At thirteen years old, French model Thylane Blondeau has already appeared in Vogue Paris twice which caused quite a bit of controversy three years ago. Now, the fresh faced beauty stars on the April 2014 cover from Jalouse where the publication proclaims her the next Kate Moss in one of its headlines. Some websites seem to be kicking up dust about a thirteen year old being on the cover of a women’s fashion magazine.

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25 mars 2014

L’HOMMAGE DE SAINT LAURENT À JOE DALLESANDRO

ECRIT PAR JULIEN LAMBEA

Hedi Slimane, directeur artistique de Saint Laurent, vient de dévoiler sous la bannière de la marque un portrait de l’acteur Joe Dallesandro photographié par ses soins.

Egérie warholienne à la beauté sculpturale et icône du cinéma underground, l’acteur américain parfois oublié Joe Dallesandro revient sur le devant de la scène pour l’objectif d’Hedi Slimane. Dans la lignée des portraits de musiciens de son Music Project, cet hommage photographique “made in Los Angeles” peut surprendre au premier abord - d’autant plus que l’on ne peut pas y déceler la présence de vêtements de la marque - mais n’est pas dénuée de sens pour la maison française. En plus d’avoir été, au même titre qu’Yves Saint Laurent lui-même, un modèle et ami d’Andy Warhol, et une figure de l’ambivalence androgyne (immortalisée par Serge Gainsbourg dans le film Je t’aime non plus) si chère à la mode d’Hedi Slimane, Joe Dallesandro fait aussi partie de la mythologie stylistique rock:  cité par Lou Reed dans Walk on the Wild Side, c’est lui qui porte le jean serré montré en gros plan sur la pochette légendaire de l’album Sticky Fingers des Rolling Stones. Une image que l’on doit également à Warhol et à laquelle la maison fait référence dans sa dernière campagne masculine. Par ailleurs, plusieurs photographies de Dallesandro (notamment l’affiche du film Flesh de Paul Morrissey) le représentent portant un bandana rouge, pièce-phare de la collection printemps-été 2014 conçue par Hedi Slimane, qui avait déjà photographié l’homme en 2009, à l’issue d’une rencontre organisée par le cinéaste Gus Van Sant.

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Voir mes billets du 15 novembre 2013 et du 7 juin 2013 à propos de Joe Dallesandro et du film de Serge Gainsbourg "Je t'aime moi non plus"

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Pour Andy Warhol voir mes précédents billets en date des 9/11/2013, 6/11/2013, 1/11/2013, 23/4/2013, 19/4/2013, 3/3/2013, 28/1/2013, 30/8/2012, 12/4/2012, 16/8/2011, 10/6/2011, 1/4/2011.

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